Les Cahiers de Saint-Lambert sont une revue écologiste, lancée par trois personnes seulement. Malgré la crise de la presse. Et pour comble, elle est née d’une rencontre entre un prêtre catholique, Dominique Lang, et un journaliste écologiste, Fabrice Nicolino. Bien que toute petite, elle a l’espoir, à terme, de bousculer mastodontes et rochers. Cette rencontre entre croyants et non-croyants, réunis par le constat de la crise écologique, est une première en France. La revue, qui parait tous les trois mois, est d’une fragilité de verre et a besoin très vite de trouver 500 abonnés. C’est très peu, mais sans eux, le projet ne peut pas continuer. Ce que vous demande l’équipe des Cahiers est encore plus simple : venez visiter le site, feuilletez-y la revue, faites-vous votre opinion. Et si, comme nous le pensons, ce projet vous intéresse, agissez. Soutenez-le. « Cette revue hautement improbable ne peut réussir que si elle devient la vôtre. Et ce ne sont pas des mots », soulignent ses fondateurs.
Les Cahiers de Saint-Lambert N°2 : Cette revue vient de publier son numéro 2, consacré en large part à l’agriculture et à la crise alimentaire mondiale. Vous y découvrirez qu’on peut nourrir la planète sans pour autant ruiner ses équilibres essentiels. Savez-vous par exemple ce qu’est la terra preta ? Vous y rencontrerez Dédé Pochon, paysan des Côtes d’Armor, qui sait comment produire de la nourriture sans tout détruire alentour. Et vous retrouverez au passage le grand destin de Gandhi, prophète paysan universe. Les Cahiers de Saint-Lambert sont fragiles. Si fragiles que ses fondateurs s’adresse à vous sans détour. L’équipe prépare pour septembre leur numéro 3, qui sera largement centré sur l’eau, vital enjeu des sociétés humaines. La toute petite équipe de la revue a décidé de jouer franc jeu avec vous : elle a un besoin très rapide de 500 abonnés pour continuer. Ce n’est rien, mais c’est tout. Vous aurez toutes les explications nécessaires pour un soutien immédiat à cette aventure en cliquant ici. A la découverte du numéro 1 : – L’intégralité du numéro en ligne Ils témoignent et soutiennent l’initiative des Cahiers : Belle et rigoureuse contribution à la conversion des consciences : « Bravo pour les ‘cahiers’, belle et rigoureuse contribution à la conversion des consciences. Le ton est bon et l’état d’esprit aussi, très pro et en même temps sans oublier la dimension verticale… Tous mes voeux de réussite à ce nouveau média ! » Nicolas HULOT Superbe initiative : « Bravo pour ce beau travail ! Superbe initiative que nous saluons chaleureusement au WWF qui avions avec Daniel Richard et Thierry Thouvenot initié le dialogue avec les religions sur l’écologie. Nous espérons que l’esprit de dialogue qui prévaut dans ses 68 pages fertiles et intéressantes puisse se propager dans notre société. Car l’écologie c’est développer une intelligence de l’Humanité faîte d’amour, de justice, de paix, d’équité et de solidarité avec l’ensemble du vivant. Du bon vent sur Les cahiers de St Lambert ! Tous nos encouragements à Dominique Lang et Fabrice Nicolino et mes sincères félicitations pour la qualité de ce premier numéro que j’ai lu avec émotion. Que chacun de nous fasse du buzz à oreilles pour attirer les lecteurs » Serge ORRU – Directeur général du WWF-France Une formidable initiative, didactique et claire : « Ce magazine « les Cahiers de Saint-Lambert » est une formidable initiative. Son contenu est très didactique, clair et nous éclaire sur les chemins écologiques qu’il faut emprunter pour agir ici et maintenant, collectivement et individuellement. Je vous encourage de tout cœur à poursuivre la rédaction de ce magazine dans la durée pour la lecture du plus grand nombre. Et encore bravo ! » Yann ARTHUS-BERTRAND Et pourquoi Saint-Lambert ? Parce que Saint-Lambert-des-Bois (78) est un beau coin de nature, aux portes de Paris, dans le Parc Régional de la Chevreuse. Parce qu’un groupe d’amis concernés par les questions écologiques, à divers titres, s’y réunit régulièrement. Pour en connaître plus sur ce groupe et cette aventure, vous pouvez trouver davantage d’explications ici. Parce qu’on parle toujours mieux d’écologie quand on parle de “quelque part”…