Dans l'actualité :

Livre Blanc sur la Transition énergétique du secteur cosmétique

Fruit d'un travail collaboratif avec l'avocate Corine Lepage, ancienne...

Développer la gouvernance environnementale participative par le jeu

À travers la description d’un jeu sérieux (‘Serious Game’...

Vers un traité mondial pour mettre fin à la pollution plastique ?

Le cinquième Comité intergouvernemental de négociation (INC5) chargé d’élaborer...
22 Mars Journée Mondiale de l’Eau 2013

2013 : Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau

Source : ONU – Organisation internationale des Nations Unies

22 Mars : Journée Mondiale de l’Eau. C’est l’occasion de multiples manifestations d’information et de sensibilisation par les entreprises du secteur comme dans les territoires à l’initiative des collectivités et associations. Une année sous le signe de l’eau car l’Assemblée Générale des Nations Unies a proclamé 2013 « Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau ». L’UNESCO a été officiellement nommé par l’ONU-Eau pour mener les préparatifs de cette Année, en raison notamment de l’approche multidisciplinaire pratiquée par l’Organisation, qui mêle les sciences naturelles et sociales, l’éducation, la culture et la communication.

L’objectif de l’Année internationale est de sensibiliser à la fois aux possibilités de développement de la coopération et aux défis que représente la gestion de l’eau, face à un accroissement de la demande d’accès, de répartition des ressources et de services d’approvisionnement. L’Année mettra en avant l’histoire des réussites qui ont marqué la coopération dans le domaine de l’eau. Tout au long de 2013, des célébrations et manifestations seront organisées au siège de l’UNESCO à Paris, ainsi qu’à travers le monde.

Journée Mondiale de l’Eau 2013

Journée Mondiale de l’Eau 2013
Journée Mondiale de l’Eau 2013
En décembre 2010, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé 2013 Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau. Suite à cette déclaration, la Journée mondiale de l’eau, qui sera célébrée le 22 mars 2013, sera également dédiée à la coopération dans le domaine de l’eau. L’objectif de cette Année internationale est de sensibiliser à la fois aux possibilités de développement de la coopération et aux défis que représente la gestion de l’eau, face à un accroissement de la demande d’accès, de répartition des ressources et de services d’approvisionnement. L’Année mettra en avant l’histoire des réussites qui ont marqué la coopération dans le domaine de l’eau et cernera les questions brûlantes concernant l’éducation relative à l’eau, la diplomatie de l’eau, la gestion transfrontière de l’eau, la coopération financière, les cadres législatifs nationaux et internationaux, et les liens avec les Objectifs du Millénaire pour le développement. Elle sera aussi une occasion de tirer profit de la dynamique créée lors de la Conférence des Nations Unies sur le développement durable (Rio + 20) et d’encourager la formulation de nouveaux objectifs qui contribueront au développement de ressources en eau véritablement durables. Tout au long de cette année, les célébrations incluront des manifestations organisées au Siège de l’UNESCO à Paris, ainsi que de nombreux autres événements prévus par diverses parties prenantes partout dans le monde. Ces manifestations viseront à promouvoir les actions à tous les niveaux dans les domaines concernés, notamment l’éducation, la culture, l’égalité entre les sexes, les sciences, la prévention et la résolution des conflits, et l’éthique.

La coopération à l’honneur

Le 22 mars, parlons d’eau… et de coopération
  • FICHE 1 : La Journée Mondiale de l’Eau
  • FICHE 2 : L’action extérieure des collectivités locales françaises pour l’eau et l’assainissement – CHIFFRES CLES –
  • FICHE 3 : La coopération décentralisée française pour le renforcement des compétences des collectivités du Sud dans les secteurs eau et assainissement
  • FICHE 4 : Le pS-Eau et la Journée Mondiale de l’Eau
  • FICHE 5 : Pour aller plus loin
  • FICHE 6 : Le programme Solidarité Eau
Télécharger le dossier complet de la Journée Mondiale de l’Eau 2013 783 millions de personnes n’ont pas accès à une source d’eau protégée ou améliorée
Dont 330 millions en Afrique sub-saharienne, soit 39% de la population de ce territoire
2,5 milliards de personnes n’ont pas accès à des installations sanitaires de base
Dont 595 millions en Afrique sub-saharienne, soit 70% de la population de ce territoire
2 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année de maladies diarrhéiques dues à l’insalubrité de l’eau, et au manque d’hygiène
A l’heure où les Objectifs du Millénaire pour le Développement sont en train d’être rediscutés, où les politiques de développement de la France et de l’Union Européenne sont en cours de redéfinition, le rendez-vous du 22 mars ne peut pas être manqué. L’accès à l’eau potable et à un assainissement de base a été reconnu comme un Droits de l’Homme par l’Assemblée Générale des Nations Unies en 2010. C’est désormais l’affaire de tous, des Etats avant tout, mais également de tous les acteurs locaux, et des citoyens eux-mêmes, de faire appliquer ce droit pour tous et partout.

Vidéo d’animation: L’eau source d’avenir pour Yahimba.

Agence Française de Développement
Agence Française de Développement
A l’occasion de la journée mondiale de l’eau, découvrez comment l’AFD aide les pays du Sud à apporter une eau potable à tous. Vous vous demandez comment l’AFD intervient dans le domaine de l’eau et de l’assainissement ? Suivez Yahimba dans ce petit film d’animation pour découvrir les enjeux de l’eau dans les pays du Sud, les objectifs et les axes d’intervention de l’agence dans ce secteur clé pour le développement. Yahimba a soif de connaissances L’accès à une eau potable et à des installations sanitaires est un des enjeux majeurs de l’aide au développement. Sans l’accès à une eau saine, il ne peut y avoir de progrès en matière de santé, en particulier pour les mères et les jeunes enfants, ni de progrès en matière agricole, pour faire reculer la faim. – www.objectif-developpement.fr

L’eau potable pour tous ! Avec SOLIDARITES INTERNATIONAL

A l’occasion de la Journée Mondiale de l’Eau du 22 mars prochain, l’association humanitaire SOLIDARITÉS INTERNATIONAL relance sa campagne d’information visant à combattre la 1ère cause de mortalité au monde : l’eau insalubre. L’eau potable pour tous ! Avec SOLIDARITES INTERNATIONAL Objectif : signer la pétition pour un accès à l’eau potable pour tous sur www.votregouttedeau.org qui sera remise au secrétaire des Nations-Unis. 3,6 millions de personnes décèdent chaque année des maladies hydriques provoquées par l’eau insalubre et le manque d’assainissement, dont 1,5 millions d’enfants de moins de 5 ans ! Or, l’opinion publique ne le sait pas et les responsables politiques ne font pas preuve de la volonté indispensable pour mobiliser tous les moyens nécessaires afin de mettre fin à cette hécatombe. Signer la pétition pour l’accès à l’eau potable pour tous

Le 22 mars, parlons d’eau… et de coopération

Le 22 mars est la Journée Mondiale de l’Eau. Et l’année 2013 est l’année de la coopération internationale dans le domaine de l’eau. Ainsi, cette année, la Journée Mondiale de l’Eau sera célébrée sur le thème de la coopération. Le sujet est d’autant plus d’actualités quelques jours seulement après la clôture des Assises du développement, lors de laquelle le Président de la République a insisté sur l’importance de l’action des collectivités locales en coopération internationale et a mis l’accent sur deux urgences : la lutte contre les grandes pandémies, en particulier le Sida, mais également la question de l’eau, notamment au Sahel. De même, Laurent Fabius, dans son discours lu par le ministre Pascal Canfin lors de la Commission nationale de la coopération décentralisée du 29 janvier dernier, a largement mis en avant le rôle important joué par les collectivités locales dans la coopération au développement et la nécessité de renforcer et soutenir leurs actions, parlant de « diplomatie des territoires » et de « diplomatie concrète ». Les parlementaires français, au nom desquels le Sénateur Christian Cambon s’est exprimé lors de la clôture des Assises du développement et de la solidarité internationale, ont également souligné l’importance de réorienter plus fortement l’aide publique au développement de la France vers les pays les plus pauvres. Enfin, l’apport des collectivités locales françaises en termes d’appui à maîtrise d’ouvrage a été largement mis en avant, au regard des grands enjeux auxquels ont à faire face les collectivités locales des pays du Sud en matière de gouvernance des services publics, notamment d’eau et d’assainissement.

CHIFFRES CLES

L’action extérieure des collectivités locales françaises pour l’eau et l’assainissement • 26 millions d’euros mobilisés en 2011 par les collectivités locales françaises, les syndicats d’eau et d’assainissement, et les six Agences de l’eau
• Plus de 230 collectivités locales françaises engagées (Conseils régionaux, conseils généraux, villes, agglomérations, syndicats d’eau et d’assainissement) et les 6 Agences de l’eau
• 25 organismes concentrent 85% des financements mobilisés en 2011, dont 8 organismes qui mobilisent chacun plus d’1M€
• Les 6 agences de l’eau sont en cumulé les premiers contributeurs de la coopération décentralisée, représentant 52% de l’engagement total en 2011 (13,8M€ sur les 26M€), contre 48% pour les collectivités (12,6M€ sur les 26M€)
• Hors agences, les principaux contributeurs ont été, en 2011 : le SEDIF, le SIAAP, l’AIMF, le Grand Lyon, la ville de Paris, le CG du Val de Marne, la Région Ile-de-France, Nantes Métropoles, la Région Rhônes-Alpes, le CG des Yvelines L’application de la loi Oudin-Santini
• Sur les 26M€ mobilisés en 2011 par les collectivités et agences, 80% l’ont été via la loi Oudin- Santini, soit 21M€ (contre 19M€ en 2010)
• Si toutes les collectivités françaises, les agences de l’eau, les syndicats d’eau, les EPCI en charge de l’eau et de l’assainissement, appliquaient totalement le 1% solidarité eau, le potentiel de mobilisation serait d’environ 64M€ par an.
• Les agences de l’eau ont mobilisé en 13,8M€ en 2011, soit 65% des engagements loi Oudin sur un potentiel de 18M€
• Les collectivités et EPCI ont mobilisé 7,4M€ via la loi Oudin-Santini en 2011 (soit 35% des engagements loi Oudin) sur un potentiel de 46M€
Pour plus d’informations : (cliquez sur les liens ci-dessous) – Le Bilan 2011 de la coopération décentralisée eau et assainissementLe panorama national de la coopération décentralisée française eau et assainissementTout savoir sur la loi Oudin-Santini Guide de la coopération décentralisée pour l’eau potable et l’assainissement, pS-Eau – 2009

La coopération décentralisée française pour le renforcement des compétences des collectivités du Sud dans les secteurs eau et assainissement

Aujourd’hui, plus de 2.5 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à un assainissement amélioré et 780 millions ne disposent pas au quotidien d’une eau potable en quantité suffisante pour vivre. Une situation dramatique en termes de santé, de mortalité et de développement dans les pays du sud qui provoque la mort de 2 millions de personnes chaque année dans le monde, dont 90% sont des enfants de moins de 5 ans. Pour relever ce défi, les États concernés se mobilisent aux côtés des acteurs locaux et des populations, avec l’appui des partenaires financiers bi et multi latéraux, mais également des ONG et des acteurs de coopération décentralisée. Les collectivités locales au Nord sont en effet de plus en plus nombreuses à s’engager en faveur de l’accès à l’eau et à l’assainissement. Un mode de coopération qui peut représenter une solution efficace pour répondre aux besoins et renforcer la gouvernance locale, un des principaux enjeux pour les collectivités du Sud. La coopération décentralisée, une « diplomatie des territoires » Les collectivités locales en France sont de plus en plus nombreuses à s’engager en faveur de l’accès à l’eau et à l’assainissement en s’associant à des collectivités au Sud dans le cadre de la coopération décentralisée. Les modalités de leur intervention sont variées : soit, les actions sont menées en gestion directe par la collectivité, soit c’est un opérateur qui en assure la mise en œuvre localement pour le compte de la collectivité. Beaucoup soutiennent aussi financièrement des projets de solidarité internationale portés par des acteurs associatifs de leur territoire. Mettant leur expertise territoriale au service de leurs homologues au Sud, les collectivités françaises ont ainsi développé une « diplomatie des territoires » complémentaire à l’action internationale de la France comme l’a rappelé le Ministre des Affaires étrangères et européennes à l’occasion de la Commission nationale de la coopération décentralisée le 29 janvier 2013. En effet, l’action extérieure des collectivités apporte une solution efficace pour répondre aux besoins et renforcer la gouvernance locale. Un cadre d’intervention propice au développement local… La coopération décentralisée, inscrite dans la durée (certains partenariats ont parfois plus de 30 ans d’existence), permet de ne pas se limiter à une action ponctuelle mais de pouvoir assurer un suivi des actions réalisées et de s’inscrire dans la continuité des actions précédemment menées. Ces relations de proximité viennent souvent répondre à une demande exprimée localement et permettent une meilleure prise en compte des spécificités locales pour la définition de solutions plus adaptées. Néanmoins, ces actions menées au plus près des populations, doivent également répondre aux enjeux nationaux. Les partenaires doivent donc veiller à s’inscrire dans les politiques sectorielles des pays d’intervention. …et au renforcement des compétences des collectivités du Sud Les processus de décentralisation en cours dans de nombreux pays s’accompagnent du transfert progressif des compétences eau et assainissement des États vers les communes. C’est donc un défi important que ces collectivités locales, qui acquièrent la responsabilité d’assurer un service durable d’eau potable et d’assainissement sur leur territoire, ont à relever. Le renforcement de la maitrise d’ouvrage communale constitue donc désormais un objectif majeur pour les collectivités locales au Nord et au Sud. Le cadre juridique de la coopération décentralisée en France La loi du 6 février 1992 reconnaît juridiquement le droit aux collectivités locales françaises et leurs groupements de « conclure des conventions avec des collectivités territoriales étrangères et leurs groupements, dans les limites de leurs compétences et dans le respect des engagements internationaux de la France ». La loi Thiollière de 2007, conforte et élargit ce droit en faisant de l’action internationale une compétence à part des collectivités territoriales. Comment accompagner la décentralisation des services d’eau et d’assainissement ? Les actions visant à renforcer la gouvernance locale et à accompagner les communes dans leur rôle de maitre d’ouvrage peuvent se décliner de différentes manières en fonction du contexte d’intervention et de l’envergure du projet. L’organisation de formations à destination des acteurs concernés par la gestion du service de l’eau (élus et techniciens, notamment), la mise à disposition d’expertise mobilisée au sein des services techniques ou des délégataires au Nord, la mise en place d’outils de suivi et de gestion, l’appui à la mise en place de son service technique municipal, sont autant d’actions qui viennent renforcer les capacités et compétences des acteurs locaux. En effet, si la réalisation d’infrastructures (forages équipés de pompes à motricité humaine, mini-réseau d’adduction d’eau avec l’implantation d’un système d’exhaure, de stockage et de distribution) constitue un volet d’activités important pour améliorer l’accès à l’eau, l’organisation d’un service avec toutes les compétences locales nécessaires représente également un enjeu fondamental pour résoudre de façon durable le problème d’approvisionnement en eau d’une communauté. Responsables du service de l’eau auprès des usagers, de la gestion de l’évacuation et du traitement des eaux usées, les collectivités françaises disposent d’un savoir-faire à partager. Elles ont donc un rôle majeur à jouer pour accompagner leurs homologues au Sud dans l’organisation des services publics locaux nouvellement décentralisés. Une opportunité de financement des projets d’accès à l’eau et à l’assainissement Les collectivités locales françaises sont en mesure de mobiliser des fonds non négligeables pour financer leurs projets de coopération décentralisée, notamment grâce à la loi Oudin-Santini (voir encadré) qui permet aux collectivités de consacrer une part de leur budget eau et assainissement à des actions de La coopération décentralisée et les associations de solidarité internationale Une grande diversité d’acteurs associatifs de la coopération non gouvernementale est engagée en faveur de la solidarité internationale pour l’eau et l’assainissement : ONG, association de solidarité, associations de migrants. Professionnels ou bénévoles, leur action vient compléter celle de la coopération décentralisée. D’ailleurs les collectivités s’appuient régulièrement sur l’expertise d’ONG et font appel à leur capacité à mobiliser la société civile dans leurs actions, au Sud comme au Nord. Elles soutiennent également financièrement des projets d’amélioration de l’accès à l’eau potable et à l’assainissement portés par des acteurs associatifs de leur territoire. – Plus d’informations : www.coalition-eau.org Solidarité internationale dans ce secteur . Par ailleurs, elles peuvent entraîner avec elles d’autres partenaires financiers tels que l’Etat (dispositifs du Ministère des Affaires Etrangères ou de l’Agence Française de Développement), les fondations d’entreprises, les syndicats, et les agences de l’eau, créant ainsi un effet levier intéressant. En accroissant et diversifiant les opportunités de financement, cette loi fait désormais des acteurs de coopération décentralisée français des partenaires important pour l’accès à l’eau et à l’assainissement au Sud. Le 1% solidaire Dans le secteur de l’eau et de l’assainissement, la loi Oudin-Santini, adoptée en 2005, autorise les collectivités à consacrer jusqu’à 1% des recettes de leurs services d’eau et d’assainissement à des actions de solidarité internationale en faveur de ce même secteur. Cette loi, appelée aussi 1% solidaire, s’étend aux 6 Agences de l’eau présentes sur le territoire français, devenues aujourd’hui les contributeurs les plus importants en termes de financements mobilisés. En 2011, les collectivités françaises, syndicats et agences de l’eau ont mobilisé 26 millions d’euros pour financer des actions de solidarité dans le domaine de l’eau et de l’assainissement, dont 21 millions via la loi Oudin-Santini. Si les montants engagés par les collectivités territoriales françaises ont considérablement augmenté depuis l’adoption de la loi, le potentiel de mobilisation reste encore important. Une application totale et généralisée de la loi permettrait de mobiliser 64 millions d’euros par an. Agir au Sud, sensibiliser au Nord La coopération décentralisée se caractérise par une relation basée sur l’échange et la réciprocité, à travers des actions qui auront des impacts sur les deux territoires. Une action de solidarité au Sud c’est aussi une action de sensibilisation et d’information au Nord avec l’organisation de débats, d’animations, de festivals sur la thématique de l’eau et ses enjeux. Parler de l’eau et du manque d’eau ailleurs peut être un moyen d’encourager la réflexion et l’action ici, avec une prise de conscience des élus et des citoyens sur les enjeux de l’eau sur le territoire de la collectivité engagée : tarification, protection de la ressource, modalités de gestion, etc. La question de la coopération décentralisée, mais aussi de toutes les autres formes de coopération non gouvernementale, a eu toutes sa place dans les débats des Assises du développement et de la solidarité internationale qui se sont conclues 1er mars dernier. Un des 5 grands chantiers s’est d’ailleurs concentré sur le renforcement des partenariats entre l’Etat et les acteurs non-gouvernementaux. A cette occasion, il a été rappelé le rôle fondamental des collectivités dans l’action extérieure de la France, sur le plan économique, mais aussi dans les domaines sociaux, politiques, culturels. C’est précisément ce que permet la loi du 1% solidaire qui repose sur le principe même de solidarité entre usagers du Nord et du Sud en encourageant l’engagement citoyen et favorisant le dialogue entre sociétés civiles et pouvoirs publics. – Télécharger le dossier complet de la Journée Mondiale de l’Eau 2013

Affiche

2013 : Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau

Cycle de l’eau

Cycle de l'eau (en anglais)
2013 : Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau
2013 : Année internationale de la coopération dans le domaine de l’eau

Ouvrages pS-eau

Conservation et traitement de l'eau à domicile, pS-Eau, 36 pages, Mai 2013
Conservation et traitement de l’eau à domicile, pS-Eau, 36 pages, Mai 2013
Dans les pays en développement, de nombreux usagers ont accès à une eau de consommation dont la qualité est médiocre et qui génère des impacts négatifs sur le plan sanitaire. Face à ce constat, de nombreuses solutions techniques de traitement et de conservation adéquate de l’eau à domicile ont été développées. Pour faciliter la réflexion des porteurs de projets en charge de mettre en œuvre de tels systèmes, ce guide pratique propose une revue de ces différentes solutions et se structure autour de 10 grandes questions à se poser avant de choisir une solution adaptée.
Télécharger l’ouvrage Conservation et traitement de l’eau à domicile
Services d'eau par réseau dans les bourgs et petites villes des pays en développement - Suivi technique & financier et régulation, pS-Eau, Acqua-OING, 52 pages, Février 2013
Services d’eau par réseau dans les bourgs et petites villes des pays en développement – Suivi technique & financier et régulation, pS-Eau, Acqua-OING, 52 pages, Février 2013
Dans les bourgs et petites villes des pays en développement, la gestion des réseaux d’eau potable se heurte régulièrement à des difficultés qui fragilisent la qualité et la pérennité des services. Pour y remédier, plusieurs pays ont mis en place des mécanismes de suivi technique et financier qui visent à mesurer la qualité des services afin d’en renforcer la gouvernance et la performance. Cet ouvrage décrit ces mécanismes, fournit une compréhension détaillée des indicateurs utilisés pour le suivi, précise les bénéfices générés autant vis-à-vis de la qualité des services que des enjeux de la régulation, et propose des recommandations sur la démarche à suivre pour mettre en place de tels mécanismes. Destiné aux décideurs nationaux, autorités responsables, gestionnaires et acteurs du secteur de l’eau, cet ouvrage vise à approfondir et étendre la compréhension du suivi technique et financier comme outil essentiel pour le pilotage et le développement du secteur.
Télécharger l’ouvrage Services d’eau par réseau dans les bourgs et petites villes des pays en développement – Suivi technique & financier et régulation
Accès à l'eau potable dans les pays en développement - 18 questions pour des services durables
Accès à l’eau potable dans les pays en développement – 18 questions pour des services durables
De nombreux acteurs, au Nord comme au Sud, s’engagent pour l’amélioration des services d’eau potable dans les pays en développement. Afin d’appuyer ces acteurs dans la conception d’actions de qualité, le pS-Eau a réalisé ce guide qui s’adresse en particulier aux acteurs de la coopération décentralisée et aux organisations non gouvernementales. Cet ouvrage propose une liste de 18 questions qu’il est nécessaire de se poser avant d’agir et permet d’interroger l’action envisagée selon les 7 critères de la qualité d’une projet d’approvisionnement en eau potable.
Télécharger l’ouvrage Accès à l’eau potable dans les pays en développement – 18 questions pour des services durables
Contact : Céline Noblot – tél.: 33/1.53.34.91.29 – Programme Solidarité Eau – 32, rue Le Peletier – 75009 Paris – Site Web du pS-Eau : http://www.pseau.org

 

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