« La crise va-t-elle « enterrer » le développement durable qui ne serait une priorité qu’en période de prospérité ? Ou au contraire, le monde de l’après-crise n’est-il viable que s’il repose sur les responsabilités sociales, économiques, environnementales de tous les acteurs ? », questionne Sylvie Faucheux, présidente de l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. « Ces questions sont loin d’être tranchées, c’est pourquoi il nous a semblé pertinent de les approcher, de les discuter et de les partager (...)
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