Avec moins de 2 % de son offre touristique convertis à l’écotourisme, la France accuse sans aucun doute un certain retard sur ses voisins d’Europe du nord, plus prompts à intégrer les logiques du développement durable à ce secteur de l’activité. Depuis quelques années pourtant, le phénomène commence, toute proportion gardée, à prendre de l’ampleur.
Ainsi, quand l’écolabel européen a été étendu aux hébergements touristiques en 2003, la France n’affichait qu’un seul et unique lauréat. "Il y en a désormais une (...)
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