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SANTE

SIDA : sortir de la stagnation

Par le Docteur Yvette Parès, pionnière française de la médecine traditionnelle africaine

Il serait difficile de nier la nature infectieuse du sida. Le nombre élevé de contaminations par échange de seringues dans les groupes qui s’adonnent à la drogue en apporte une preuve qui semble décisive. Mais quelle est la nature exacte de l’agent pathogène en cause ? Un doute scientifique présenté par ailleurs dans le documentaire d’Arte ci-dessous. Après avoir suscité des vagues d’angoisse, des flots de discours stressants, des congrès gigantesques regroupant des milliers de participants, les annonces très triomphantes de « grandes avancées thérapeutiques », le sida est entré dans une phase d’indifférence. Il fait partie du paysage pathologique, il n’attire plus l’attention. Et cependant, rien n’est résolu. Le Docteur Yvette Parès, auteur de « SIDA, de l’échec à l’espoir », bouscule les a priori et invite la médecine à sortir de la stagnation.

SIDA : incertitudes et problèmes thérapeutiques

Au départ, peut-être avec une trop grande précipitation, le rôle d’agent pathogène en cause dans le SIDA fut attribué à un virus dénommé VIH. L’information venant d’instituts connus dans le monde fut acceptée comme une réalité qui ne pouvait être mise en doute. Cette situation dura plusieurs années. Mais des faits troublants amenèrent des controverses non encore résolues. – Le virus VIH n’avait jamais été isolé et purifié – Aucun virus n’a été décelé en microscopie électronique dans le sang des patients dont la « charge virale » est élevée. – La technique PCR qui sert à mesurer cette virémie, selon son auteur, n’est pas adaptée à ce genre d’évaluation. Par ailleurs, il a été démontré que les tests de dépistage du sida n’étaient pas spécifiques. De nombreuses causes pathologiques donnent de fausses « séropositivités ». Parmi les soixante causes d’erreurs, on peut citer: tuberculose, paludisme, grippe. Il en est de même avec les conditions physiologiques de la grossesse. Quel est le véritable agent pathogène responsable du SIDA ? Cette question demeure encore sans réponse définitive. L’adoption trop rapide du dogme VIH-SIDA a certainement bloqué des recherches qui auraient pu conduire à d’autres conclusions. Le rôle possible des mycoplasmes a été évoqué à diverses reprises. Existerait-il des indices qui orienteraient vers ces bactéries sans paroi, échappant aux examens de routine ?. Deux espèces pathogènes pour l’homme sont connues, d’autres n’ont peut-être pas encore été détectées. Mais, curieuse coïncidence, ces agents pathogènes peuvent être décelés par la technique PCR citée plus haut. On peut raisonnablement s’interroger sur la véritable signification de la « charge virale » que la microscopie électronique n’a pas confirmée. D’autres hypothèses pourraient encore être émises sur le rôle d’agents infectieux inconnus, tels que les prions mis en évidence pour la maladie de la « vache folle ». Des travaux scientifiques devraient être menés afin de confirmer ou d’infirmer l’ensemble de ces hypothèses. Le flou qui demeure en dépit des conceptions officielles crée un malaise qui n’est pas qu’inconfort intellectuel. Il en résulte de graves conséquences sur le plan thérapeutique. La vérité, quelle qu’elle soit, virus VIH ou non, est la clef de voûte pour les traitements à mettre en œuvre. Les orientations thérapeutiques Plusieurs cas sont à considérer : 1- Si le VIH est bien l’agent responsable du sida, les médications antivirales sont justifiées. Mais la trithérapie, toxique, non curative, créant un grand mal-être, est une voie erronée qui devrait être abandonnée dans les meilleurs délais. D’autres solutions ont été élaborées depuis plusieurs années dans les médecines traditionnelles mais elles rencontrent beaucoup d’obstacles. Esprit dominateur et intérêts financiers d’une part, aveuglement, applications des directives venues de l’extérieur, manque d’initiative, indifférence, d’autre part, contribuent au maintien d’une situation néfaste et qui aurait pu être complètement modifiée. Les médecins peuvent-ils avoir l’esprit en paix lorsqu’ils pratiquent « l’éducation thérapeutique » des patients pour les persuader d’accepter des produits qui détériorent gravement l’organisme. On pourrait s’étonner qu’ils ne recherchent pas d’alternative mais la formation universitaire reçue ne leur en donne pas la possibilité. 2- S’il s’agit d’un mycoplasme – ce serait la troisième espèce pathogène pour l’homme – des médications antibiotiques de large étendue pourraient être élaborées à partir des flores médicinales. Sans effets indésirables, leurs prescriptions seraient de plus ou moins longue durée, selon les exigences cliniques. 3- Dans l’incertitude actuelle et l’attente de preuves irréfutables sur l’identité de l’agent pathogène ou d’agents infectieux agissant conjointement, l’initiative thérapeutique, comme on pourrait le craindre, n’est pas compromise. Les flores médicinales permettent de réaliser avec des plantes judicieusement associées, des préparations médicamenteuses polyvalentes douées simultanément de propriétés – antibactériennes – antimycobactériennes – antivirales – antifongiques De plus, il s’y ajoute selon les associations de plantes, de nombreuses vertus : fébrifuge, diurétique, dépurative, tonique, antidiarrhéique, immunostimulante, etc. Il ne s’agit pas d’une simple vue de l’esprit mais de réalisations concrètes . La médecine africaine au Sénégal détient des médications de ce type qui ont révélé toute leur efficacité. Pourquoi les plantes européennes n’auraient-elles pas les mêmes capacités ? De telles initiatives seraient très certainement bénéfiques pour les patients du sida. Erreurs et conséquences De nombreuses erreurs aux lourdes conséquences jalonnent la route du sida. 1- Les buts pratiqués ne sont pas rigoureusement sélectifs, d’où le risque de vies humaines dévastées par l’annonce d’une fausse séropositivité. 2- Les statistiques visant à établir l’ampleur de l’épidémie dans une région donnée ont pour base essentielle les tests pratiqués sur les femmes enceintes. Or, cet état physiologique engendre de fausses séropositivités. Quelle valeur peut être accordée aux chiffres officiels majorant le danger et l’appel aux antirétroviraux toxiques ? 3- Les fausses séropositivités sont suivies de la prescription de produits pour éviter la transmission de virus de la mère à l’enfant. Des dommages sont ainsi causés à la future mère. 4- Cette « prescription préventive » d’antirétroviraux porte aussi préjudice à l’enfant. Des cas de maladies mitochondriales néonatales, causes de mortalité, ont été observées. Avec le sida, la prudence qui était de règle pour la prescription médicamenteuse chez les femmes enceintes n’est plus respectée. Les produits les plus toxiques sont administrés. 5- Les essais vaccinaux ont été très nombreux et négatifs. Quel « matériel vaccinal » était utilisé ? Des accidents graves ont marqué les essais. En conclusion La lutte contre le sida a été mal engagée dès le départ. On demeure dans l’impasse. Pour retrouver le bon chemin, plusieurs conditions seraient indispensables : – L’identification irréfutable de l’agent pathogène en cause. – L’adoption par les pays occidentaux de solutions thérapeutiques de rechange, puisées dans les ressources de la nature. – Le recours des pays du sud aux capacités de leurs médecines traditionnelles. Le sort de l’épidémie dépend de ces options.

SIDA : Le Doute – Documentaire Arte

Un documentaire diffusé par Arte présente, en ce sens, le doute qui existe chez certains scientifiques sur les causes véritables du SIDA …

SIDA, un impératif : sortir de la stagnation

Une situation confuse, bloquée et entravée 1. Les controverses scientifiques sur le rôle d’un virus dénommé VIH et qui remontent au début de l’épidémie ne sont pas encore définitivement tranchées. 2. La prescription des antirétroviraux aux lourds effets indésirables et qui peuvent provoquer dépression et pensées suicidaires continue d’être imposée par les instances sanitaires internationales, sur tous les continents malgré l’incapacité à maîtriser l’épidémie. Les esprits, comme paralysés, s’accommodent de cette situation et ne cherchent pas à s’en dégager. 3. Des voies thérapeutiques alternatives ont depuis de longues années fait la preuve de leur efficacité et de leur innocuité. Mais elles sont délibérément ignorées et écartées par la politique sanitaire officielle. Aucun progrès méritant vraiment ce nom n’a été réalisé, les thérapies antirétrovirales ne sont que fausse sécurité, porteuses de nombreux dangers. La stagnation déjà longue dans la lutte contre le sida et que rien ne vient perturber constitue un obstacle majeur pour l’endiguement de l’épidémie. Des arguments proposés Afin de soutenir la thèse officielle sur le rôle du VIH, on peut considérer que si les antirétroviraux prolongent la vie des patients, c’est qu’ils agissent bien sur le virus présumé. Mais une autre affirmation serait également valable. Ces produits ont certainement un spectre d’activité étendu à d’autres agents pathologiques dont il serait nécessaire d’établir la matière. L’un d’entre eux, bien qu’ayant échappé aux examens de routine, ne pourrait-il pas être responsable de la maladie ? Dans les deux cas envisagés, les antirétroviraux qui constituent des « thérapies moléculaires » peuvent engendrer des résistances. La recherche de la vérité Trois questions essentielles ont été posées à diverses reprises et en différents lieux mais elles sont demeurées sans réponse jusqu’à ce jour. Elles permettraient d’apporter la lumière, de percer la brume épaisse qui entoure le sida. – Quels sont les chercheurs qui, après l’équipe de l’Institut Pasteur ont observé, isolé et cultivé des souches virales comparables à la souche initiale ? – Existe-t-il un laboratoire de référence chargé, comme tel est le cas pour d’autres virus, de la garde et de l’entretien des souches de VIH? Oû est-il situé ? – Quelles sont les origines humaines – à quels stades de la maladie les prélèvements ont-ils été effectués et quelle est la nature de ces prélèvements ? – des souches utilisées par les laboratoires pharmaceutiques pour la recherche de molécules antirétrovirales dont les actions sont subtiles :
  • inhibition de la transcriptase inverse
  • inhibition de la protéase virale
  • inhibition de la fusion des membranes cellulaire et virale.
Les aspects thérapeutiques S’il se confirme que le VIH est bien l’agent responsable du sida, il n’en découle pas que les trithérapies, avec tous leurs défauts, doivent être maintenues. Elles devraient au contraire être abandonnées dans les plus brefs délais et remplacées par d’autres médications. Les plantes antivirales, douées par ailleurs de nombreuses vertus complémentaires, se rencontrent en abondance dans toutes les flores médicinales réparties à travers le monde. Des traitements actifs ont déjà été prescrits, d’autres pourraient encore être rapidement élaborés et mis en oeuvre en faisant appel aux praticiens traditionnels Si l’agent responsable du sida n’est pas encore identifié, étant inaccessible aux examens de routine, tout espoir n’est pas perdu pour les patients. Les préparations médicamenteuses à base de plantes, conçues initialement pour leur vertus antivirales , ont un spectre d’activité beaucoup plus étendu. Elles peuvent s’opposer à de nombreux agents pathogènes par une action silencieuse mais efficace. En conclusion Accepter la stagnation en matière de lutte antisida revient à prolonger l’épidémie. D’où viendra le sursaut qui, avec dynamisme, ouvrira de nouvelles voies thérapeutiques, bénéfiques pour les patients et patientes, non polluantes et issues de l’immense pharmacie de la nature ? Le 21e siècle appelle au changement dans tous les domaines. Dr Yvette Parès
Professeur à l’Université de Dakar de 1960 à 1992
Dr ès-science
Dr en médecine
Directrice du centre de recherches biologiques sur la lèpre de 1975 à 1992
Directrice de l’Hôpital traditionnel de Keur Massar (Sénégal) de 1980 à 2003

 

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1 COMMENTAIRE

  1. SIDA : sortir de la stagnation
    Chère équipe Cdurable,

    Intéressant, mais peut-être téméraire de votre part de présenter dans vos colonnes ce courant en dissidence avec la surpuissante industrie pharmaceutique ! Sujet, aussi explosif et politiquement incorrect que peut l’être la remise en cause de la version officielle des événements du 11 septembre 2001.

    Une vidéo plus récente sur le sujet, avec des témoignages d’experts tout aussi déroutants :
    http://www.youtube.com/watch?v=hylBqwHkE-w&feature=related

    Comme mentionné, l’usage du préservatif semble primordial pour lutter contre les MST. Toutefois, le peu d’informations économiques disponibles sur les quelques firmes qui produisent des préservatifs, avec pourtant des bénéfices financiers colossaux, notamment depuis « la lutte contre le sida », interrogent.
    Questions :
    – quels sont les impacts écologiques des préservatifs ?
    – peut-on avoir des pratiques sexuelles avec un engagement écologique et des produits bios ?
    (J’ai pu une fois essayer un préservatif manufacturé en boyaux de chèvre. Bonnes sensations !)