Selon Louis-Gilles Francoeur pour le quotidien quebecois "Le Devoir", l’industrie a complètement détruit les amortisseurs naturels qui protégeaient La Nouvelle-Orléans. En moins d’un an, dame Nature a donné deux sévères leçons à ces humains qui persistent à voir dans les milieux humides des zones infectieuses dont il faut à tout prix se débarrasser pour y construire des immeubles sur des terrains rognés sur la mer ou dans les cours d’eau. Et la catastrophe environnementale de La Nouvelle-Orléans pose aussi la question de la reconstruction de cette ville et de l’éventuelle relocalisation d’autres grandes cités à travers le monde.
![]() |