Tchernobyl puis Fukushima ont clairement démontré les risques majeurs de l’énergie nucléaire. L’Allemagne, la Suisse, l’Italie et d’autres pays ont décidé de lui tourner le dos. En France, la question divise partis et candidats à l’élection présidentielles. Mais l’atome n’a pas dit son dernier mot. Le Suisse Jean-Christophe de Mestral, physicien, administrateur de sociétés industrielles et membre de la municipalité d’Aubonne (VD), vient de publier L’atome vert - Le thorium, un nucléaire pour le développement (...)
A chaque pays, selon son développement sur les dernières 50 années et son futur, correspondent des impératifs (?) économiques,militaires, politiques et socio-culturels qui s’ajoutent et/ou s’entre-mèlent et ne sont jamais les mêmes. Les analyses sur l’avenir énergétique d’un pays, dégagées de partialités, n’existent pas. Un exemple clair est celui de l’Allemagne où l’amalgame militaire/économique/politique est, depuis la dernière guerre, fondamentalement très différent de celui des pays comme les Etats-Unis, l’Angleterre et la France. D’où une position et un état de fait sans rapport pour la filière Uranium dont (...)