Ce que l’on peut désormais appeler – et pour longtemps sans doute – la grande déconvenue de Copenhague est à la mesure de l’espoir que cette rencontre avait suscité. Après les grandes cérémonies précédentes (Rio de Janeiro, Kyoto, Johannesburg, etc.), il fallait être singulièrement naïf pour croire qu’une quelconque décision - que l’immense gravité des enjeux nécessite absolument - allait enfin surgir d’une ambiance de hall de gare, où chaque nation veille avant tout sur ses intérêts propres.
L’enjeu lui, est (...)
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