Banque, assurance, automobile, alimentation… Beaucoup d’entreprises usent et abusent de promesses écologiques pour séduire des consommateurs plus paumés que jamais. Plongez avec Terra eco dans les dessous du marketing vert, découvrez les moyens de lutter contre le « greenwashing » – ou écoblanchiment – et jugez les propositions des publicitaires « alternatifs ». Un dossier passionnant sans concession à découvrir dans ce numéro de septembre qui inaugure également une nouvelle formule.
Au sommaire du dossier pub et écologie : – ENQUÊTE : Comment la publicité récupère l’écologie. L’écoblanchiment est à la mode chez les publicitaires. La tendance sera-t-elle durable ou les gendarmes de la pub vont-ils y mettre le holà ? – DÉCRYPTAGE : Les 7 péchés de la pub « verte ». Découvrez dans ce numéro les sept façons de tromper le consommateur, repérées par des ONG, des institutions et des experts : L’hyper-verdure- La label-mania – La perfide ambiguïté – Le flagrant mensonge – La criante contre-vérité – La moquerie facile – La totale exagération. Cela promet ! – PRATIQUE : Comment dénoncer une pub choquante ? Trois questions à Anne-Carine Jacoby, avocate spécialisée dans le droit de la propriété intellectuelle. – SAGA : BP, l’imposteur numéro un. Le géant britannique promettait d’aller « au-delà du pétrole ». La marée noire de Louisiane clôture dix ans de mensonges. – INTERVIEW : « Le golfe du Mexique, la première crise aussi médiatique ». Questions à Thierry Libaert, spécialiste de la communication de crise et de la communication environnementale. – FACE-À-FACE : « La pub aussi cynique que le système qu’elle soutient ». – EXCLUSIF : Une autre publicité est possible ! Une publicité éthique et responsable est-elle possible ? Terra eco demandé à quatre agences de communication spécialisées dans le développement durable de revisiter des campagnes décortiquées dans sa rubrique « Le marketing expliqué à ma mère ». Eco&Co, Limite, Inoxia et Sidièse ont relevé le défi du 4×4, de la lessive, de la peinture et de la betterave. Un « exercice » exclusif, jamais tenté en France. En attendant de découvrir le résultat dans les pages de ce magazine, voici un premier exemple : Également au sommaire de ce numéro : – Le paquet de chips. Fines et légères, les croustillantes en tiennent pourtant une sacrée couche. Une triple épaisseur même : à base d’huile de palme, de suremballage et de gaz hilarant. un épluchage déconcertant à découvrir dans Terra eco. – Savon de Marseille : appellation d’origine incontrôlée. Hérésie ! Aujourd’hui, le cube blanc est aussi phocéen que la tour Eiffel. En tout cas, rien n’empêche ses fabricants de s’installer loin des calanques. Ni même d’utiliser le suif dans sa composition. Un conseil : penchez-vous avec attention sur son étiquette. – Étiquettes à lire et à boire. Les bouteilles de vin se parent d’étiquettes chatoyantes et parfois très bavardes. Mais quelles informations sont utiles à décrypter avant d’acheter ? Réponses en trois exemples dans Terra eco… – Parler de différence entre l’homme et l’animal est nocif. Interview dans la SÉRIE : QUEL AVENIR POUR LA BIODIVERSITÉ ? Sur Terre, les humains vivent avec des tiques, des abeilles, des bonobos, des veaux. Et penser les uns sans les autres est une absurdité. C’est la certitude de la philosophe Vinciane Despret, qui étudie depuis des années cet équilibre entre êtres vivants, notamment auprès d’éleveurs bio. – Un chef aux petits légumes. Ebranlé par la vache folle, le cuisinier Alain Passard a délaissé le sang de la viande pour le jus du navet. Toujours coûteuse, la carte de l’Arpège à Paris est devenue légumière. L’homme, lui, a gardé ses trois étoiles… et livre à « Terra eco » l’une de ses recettes. – Pourquoi le papier est en train de flamber. Pour cette rentrée, les prix des cahiers et des feuilles ont failli exploser. C’est en effet la révolution sur le marché mondial du papier. En cause : la Chine, le séisme au Chili, les dockers finlandais et la crise… – Pour trouver ce numéro dans un kiosque près de chez vous, cliquez ici. – Abonnez-vous à Terra eco à partir de 39 €, en cliquant ici.