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Le CO2 : déchet ou matière première, fatalité ou opportunité ? Thème du colloque de l’ENSIACIET de Toulouse les 16 et 17 décembre 2008

Posté par François Fine Les 16 et 17 décembre 2008, l’ENSIACIET de Toulouse organise un colloque sur le thème : Le CO2 : déchet ou matière première (fatalité ou opportunité)? Aujourd’hui, l’industrie est déjà en train de développer des procédés pour diminuer la part de CO2 dans les gaz d’émission. Beaucoup d’études ont été faites sur le captage et le stockage du CO2. On teste l’impact du CO2 sur les sites géologiques où il est stocké. Cependant, il reste à étudier la transformation du CO2 en des molécules moins dommageables pour l’environnement. De plus, le CO2 devient une matière première abordable dont la transformation présente maintenant une perspective attractive. Le colloque permettra aux scientifiques et aux industriels de : – Identifier les programmes scientifiques et techniques concernant la transformation du CO2. – Echanger sur leurs développements industriels possibles. – Proposer d’autres alternatives. FFC_CO2.jpg

En savoir plus sur la FFC et le DD

Un projet prioritaire de la FFC : Chimie pour un Développement Durable® Depuis plus de dix ans maintenant, les plus hautes organisations internationales et nationales font la promotion d’un « développement durable » (ou « sustainable development »). Cette préoccupation est devenue universelle. Il s’agit non seulement de poursuivre la recherche d’un plus grand bien être dans nos sociétés, mais aussi de répondre à l’impérieuse nécessité de lutter contre la pauvreté et d’amener les conditions de vie des plus démunis au niveau des meilleures nations (disparités Nord/Sud, développement économique), tout en tenant compte de la fragilité de la planète face aux activités humaines (impact sur le climat, la biodiversité, l’environnement) et de ses limites (énergies fossiles, eau). Les défis s’avèrent énormes et complexes, aussi les approches du développement durable sont multiples et les définitions nombreuses : rechercher un développement qui réponde aux besoins actuels sans obérer la capacité des générations futures à répondre aux leurs, c’est-à-dire qui soit socialement équitable, écologiquement durable et économiquement viable (les 3 « E » : équité, environnement, économie, ou en anglais les 3 « P » : people, planet, profit). Contribuer à une telle démarche apparaît comme un impératif éthique pour tout responsable, notamment dans notre domaine, la chimie. Chacun de nous peut constater que les attentes se font de plus en plus pressantes de la part du grand public, des organismes réglementaires et de tous les secteurs industriels. Celles-ci sont d’autant plus justifiées que la chimie et les biotechnologies trouvent des applications dans tous les secteurs économiques et dans la résolution des problèmes environnementaux. Les savoirs développés par ces sciences sont indispensables à la mise en place de procédés innovants, de nouvelles valorisations des produits agricoles, de nouvelles sources énergétiques, ainsi qu’à la protection de la santé humaine, à la connaissance et à la préservation des équilibres écologiques. Mais au-delà des exigences découlant de cette implication, le développement durable constitue pour la chimie une opportunité d’innovation et de progrès pour la recherche, l’enseignement et l’industrie : création de nouveaux produits moins soumis à la concurrence internationale, mise au point de procédés compétitifs, développement de nouveaux marchés, amélioration de l’image de la chimie et des biotechnologies auprès du public, nouvel attrait des jeunes pour les métiers de la chimie. Nombreux sont les chimistes qui oeuvrent en ce sens depuis des années. La Fédération Française des sciences pour la Chimie, entend soutenir ce mouvement, et se donne donc comme priorité de promouvoir le développement et la diffusion des connaissances de chimie nécessaires pour répondre à ces nouvelles exigences et pour saisir les opportunités en découlant. Extrait de l’article de Michel Azémar, responsable de ce projet publié dans L’Actualité Chimique (2006, 294, 4-5) – Télécharger cet article en intégralité au format .pdf

 

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