A noter également :
– La présence du sous-secrétaire d’Etat américain au développement rural, Dallas TONSAGER, lors de la session d’ouverture, sur le campus de LaSalle Beauvais, le lundi 27 juin, à 17h00,
– La présence du président du pôle de compétitivité mondial « Industries et Agro-Ressources », Daniel THOMAS, lors de la soirée au château de Pierrefonds, le mardi 28 juin, à 20h00,
– La présence de la présidente directrice générale de l’INRA et présidente d’Agreenium, Marion GUILLOU, lors de la soirée sur les bateaux-mouches à Paris, le mercredi 29 juin, à 20h00

Un an ½ après son élection à la présidence du GCHERA, consortium mondial pour l’enseignement supérieur et la recherche en agriculture, le directeur général de LaSalle Beauvais, Philippe CHOQUET, réunira 200 recteurs et doyens d’universités en agriculture de tous les continents (60 pays représentés), en congrès, du 27 au 29 juin prochain, sur le campus de l’école, à Beauvais.
L’objectif est double : permettre aux universités en agriculture d’affirmer leur rôle-clé dans les grandes questions agricoles de ce 21ème siècle au coeur du G20 agricole des 22 et 23 juin, structurer le GCHERA et ses 15 associations régionales en confédération pour leur permettre de jouer ce rôle.
Le Ministère de l’Agriculture français, mais aussi son homologue américain, l’USDA, le Ministère de l’Enseignement supérieur & de la Recherche seront représentés lors de ce congrès, organisé, sous le haut patronage de la FAO, en partenariat avec l’association européenne des universités en agriculture & sciences du vivant ICA et l’association américaine APLU.
Elu en novembre 2009 à la tête du GCHERA1, consortium mondial des universités en agriculture qui réunit quelque 580 membres d’une centaine de pays différents, Philippe CHOQUET, directeur général de LaSalle Beauvais, s’est fixé un objectif précis pour son mandat : engager les 15 associations régionales d’universités en agriculture (Afrique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie, Europe, Océanie, Russie) dans une réflexion globale sur la nécessité de s’organiser en confédération pour jouer un rôle de premier plan dans les réponses à apporter aux enjeux agricoles mondiaux.
Après une réunion, qui s’est déroulée sous l’égide de la FAO, à Rome, en janvier dernier, c’est lors du congrès du GCHERA, qui se déroulera fin juin, que l’organisation du GCHERA en confédération d’associations régionales devrait être adoptée.
La nécessité d’une telle organisation se confirme par l’importance de l’enseignement supérieur et la recherche en agriculture dans les réponses à apporter aux enjeux du 21ème siècle que sont :
– la sécurité alimentaire et l’augmentation de la population mondiale dans un marché de plus en plus globalisé,
– le changement climatique et ses conséquences sur la production agricole,
– les défis environnementaux, l’alternative de la biomasse et la question de sa compétition avec la production alimentaire,
– …
Autant de thèmes centraux du G20 agricole des 22 et 23 juin à Paris.
La structuration du GCHERA doit lui permettre de faire valoir les intérêts et l’expertise de tous les acteurs régionaux de l’enseignement supérieur en agriculture sur ces différentes questions, pour leur offrir une plus
grande visibilité vis-à-vis des organisations internationales.
Un enjeu de taille qui sera au coeur du 7ème congrès GCHERA sur le thème « Les universités en agriculture : acteurs-clés du développement durable local », les 27, 28 et 29 juin prochains, sur le campus de LaSalle Beauvais.
Ce congrès devrait voir la participation de 200 recteurs et doyens d’universités, mais aussi de représentants d’instances françaises, européennes et internationales de premier plan dans le domaine de l’agriculture.
Le Ministère français de l’Agriculture, le Conseil régional de Picardie, la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis, Agreenium, Agrinatura, Groupama et Le Monde soutiennent l’organisation de ce congrès qui se
tient pour la première fois en France.
Le congrès GCHERA en chiffres
– 200 participants [1] attendus
– 15 associations et 60 pays représentés
– 4 sessions plénières :
- L’éducation au service du développement durable local
–* Recherche et stratégies d’innovation
–* Stratégies de partenariat avec les décideurs locaux
–* Positionnement stratégique des universités en agriculture et sciences du vivant
– 11 sessions parallèles avec 40 intervenants différents
– Une dizaine de réunions annexes des différentes associations à Beauvais, entre le 26 juin et le 1er juillet