XXI c’est un journalisme de récit, qui prend le temps d’aller voir, de rencontrer, le temps de raconter et dispose de l’espace pour entraîner le lecteur à sa suite. Un journalisme qui se concentre sur l’information profonde et non sur l’écume de l’actualité. Sur 200 pages, ce magazine sans publicité nous donne matière à découvrir, comme à réfléchir. Journalistes, romanciers, dessinateurs, photographes, documentaristes se relaient, au fil des pages. Le résultat est formidable et offre une véritable alternative au journalisme superficiel. La presse est unanime pour saluer cette initiative salutaire. Ce journal est sans publicité pour assurer son indépendance, il a donc besoin de vous. Alors, citoyens et citoyennes, achetez ce premier numéro et mieux abonnez-vous !
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L’INFORMATION GRAND FORMAT : Tous les trimestres, des talents vous entraînent à leurs côtés pour comprendre le monde d’aujourd’hui. Des semaines de travail sur le terrain… Une étonnante récolte d’images et de rencontres par des romanciers, des journalistes, des photoreporters, et des dessinateurs de BD. UNE MAQUETTE QUI INVITE A LA LECTURE : La maquette associe des pages d’ouvertures spectaculaires et fortes, pour donner le ton, et des pages à lire, comme dans un livre. Elle est conçue par Quintin Leeds, directeur artistique du Monde, et Sara Deux. A CHAQUE NUMÉRO, UN REPORTAGE DE BD : Pour la première fois, la BD est traitée comme un genre à part entière. De grandes signatures ont accepté de fournir 30 planches inédites de récit graphique, après être allées en reportage sur le terrain. Jean-Philippe Stassen, Jacques Ferrandez, Joe Sacco réalisent les premiers reportages de XXI. UNE GALAXIE D’AUTEURS DE QUALITÉ : XXI rassemble tous les talents du reportage : des romanciers aguerris qui aiment raconter le réel, des journalistes de talent qui savent écrire 20 à 30 feuillets, des photoreporters de terrain, des auteurs majeurs de BD qui ont envie de se confronter au reportage. Dans ce premier numéro, on retrouve : Emmanuel Carrère, écrivain – Sorj Chalandon ancien journaliste à Libération entre 1973 et 2007 et romancier – Carl de Keyzer, photographe – Maria Malagardis, journaliste indépendante, collabore avec Libération et Rue89 – Laure Mandeville, grand reporter au Figaro – Judith Perrignon, journaliste – Jean-Pierre Perrin, journaliste à Libération – Jean-Philippe Stassen, un des auteur de bandes dessinées les plus originaux du moment – Armelle Vincent, correspondante aux Etats-Unis – Weronika Zarachowicz, grand reporter à Télérama.Les origines de XXI
L’art du reportage a fait ses preuves. Les Etats-Unis sont familiers depuis longtemps du reportage d’actualité de 10 à 30 pages, qu’ils appellent « narrative writing ». Ce format long est la marque de fabrique des fleurons de la presse américaine comme The New York Times Magazine, The New Yorker, Atlantic Monthly ou Vanity Fair. La puissance du genre est universelle. Il a donné Albert Londres, Joseph Kessel, Jean Lacouture ou Jean-Claude Guillebaud. Le succès d’Actuel durant les années 80 a également été fondé sur le grand reportage. Dans les années 90, la revue anglaise Granta, vendue en librairie, a envoyé à l’étranger une génération de journalistes et d’écrivains devenus célèbres depuis (Rushdie, Kureishi, Naipaul, etc.), avec un grand succès critique et commercial.Les rubriques
Chaque numéro est structuré en quatre parties : – LE MONDE PAR XXI, 30 pages : Une synthèse des événements du trimestre, pour rendre limpide le chaos des événements, en neuf rubriques : APERCU, CONTRECHAMP, MOTS POUR MOTS; DE L’INTERIEUR; FLASH-BACK; DÉTONNANT; ILS OU ELLES FONT AVANCER LE MONDE; IL OU ELLE A DIT, DANS L’OEUF. – LE DOSSIER DE XXI, 60 pages : Autour d’un thème, une synthèse et quatre reportages, dont un tout en images, signé par un photoreporter. Pour son premier numéro, le journal consacre ainsi un dossier de 67 pages sur la Russie : Le dollar et le marteau. – LES FOCUS DE XXI, 80 pages : Deux reportages, un documentaire, une enquête sur une personnalité qui fait débat, un entretien en profondeur avec un grand témoin, le récit d’un journaliste devenu acteur d’une histoire vécue… – LE REPORTAGE EN BD, 30 pages : la force du reportage en BD. L’auteur de Deogratias, Jean-Philippe Stassen, est le premier à ouvrir le bal avec un récit de 30 pages nommé Les visiteurs de Gibraltar.S’abonner, c’est soutenir
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