Après leur dissolution ratée, retoquée par le Conseil d’État le 9 novembre, les Soulèvements de la Terre nourrissent encore un bouillon d’agitation médiatique : « on ne dissout pas un soulèvement », proclament-ils. Mais les actions des militants, écologistes ou non, continuent de cliver le débat : dégradations et insupportables atteintes à la propriété privée pour les uns, violence légitime pour les autres… De quelle violence parle-t-on ? D’abord d’atteintes aux biens. Et même si les (...)
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