Dans l’ombre des crises financières mondiales, il en est une qui continue de s’intensifier dans l’indifférence : le changement climatique, qui reste la première cause d’angoisse des européens selon l’Eurobaromètre en 2011.
Et pourtant, les scientifiques du monde entier s’évertuent à alerter les décideurs et les médias, en multipliant les publications et précisant inlassablement les contours de cette réalité : le climat change, plus rapidement, plus amplement que prévu et les conséquences seront (...)
L’augmentation de la température globale marque une pause depuis plus de 12 ans en contradiction avec les modèles du GIEC. L’étude du climat sur plusieurs millénaires montre que la variabilité actuelle n’a rien d’extraordinaire comparé au climat en l’an mille. Cessons l’alarmisme. Mais engageons notre société vers les économies d’énergie et les énergies renouvelables pour un monde plus durable.