L’inexistence de volontarisme de la part de l’Etat et la difficulté de rassembler diverses compétences conduisent à l’impossibilité de mettre en place une véritable filière française de déconstruction des navires. Le cas du Clémenceau.
La déconstruction des navires est inséparable d’un préalable, leur dépollution.
Celle-ci recouvre plusieurs expertises lesquelles méthodiquement rassemblées pourraient donner naissance à un savoir faire globalisé et opérationnel.
Le marché est là : 600 coques de navire à (...)
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