Les changements de l’occupation des sols en France métropolitaine entre 2000 et 2006 suivent les mêmes tendances qu’entre 1990 et 2000, mais à un rythme ralenti. Les espaces artificialisés continuent de s’étendre. Ils s’étalent aux dépens principalement de terres agricoles. De vastes surfaces changent d’affectation au sein des forêts et autres espaces naturels, l’ensemble continuant de reculer. Ces évolutions se traduisent par une consommation persistante d’espaces naturels et ruraux, accompagnée d’une (...)
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