Parmi les adhérents du Comité 21, l’exemple d’ENGAGEMENTS avec l’AMF, l’AMGVF et les PNRF, de CONTRIBUTIONS avec le Nord-Pas de Calais, Orléans, et Ushuaïa TV, de BONNES PRATIQUES avec Egis et GDF SUEZ, de SENSIBILISATION avec Des Enjeux et des Hommes, REDD, CARE et AXA, FNH, FSC et CO2 Solidaire, de MOBILISATION DES JEUNES avec la CASDEN, les Pays de la Loire, La Ligue de l’enseignement et l’EME. A noter aussi, une sélection d’ouvrage à lire et le Coffret Vidéo « Mémoires RIO+20 » à voir et revoir. Des exemples à retouver juste après l’édito de Gilles Berhault, Président du Comité 21 et Président du Comité d’orientation du Club France Rio+20.
Rio+20, une nouvelle étape pour le Comité 21 A quelques jours d’un nouveau Sommet de la Terre à Rio, le Comité 21 félicite Nicole Bricq nommée ministre de l’Ecologie, du développement durable et de l’énergie, le 16 mai dernier. Rappelons que la conférence des chefs d’États, Rio+20, aura lieu du 20 au 22 juin 2012 au Brésil, 20 ans après celle qui a, en France, donné lieu à la création du Comité 21. Le Comité 21 s’est engagé très tôt dans la préparation de cette nouvelle conférence internationale de l’ONU. Le 4 juillet 2011, il a organisé un premier forum au Palais Brongniart avec plus de 200 participants, et la participation du coordinateur exécutif de la conférence, Brice Lalonde. Dès septembre 2011, le Comité 21 a pris l’initiative, avec l’appui du cabinet Alliantis et de Publicis, de créer un « Club France Rio+20 ». 50 réseaux ont répondu présent à cet appel à la coopération : associations de collectivités territoriales (AMF, AMGVF, ADF, ARF…), organismes du secteur des entreprises (MEDEF, CGPME, CJD, AFEP, C3D, Pacte mondial France…), syndicats et ONG (CFDT, FNH, Green Cross France et Territoires…), associations actives de l’environnement, de la RSE, et de l’enseignement supérieur… et bien d’autres. Des collectivités (Pays-de-la-Loire, Martinique, Nord-Pas de Calais, Montpellier…), des entreprises (GDF SUEZ, Eco-Emballage, Suez Environnement, Veolia Environnement, EDF, PwC, Opinion Way), et des organismes publics (INPI, CDC, ADEME, Parc de la Villette) ont rejoint le Club France Rio+20 aux côtés de ces réseaux. La plupart sont adhérents du Comité 21 et je m’en réjouis. Depuis presque un an, nous avons mobilisé les principaux acteurs français du développement durable autour du Club France Rio+20, produit des documents de référence, principalement un « Manifeste pour la gouvernance territoriale », lancé des appels et interpellations. Un site internet vient de s’ouvrir pour vous informer et renforcer les échanges entre tous : www.rioplus20france.org Nous serons 150 présents, du 18 au 23 juillet, à Rio de Janeiro, dans une délégation du Club France Rio+20 pour porter nos projets, participer aux débats et s’enrichir des travaux des autres délégations. Par ailleurs, l’État a demandé au Comité 21 de piloter la création d’un Pavillon de la France à Rio de Janeiro. A cette occasion, nous avons réuni des partenaires autour de la thématique de « la ville durable », thème cher au Comité 21 : institutions académiques, agences, entreprises, collectivités, syndicats qui, ensemble, cofinancent le projet. Le rayonnement du Pavillon est soutenu par des partenaires médias dont France 24, RFI, Acteurs Publics, Terre TV, Youphil… Avant cette nouvelle étape, nous vous invitons à participer le 8 juin au lancement international de Rio+20 à Paris au Parc de la Villette. La matinée nous permettra de profiter d’interventions de haut niveau avec Nicolas Hulot, des personnalités de la politique, de l’entreprise, des associations, des collectivités territoriales et des artistes regroupés autour d’André Manoukian. Un déjeuner est aussi organisé (sur inscription), suivi d’animations et de visites d’expositions, avec la possibilité d’assister au spectacle de Philippe Découflé le soir (aussi sur inscription) – cf.rubrique « Club France Rio+20 ». Les 50 présidents de réseaux ou leurs représentants seront présents. La matinée du 8 juin sera aussi l’occasion de lancer le deuxième numéro de la Revue Vraiment durable que dirige Bettina Laville, présidente fondatrice du Comité 21, avec des textes et interviews exceptionnels sur Rio+20 : Abdou Diouf, Brice Lalonde, Ignacy Sachs, Cynthia Fleury, Gérard Mestrallet… Rio+20 affirme « l’avenir que nous voulons ». C’est effectivement la fondation de toute démarche de développement durable que de mettre en place une réelle logique de gouvernance. Est-ce utopique à 7 milliards ? Peut-être… mais les 50 000 contributeurs accrédités qui seront présents à Rio en juin y croient. Beaucoup considèrent le développement durable comme LA feuille de route du 21e siècle, et elle reste encore en grande partie à inventer. Rio+20 ne sera pas une étape finale mais un nouveau point de départ pour la mise en oeuvre de cette feuille de route. De nombreux autres rendez-vous devront suivre pour le décryptage de ce 3ème Sommet de la Terre et sa mise en oeuvre. Ce sera le fil rouge de l’université d’été de la communication pour le développement durable, organisée conjointement par le Comité 21 et ACIDD, qui aura lieu cette année à Bordeaux les 23 et 24 août prochains – www.communicationdeveloppementdurable.com L’après Rio+20 sera aussi l’occasion de partager ces enjeux avec le Chef de l’Etat, le Gouvernement, les parlementaires et en particulier les députés de la nouvelle Assemblée nationale, sans qui les transitions nécessaires ne pourront se faire. De grands débats sociaux et énergétiques ont été annoncés, nous y porterons le fruit de ces travaux collectifs. Pour conclure, le Comité 21 et son équipe se sont investis énergiquement pour que cette nouvelle étape de Rio+20 soit une réussite pour tous. C’est aussi une ambition et une responsabilité nouvelle pour les 475 adhérents, et tous ceux qui vont venir nous rejoindre. C’est par ailleurs l’occasion d’élaborer une nouvelle stratégie pour le Comité 21. Mais d’ores et déjà, j’espère vous retrouver le 8 juin au Parc de la Villette pour lancer Rio+20 à Paris ! Gilles BerhaultPrésident du Comité 21
Président du Comité d’orientation du Club France Rio+20
DES ENGAGEMENTS PRIS POUR RIO+20
AMF
L’AMF et l’environnement, un engagement de longue date renouvelé avec Rio+20 Composée de près de 36 000 membres, l’Association des maires de France (AMF) participera au prochain Sommet de la Terre à Rio. Les collectivités locales réaffirmeront avec force leur engagement à concourir, à la hauteur de leurs moyens, à la généralisation d’un mode de développement des territoires à la fois équilibré et transversal du point de vue environnemental, social et économique. C’est notamment le sens de la déclaration déposée par l’ensemble des réseaux de collectivités françaises, dont l’AMF, au secrétariat des Nations Unies en vue du prochain Sommet de Rio. Cette participation s’inscrit dans un engagement de longue durée qui a débuté dès 1992, quand les communes s’étaient mobilisées pour mettre en oeuvre des Agenda 21 locaux, engagement qu’elles ont renouvelé en 2002 à Johannesburg. Les nombreuses compétences qu’elles exercent en matière d’environnement, de développement économique et d’action sociale, ainsi que leurs liens de proximité avec les habitants, constituent en effet autant de leviers d’actions directs en faveur du développement durable. En 2007, l’AMF proposait aux 36 000 maires de France la « Charte des maires de France pour l’environnement » dont le contenu a contribué à alimenter le Grenelle de l’environnement. En 2009 et 2010, l’AMF avec l’ensemble des réseaux de collectivités françaises demandaient à travers une déclaration préalable aux conférences internationales sur le climat, à Copenhague et Cancun, la reconnaissance officielle du rôle central des collectivités dans la lutte contre les changements climatiques. C’est donc tout naturellement qu’elle participe aujourd’hui activement aux événements liés à Rio+20. – Gwénola STEPHAN – Chargée de mission développement durable – Association des Maires de FranceAMGVF
Les grandes villes et agglomérations de France : leviers essentiels de politiques durables L’AMGVF participera à la délégation française du Club France Rio+20 qui sera présente à Rio en juin 2012. Rassemblant une centaine d’adhérents (grandes villes de plus de 100 000 habitants, communautés d’agglomérations, communautés urbaines, syndicats d’agglomérations nouvelles autour de ces villes-centres), l’AMGVF a déjà pour habitude de participer aux débats nationaux, européens et internationaux sur les thématiques spécifiques au monde urbain. Elle s’implique dans de nombreux projets préparatoires en vue de Rio+20, à commencer par la rédaction de la Déclaration des collectivités territoriales pour Rio+20, transmise aux Nations Unies en octobre 2011, et la participation au comité préparatoire de la conférence du 31 janvier 2012 organisée par le ministère de l’Ecologie : « Vers une gouvernance environnementale démocratique à l’échelle globale ». Cette conférence visait à rassembler les attentes de la société civile et à alimenter la réflexion sur la création éventuelle d’une OME (Organisation mondiale de l’environnement), tout en réfléchissant à la place que pourraient avoir les acteurs non étatiques (comme les collectivités territoriales) en son sein. Les travaux de cette conférence seront présentés à Rio+20. L’AMGVF a par ailleurs participé à la réunion de mobilisation des collectivités territoriales françaises pour Rio+20, organisée le 23 mai 2012 au Sénat (consulter le site dédié). Elle a mis à disposition sur son site une plaquette « Ville durable : une réalité », et des informations variées sur le développement urbain durable à l’AMGVF. – Anne Laborie – a.laborie@grandesvilles.orgPNRF
Rio+20 : la contribution des Parcs naturels régionaux au manifeste du Club France La Fédération des Parcs naturels régionaux de France est impliquée dans la démarche Rio+20 en tant que membre du Comité 21. En s’associant au Club France – animé par le Comité 21 -, le réseau des Parcs naturels régionaux adopte le manifeste pour une gouvernance territoriale durable, solidaire et humaine. Elle apporte sa contribution à la large réflexion engagée au sein du Club France Rio+20. À l’occasion de cette conférence des Nations Unies, la Fédération des Parcs naturels régionaux de France demande : aux organisations internationales de soutenir : une coopération forte entre l’urbain et le rural en impliquant les acteurs du milieu rural afin de lutter contre la paupérisation des campagnes qui doivent être reconnues dans leurs rôles de « terre nourricière » et de « poumon vert » ; une politique en faveur d’espaces naturels pour préserver la biodiversité ordinaire et exceptionnelle qui représentent les ressources incontournables pour la survie des générations futures. A l’Union Européenne : d‘impulser une véritable culture du développement durable qui impliquerait davantage la population en créant une gouvernance qui associerait société civile et habitants. A l’État français de : promouvoir un développement économique et social en milieu rural fondé sur la valorisation des patrimoines, du cadre de vie et de la préservation de la nature ; renforcer l’éducation au développement durable à tous les niveaux de la scolarité ; créer des territoires pilotes de développement durable qui servent de laboratoires pour expérimenter des pratiques innovantes à transférer aux autres territoires ; dans l’esprit de la mission des Parcs, éco-conditionner les aides publiques pour favoriser les projets s’inscrivant dans le développement durable concernant les domaines d’intervention de l’État. – Géraldine Falek – gfalek@parcs-naturels-regionaux.frDES CONTRIBUTIONS POUR RIO+20 DE FRANCE
Nord-Pas de Calais
Une délégation Nord-Pas de Calais à Rio+20 Le projet Trajectoires développement durable, qui a associé près de 1000 acteurs en région Nord-Pas de Calais en 2011 et début 2012, a atteint en juin 2012 l’une de ses étapes les plus symboliques. Après deux saisons consacrées à l’élaboration d’un discours partagé sur le bilan et les perspectives du développement durable en Nord-Pas de Calais, la délégation des acteurs du Nord-Pas de Calais constituée autour du Conseil régional Nord-Pas de Calais, et portée techniquement par le CERDD, posera ses valises à Rio de Janeiro, le 18 juin. À son programme : participation et suivi des négociations, participation aux débats du Sommet des Peuples, démonstration des savoir-faire, avancées et perspectives du Nord-Pas de Calais en matière de développement durable, échanges avec les acteurs réunis à Rio… Un Petit Déjeuner Débat est organisé le 7 juin pour préparer le grand événement. Gilles Berhault, président du Comité 21, y participera. Ce sera l’occasion, pour chacun, de rencontrer les 25 représentants de la délégation Nord-Pas de Calais et d’exprimer ses souhaits, messages et priorités à transmettre aux dizaines de milliers d’acteurs qui seront réunis à Rio+20. Les contributions des acteurs du Nord-Pas de Calais au développement durable à Rio+20 sont aujourd’hui synthétisées dans un premier document qui constituera le socle des échanges du 1er et 2 février 2013 au Forum trajectoires et transitions. Consulter la première version de la synthèse des contributions des acteurs du Nord-Pas de Calais au développement durable à Rio +20. – Emmanuel Bertin – ebertin@cerdd.org
Orléans
Les Journées du développement durable d’Orléans parleront de Rio+20 La mairie d’Orléans organise depuis 2005 les Journées du développement durable (JDD) afin de sensibiliser les citoyens. Les JDD 2012 se dérouleront ainsi du 1er au 5 juin. Dans une optique de mutualisation des initiatives présentes sur le territoire, la Mairie s’est rapprochée de la Chambre de commerce et d’industrie du Loiret afin qu’en 2012, pour leur huitième édition, les JDD intègrent notamment au sein de leur programme le salon ENVIPRO, événement à destination des entreprises et des collectivités ayant pour objectif de proposer des ateliers et des conférences sur des thèmes d’actualité en matière de développement durable. Ainsi, le village de stands comptera une cinquantaine d’exposants spécialisés notamment dans l’habitat écologique, l’éco-mobilité et la gestion des déchets. Les thèmes de l’habitat, de la maîtrise de l’énergie et de l’eau, de l’isolation thermique des bâtiments, des transports de proximité, du recyclage et de la récupération des déchets y seront développés de façon privilégiée. Agir local donc, mais aussi penser global, puisque deux projections de films suivis de débats viendront introduire et conclure cet événement festif, l’une le 1er juin autour du film « WasteLand » dont l’action se déroule au Brésil, l’autre le 5 juin avec le film « une planète, une civilisation » proposée par Gaël Derive en partenariat avec le Comité 21 à l’occasion de Rio+20. En savoir plus. – Jonathan Morice – jmorice@ville-orleans.frUshuaïa TV
L’enquête inédite d’Ushuaïa TV : Génération Rio+20 Le nouvel opus d’Ushuaïa TV s’intitule « Génération Rio+20 » et sera diffusé le 19 juin prochain à 20h40, à la veille du Sommet de la terre (20-22 juin). Le reportage de 70 minutes sera présenté par la journaliste Christine Oberdoff. Ushuaia TV ouvre avec ce reportage la porte des coulisses de la préparation du Sommet, visitées trois mois avant l’événement dans le sillage de Brice Lalonde, son coordinateur exécutif. Ce dernier expliquera son point de vue, partagé par de nombreux diplomates : Rio+20 ne peut pas réussir sans une mobilisation forte de la société civile. Avec humour et humanisme, il retracera le chemin vers Rio+20 et participera ainsi à l’initiative prise par Christine Oberdoff et son équipe : prendre le pouls des éco-citoyens français, américains, brésiliens… qui constituent la génération Rio+20 et dont on se demande avec espoir si elle est prête aujourd’hui à prendre les choses en main pour sauver la planète. – Neary Mam – nmam@tf1.frRIO+20, LIEU DE VALORISATION DES BONNES PRATIQUES
Egis
Egis à la Conférence de Rio+20 : une opportunité pour valoriser l’apport de l’ingénierie Egis, acteur global du conseil et de l’ingénierie depuis 1960, s’est mobilisé dès 2011 pour nourrir les réflexions françaises à Rio+20 en rédigeant son propre cahier d’acteurs qu’il a choisi de traduire en portugais. Ce cahier développe cinq grands axes : aménager les villes pour répondre aux enjeux démographiques ; accompagner les autorités locales dans leur développement et la lutte contre la pauvreté ; protéger l’environnement pour préserver les capacités de développement des territoires ; favoriser un accès à l’énergie pour tous, mieux respecter et partager la ressource en eau. Egis contrôle des investissements de l’ordre de dix milliards d’euros de travaux par an, d’où son impact significatif sur l’aménagement durable des territoires. Prescripteur de projets, il intervient en amont dans des projets qui minimisent au maximum l’empreinte environnementale, en intégrant la population. Via sa participation au Club France Rio+20, et en s’appuyant sur une approche intégrée et globale de la performance environnementale, énergétique et sociale, Egis échangera à Rio sur les bonnes pratiques et les solutions innovantes développées : ville durable, biodiversité, adaptation au changement climatique, infrastructures positives… Son expérience de conseil, d’ingénierie, de montage et d’exploitation lui permet de répondre aux enjeux de Rio+20 et de participer à la croissance verte que Rio+20 promet, caractérisée par l’aménagement durable, la solidarité entre territoires, la réduction des inégalités et la préservation des espaces naturels. – Découvrir le cahier d’acteur Egis : version française – version brésilienne. – Emmanuelle Gotkovsky – emmanuelle.gotkovsky@egis.frGDF SUEZ
GDF SUEZ promeut les bonnes pratiques énergétiques à Rio+20 En tant que première utility mondiale, GDF SUEZ participe activement à la mobilisation autour de Rio+20. Fort de l’expertise des métiers de ses 219 000 collaborateurs présents dans plus de 70 pays, GDF SUEZ propose à ses clients des solutions innovantes et durables pour une croissance responsable, en s’appuyant sur un portefeuille d’approvisionnement gazier diversifié, un parc de production électrique flexible et peu émetteur de CO2 et une expertise dans quatre secteurs clés : le gaz naturel liquéfié, les services à l’efficacité énergétique, la production indépendante d’électricité et les services à l’environnement. GDF SUEZ soutient l’implication de la société civile et du secteur privé dans la gouvernance mondiale de l’environnement. Le Groupe a contribué aux travaux des Nations Unies pour Rio+20 et a publié sur le site du ministère de l’Ecologie un cahier d’acteur rassemblant un ensemble de bonnes pratiques. GDF SUEZ prépare plusieurs évènements lors des Journées de la société civile à Rio+20, notamment dans le cadre du Global compact et du WBCSD (World business council for sustainable development). Parmi les thèmes de Rio+20 sur lesquels le Groupe travaille on peut citer l’accès à l’énergie durable, avec le programme « GDF SUEZ Rassembleurs d’Energie », le « sustainable business » (énergies renouvelables, efficacité énergétique, recherche et développement de solutions innovantes), « villes de demain » ou encore « l’optimisation de l’usage des ressources naturelles ». Rio+20 est l’occasion de démontrer à l’externe comme à l’interne les actions du Groupe pour le développement durable. – Lire les contributions de GDF SUEZ sur le site du Club France Rio+20. – Margarita Pirovska – margarita.pirovska@gdfsuez.comRIO+20, UN ENJEU DE SENSIBILISATION AU DEVELOPPEMENT DURABLE
Des Enjeux et des Hommes
Apprendre à répondre aux plus sceptiques : les solutions seront données à Rio ! Des Enjeux et des Hommes et Euromed Management publient pour Rio+20 une version anglaise du guide lancé l’an dernier pour contrer les vraies-fausses bonnes raisons de ne pas agir pour un développement durable. Ce guide présente une typologie de sceptiques : les aquoibonnistes (groupe des « à quoi bon ? C’est déjà trop tard »), les manichéens, les relativistes, les désorientés, les darwinistes, les court-termistes, les scientistes, décrits à partir de quelques caractéristiques simples permettant de les repérer et de comprendre les raisons de leur scepticisme. Le guide apporte également des réponses à ces freins et objections, et suggère quelques réponses types pour les engager dans l’action. Il propose des repères pédagogiques pour gérer les situations de blocage et convaincre les plus réticents. Que l’on soit décideur, collaborateur, fournisseur, acheteur ou simple citoyen, chacun trouvera les mots pour contrer les discours tels que « l’homme a toujours trouvé des solutions, pas besoin de s’inquiéter » ou encore « tant que l’Inde et la Chine explosent les compteurs, le développement durable sera une utopie ! ». Le guide sera distribué à Rio, sur le Pavillon France, à travers un événement organisé par le Club France. Il est téléchargeable en version française et anglaise sur le blog de Des Enjeux et des Hommes – Agnes Rambaud – Agnes.Rambaud-paquin@desenjeuxetdeshommes.comREDD
Le REDD à Rio+20 : menace ou solution pour lutter contre la déforestation ? A quelques semaines de Rio+20, Les Amis de la Terre participent avec sept autres organisations au lancement d’un film pédagogique sur la déforestation, réalisé dans le cadre d’un projet européen Grundtvig et coordonné par FERN (ONG qui suit l’implication de l’UE dans les forêts et coordonne les activités des ONG au niveau européen). La déforestation représenterait chaque année l’équivalent de 15 à 30 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Ce film d’environ six minutes, qui se veut d’éducation populaire, revient sur le mécanisme de réduction des émissions liées à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD) mis en avant par les Nations Unies en 2006. Le film critique son système à la fois injuste et inefficace. Le Sommet de la Terre pourrait accentuer ce mécanisme de prise de contrôle des biens naturels par les entreprises et les acteurs financiers comme le laisse entendre, par exemple, la déclaration sur le capital naturel. Rio+20 est donc l’occasion de sensibiliser et mobiliser le plus grand nombre pour renverser la tendance et replacer les peuples au coeur des discussions onusiennes. L’enjeu est de redonner aux milliers de personnes expulsées de leurs terres et de leurs forêts le contrôle de ces espaces, en renforçant leurs droits. Le message est clair : les Amis de la Terre prônent la lutte contre la surconsommation croissante de ressources naturelles (conversion des forêts en monoculture, exploitation industrielle du bois…). – Sylvain Angerand – foret@amisdelaterre.orgCARE – AXA
CARE et AXA portent des projets de solidarité internationale jusqu’à Rio+20 Initié par l’ONG CARE et l’Université des Nations Unies avec le support financier du Groupe AXA et la Fondation de John D. et Catherine T. MacArthur, Where the Rain Falls est un projet international de recherche conduit dans huit pays (Bangladesh, Ghana, Guatemala, Inde, Pérou, Tanzanie, Thaïlande et Vietnam). L’objectif est, dans un premier temps, de mieux comprendre l’impact des changements de précipitations sur les flux migratoires et les risques d’insécurité alimentaire des populations les plus vulnérables, puis, dans un second temps, d’aider ces populations à y faire face grâce à des programmes d’éducation et d’adaptation. L’équipe du projet Where the Rain Falls participera à la conférence Rio+20. Ce sera l’occasion d’inaugurer le lancement du site internet officiel ainsi que la vidéo de présentation du projet. Cette initiative s’inscrit dans un ensemble d’actions lancées début 2011 avec AXA. A l’action Where the Rain Falls s’ajoute une série de programmes liés à l’éducation aux risques (principalement à la prévention des catastrophes naturelles) destinés aux communautés particulièrement exposées à ce type de risques dans des pays en développement : Bénin, Madagascar, Mali, Philippines et Vietnam. – En savoir plus avec le site des NU. – Charlyne Liquito – liquito.carefrance@gmail.com.FNH
La Fondation Nicolas Hulot se joint au Réseau climat développement pour Rio+20 La Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l’homme (FNH) sera présente au Sommet de Rio au côté du Réseau climat développement, et assurera un suivi en direct de la conférence pour sa communauté via les réseaux sociaux. Elle entend plaider pour un rééquilibrage de la gouvernance internationale autour des enjeux environnementaux et sociaux. La FNH s’est donnée pour mission de contribuer à une métamorphose des sociétés par le changement des comportements individuels et collectifs afin d’assurer la préservation du patrimoine naturel commun, le partage équitable des ressources, la solidarité et le respect de la diversité sous toutes ses formes. Pour cela, elle agit à travers trois modes d’action que sont le lobbying d’intérêt général, la mobilisation citoyenne et le soutien à l’action. Pour Rio et à travers la sensibilisation des citoyens, les interventions auprès des décideurs, et la mobilisation du Réseau climat développement (réseau d’ONG africaines pour la promotion d’une nouvelle approche du développement recentré autour des enjeux environnementaux), la FNH va publier un numéro de sa collection « Veille et Proposition » en amont du Sommet, co-organiser un atelier au Bénin fin avril avec la société civile africaine, et publier une série de positions communes avec le Réseau climat développement pour renforcer la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux sur les deux thèmes de la conférence : économie verte et gouvernance internationale de l’environnement. – Cécile Ostria – c.ostria@fnh.orgFSC
A Rio, Forest Stewardship Council appellera à l’ « engagement de soutien à la certification » FSC (Forest Stewardship Council), ONG créée en 1993, s’engagera activement à Rio+20 pour une gestion responsable des forêts, c’est-à-dire une gestion qui tienne compte de la préservation de l’environnement, qui soit socialement bénéfique et qui soit économiquement viable. Les membres du FSC sont des organisations écologistes (Greenpeace, WWF, etc.), des représentants des communautés indigènes, des propriétaires forestiers, des industriels qui transforment et commercialisent le bois et le papier, des entreprises de la grande distribution, des chercheurs et des techniciens, des citoyens… Ces différents acteurs ont élaboré de manière participative des normes de gestion forestière applicables à l’ensemble des forêts du monde. A l’occasion de Rio+20, FSC appelle à l’inclusion d’un « engagement de soutien à la certification forestière », qui serait alors un outil complémentaire par rapport à la conservation de la nature, offrant une alternative environnementale, sociale et économique crédible face aux pratiques entraînant une exploitation forestière destructrice. Il s’agit de faire reconnaître aux gouvernements que les forêts sont un fondement de l’économie verte, soutenant un large éventail de secteurs et de moyens de subsistance, et qu’elles représentent également une part essentielle des écosystèmes du monde, jouant un rôle crucial dans la limitation et l’adaptation au changement climatique. – Marie Vallée – marie.vallee@fsc-france.frCO2 Solidaire
Les Rencontres CO2 Solidaire, la solidarité climatique en action Préserver l’environnement et réduire les inégalités d’accès à l’énergie sont au coeur des activités du GERES, Groupe énergies renouvelables, environnement et solidarités. Ces objectifs prennent forme dans le lien de solidarité Nord-Sud qui a été mis en place à travers le lancement de CO2Solidaire, la première plateforme de compensation volontaire en France créée en 2004. Ce programme a permis de renforcer l’esprit de responsabilité des pays du Nord envers les pays du Sud dans la lutte contre les changements climatiques. Il permet en effet aux entreprises françaises de participer au financement de projets d’énergie durable, propres et innovants dans les pays en développement. Avant de pouvoir compenser, ces entreprises doivent cependant faire des efforts concrets de réduction de leurs émissions à la source. CO2Solidaire compte aujourd’hui 125 organisations et événements partenaires et a déjà permis de compenser 112 322 TéqCO2 correspondant à 1 047 232 euros de soutien aux projets (données 2004-2011). Pour faire face au succès grandissant du programme, le GERES organise désormais chaque année, en janvier, les Rencontres CO2Solidaire. Ce rendez-vous devenu incontournable illustre bien le nouveau modèle de société que le Sommet de Rio+20 veut promouvoir : celui d’une communauté internationale tournée vers un développement durable qui soit juste et équitable, pour les pays du Nord comme pour les pays du Sud. – Mathieu Grapeloup – m.grapeloup@geres.euMOBILISATION DES JEUNES POUR RIO+20
CASDEN
La CASDEN soutient le projet « Rio + 20… + 40 » La CASDEN, banque de l’éducation, de la recherche et de la culture, soutient dans le cadre de son engagement dans l’éducation au développement durable le projet pédagogique « Rio + 20… + 40 » organisé par le CRDP (Centre régional de documentation pédagogique) de Paris. Labellisé Rio+20, ce projet s’est déroulé sur l’année scolaire 2011-2012 avec des écoles maternelles et primaires, des collèges et lycées parisiens et a pour thème « imaginons la ville dans 20 ans ». Tout au long de l’année, les classes ont travaillé sur une à deux thématiques liées à l’évolution urbaine ; c’était l’occasion pour elles de réfléchir sur les avancées de deux décennies passées et de se projeter dans les deux autres à venir. Le projet se conclut le 21 juin prochain au Muséum national d’Histoire naturelle avec l’événement « Rio + 20… + 40 ». Au cours de cette journée, qui implique près d’un millier d’élèves de l’académie de Paris, seront proposés une exposition artistique, des débats thématiques et un défilé de mode. Un évènement à suivre sur www.casden.fr. – Fanny Babin – Fanny.BABIN@casden.banquepopulaire.frPays de la Loire
300 jeunes des Pays de la Loire sensibilisés aux enjeux du Sommet de la Terre « Rio+20 » Le 6 juin prochain, 300 jeunes des Pays de la Loire seront rassemblés à l´Hôtel de région afin de se sensibiliser au développement durable et de mieux connaître les enjeux du Sommet de la Terre. Cet évènement s´inscrit dans le cadre du « projet jeunes » qui s´appuie sur les établissements éco-responsables que la Région accompagne depuis plus de quatre ans. Le matin, les jeunes pourront échanger entre eux et l´après-midi ils entendront Pierre Radanne leur parler de l’avenir de la planète ainsi qu´Albert Jacquard qui abordera le thème de la mobilisation des jeunes. Cette rencontre intergénérationnelle est un point fort de la journée ! Cinq jeunes ont été choisis au sein des établissements éco-responsables, sélectionnés dans chaque département, afin de représenter la région des Pays de la Loire lors de cette importante manifestation internationale. Ils seront présents le 6 juin et exposeront leurs motivations pour le développement durable. Certaines des réalisations d´éco-délégués seront également présentées ainsi qu´une terre en mouvement conçue par les jeunes du lycée Jules Rieffel de Saint-Herblain. L´objectif de cette rencontre est également de sensibiliser un public nouveau aux actions liées à l´éco-responsabilité dans les établissements et au rôle des éco-référents. – Visionner la vidéo des 5 jeunes. – Maryse Tricot – Maryse.TRICOT@paysdelaloire.frLigue de l’enseignement
500 jeunes pour faire des propositions à Rio+20 avec la Ligue de l’enseignement Grâce à son projet « La parole des jeunes à Rio+20 », la Ligue de l’enseignement entend faire vivre au sein de son réseau la Conférence tant attendue des Nations Unies sur le développement durable. Soutenu par le ministère de l’Education nationale, le projet « La parole des jeunes à Rio+20 » invite 500 jeunes à s’exprimer lors de débats sur la transition et les modes de vie dans une société durable, mais aussi plus globalement sur tous les enjeux du développement durable. Seront mis en place des groupes de travail pour élaborer des propositions à soumettre aux débats de la société civile à Rio+20 et créer des outils de communication. Les propositions recueillies dans une feuille de route seront ensuite portées à Rio par une délégation de dix jeunes du 14 au 25 juin. Sur place, cette délégation pourra alors présenter les propositions concrètes et enrichir ainsi les débats, notamment lors des « sandwich days » (journées dédiées aux sociétés civiles pour organiser des débats) et du Sommet des peuples (conférence organisée par la société civile brésilienne pour les acteurs des sociétés civiles du monde entier : voir le site). Elle réalisera par ailleurs des fils d’actualités et interviews et, enfin, présentera les résultats de la conférence et de cette expérience dès leur retour en France. – Consulter le blog du projet. – Consulter la page facebook et le compte twitter. – Laurianne Condette – lcondette@laligue.orgEME
En route vers Rio+20 : un projet d’innovation pédagogique et d’intelligence collective Une équipe d’enseignants de l’Ecole des métiers de l’environnement (EME) anime un projet d’innovation pédagogique « Rio+20 » en collaboration avec « les Cahiers de l’Imaginaire », un média sur l’art et la création qui répand les valeurs de développement durable à travers des méthodologies créatives. Les étudiants de troisième année s’investissent dans six domaines de travail (eau, énergie, biodiversité, gaspillage, obsolescence programmée et répartition des richesses) et confrontent leurs propositions aux experts et à l’équipe pédagogique de l’Ecole. Ils ont visité un centre de collecte et de recyclage de papier/carton et participé à la journée de l’Europe (9 mai) organisée par la Maison internationale de Rennes. A cette occasion, ils ont organisé une animation « Green Pursuit » : sur la place du Parlement à Rennes, ils ont testé les connaissances du public en matière de développement durable. Ils ont aussi interrogé leurs camarades européens des universités partenaires dans le cadre des échanges Erasmus, afin de déceler les rêves de leur génération, et se sont également entretenus avec un professeur émérite et membre de l’Académie des sciences de Paris, Ghislain de Marsily, sur les questions de l’eau, des ressources, de la faim dans le monde, la condition des femmes et l’économie. Tendre vers l’intelligence collective via ces expériences de terrain, voilà tout l’intérêt de ce projet qui permet également de s’imprégner de valeurs : diversité, humanité, équité, respect, transparence… Une vidéo va être réalisée par « les Cahiers de l’Imaginaire » pour retracer ce projet qui sera peut-être présenté à Rio en juin 2012. – Anne Cikankowitz – annecikankowitz@ecole-eme.comA lire
Les indicateurs clés de la RSE et du développement durable L’auteur, Monique Gouiran, réaffirme l’affiliation de la RSE à l’économie coopérative caractéristique des SCOP. L’implication directe des acteurs de l’entreprise au capital social, le changement du rapport au travail, l’engagement volontaire dans la prise de risque liée au développement, la capacité d’innovation pour répondre aux enjeux du siècle sont autant de thématiques abordées dans l’ouvrage. Il s’agit de permettre à chacun de prendre conscience de son utilité dans son environnement, des freins et des potentiels individuels (rapport à soi, besoin d’agir, conscience critique…) pour ensuite favoriser la mise en place d’un groupe engagé vers un enjeu collectif de développement durable. C’est donc en termes de ressources humaines que l’auteure analyse le modèle systémique participatif des SCOP avec ses quatre composantes : les schémas mentaux, la vision partagée, le travail en équipe et la maîtrise personnelle. Après avoir analysé les sept indicateurs clés de l’ISO 26000, l’ouvrage développe les aptitudes adaptées en termes de communication, d’organisation et de décision. La méthodologie proposée vise à éclairer les prises de décision, notamment via l’utilisation d’un outil pratique complémentaire des fiches de postes : les grilles CODI (aptitudes à la communication-organisation-décision-innovation). Les indicateurs clés de la RSE et du développement durable, Monique Gouiran, Editions AFNOR, avril 2012, 122 pages, 30,50 euros. – Consulter le site de l’auteure. – En savoir plus sur l’ouvrage.
Les limites à la croissance (dans un monde fini) Qui n’a pas entendu parler du fameux rapport Meadows de 1972 (rapport du Club de Rome), « The Limits to Growth », qui alerte sur les dangers de la croissance et l’impact destructeur des activités humaines sur les processus naturels ? Il est aujourd’hui réédité en français avec des données actualisées et une analyse confortée. L’occasion d’inclure son étude dans le programme des établissements formant les futures élites françaises, afin de faire prendre conscience de la finitude du monde et d’engager enfin les réformes nécessaires. Car si le rapport a fait parler de lui il y a 40 ans, il n’a pas imprimé sa marque dans l’univers des prospectivistes ni des économistes. Le rapport préconisait de stabiliser le PIB mondial au niveau de 1975, et de maintenir la consommation constante tout en produisant plus proprement. A présent, il faut faire de la croissance économique perpétuelle un simple souvenir, et réorganiser l’avenir économique, politique, social et mental de façon soutenable. Le chemin est encore long : Dennis Meadows constate que beaucoup de ceux qui sont investis dans l’économie verte sont davantage « intéressés par l’économie que par le vert » – lire l’entretien avec Dennis Meadows). Les Limites à la croissance (dans un monde fini) de Donella Meadows, Dennis Meadows, Jorgen Randers, Editions Rue de l’Echiquier, mai 2012, 408 pages, 25 euros. – En savoir plus. – Consulter le site de l’éditeur.
Environnement et société, une analyse sociologique de la question environnementale Cet ouvrage universitaire de Chantal Aspe et Marie Jacqué présente une lecture sociologique de la question environnementale dans une perspective historique éclairant les dynamiques contemporaines. Enjeu de mobilisations et de revendications, la question environnementale a d’abord eu pour objet la remise en cause du mode de développement industriel. Elle est ensuite devenue un puissant vecteur de normalisation sociale, posant aux sociologues la question des relations entre le politique, l’économique et l’idéologique. Elle est donc à ce titre un indicateur de changement social et recouvre un champ foisonnant qui constitue son corpus : analyse des nouvelles pratiques et représentations de la nature, conflits d’usages, place et rôle des scientifiques, nouveaux rapports aux risques, émergence d’un mouvement d’écologie politique, repositionnement du secteur économique et prise en charge par le politique, etc. L’ouvrage s’adresse aussi bien aux étudiants qu’à la communauté des chercheurs. Il offre aussi aux décideurs et aux professionnels de l’environnement un éclairage sociologique sur leurs domaines d’intervention. Co-édition Quæ, Maison des sciences de l’homme, Collection Natures sociales – – www.quae.com 2012, 280 pages.
A voir
Mémoire Rio+20 : 1992 à 2012
Options Futurs et MediaPep’s lancent le coffret DVD de 20h d’archives et d’images « Mémoires Rio+20 ». Cette collection compile 20 années d’archives vidéo en un coffret de cinq DVD soit vingt heures d’images archives et inédits. Sont concernés les grands textes signés à Rio en 1992 avec la Convention Climat, la Convention Biodiversité, et la déclaration de Rio et Action 21 sur les villes. Ensuite, des images « archives » et des tables rondes illustrent les débats auxquels ont participé les grands acteurs du développement durable durant les deux dernières décennies (vingt ans de négociations, vingt ans d’évolution de l’approche scientifique et technique, vingt ans d’adaptation des mentalités et des cultures… Les outils sont-ils appropriés ou non ? Quels financements ? Quelle gouvernance ?). Pour finir, trois inédits de 52′ sont proposés sur la conférence de Copenhague : rupture et relance (« En route vers Copenhague ») ; la conférence de Nagoya : bilan et sursaut (« Sursaut mondial pour la biodiversité » ) et la ville du 21ème siècle (« Le 21ème siècle sera celui de la ville »). Les images (en dehors des inédits, des 3 x 52′, et des tables rondes) sont une sélection issue de vingt ans de productions du Magazine « Gaia » sur France 5 et « Eclats de planète » sur RFO. Ce coffret a été produit en grande partie par Dominique Martin Ferrari et par les partenaires qui se sont associés à sa fabrication. Il sera proposé aux écoles, universités, vidéothèques municipales, services publics… après Rio+20. Le 11 Juin 2012 à l’Institut national de Géographie, Options futurs et Media Pep’s lancent officiellement le coffret avec diffusion en avant première des inédits et échanges entre journalistes spécialisés et experts. – Dominique Martin Ferrari – dmf@gaia-network.com – Coffret Mémoires Rio+20