Rainforest Alliance est une ONG internationale, née en 1987.
Elle a pour vocation de préserver la biodiversité et d’assurer des moyens de subsistance durables en transformant les pratiques agricoles, les pratiques commerciales et le comportement des consommateurs.
Depuis vingt-cinq ans, Rainforest Alliance se bat pour la protection de la biodiversité, des droits et des conditions sociales des travailleurs et des communautés locales.
Pour ses 25 ans, Rainforest Alliance nous offre…
– Un clip vidéo décalé et drôle
« Suivez la Grenouille : Comment NE PAS sauver la Forêt Tropicale ! »
– La Publication d’un Nouveau Rapport d’Impacts
« Protéger Notre Planète – Re-Penser les Pratiques Commerciales et les Pratiques d’Utilisation des Sols – 25 ans d’Impacts »
En tant qu’organisation internationale de protection de l’environnement, nous avons collaboré avec des professionnels de l’agriculture, de la sylviculture et du tourisme dans le monde entier afin d’élaborer des pratiques qui protègent l’eau, les sols, les habitats naturels ainsi que les écosystèmes des forêts.
Les exploitations agricoles et forestières répondant aux normes de Rainforest Alliance obtiennent une certification, qui bénéficie aujourd’hui d’une reconnaissance de plus en plus internationale auprès des entreprises et des consommateurs en Amérique, en Europe et en Asie.
Conséquences cachées
À l’occasion de la Semaine Nationale du Développement Durable, découvrez la vidéo « Conséquences cachées » de Rainforest Alliance.
Qu’est-ce qui se passe quand papa oublie de suivre la grenouille ? Il déçoit sa fille, nuit à l’environnement et aux agriculteurs et voit les conséquences terribles pour la planète. Voici comment une journée ordinaire se transforme en visions apocalyptiques. Le label Rainforest Alliance peut faire la différence.
A découvrir…
Cacao : derrière le décor
Regard derrière le décor des plantations de cacao en Côte d’Ivoire
L’été dernier, Stephen Girasuolo de Rainforest Alliance et une équipe de trois réalisateurs britanniques sont allés en Côte d’Ivoire pour filmer l’histoire d’Adrien Koffi Kouadio, planteur de cacao. Voici la vidéo de Girasuolo et ses réflexions sur la réalisation du film…
Beauté de la forêt tropicale
Saint Valentin
Pour la Saint-Valentin, montrez votre amour pour la planète : découvrez et partagez cette nouvelle vidéo de Rainforest Alliance, pleine d’originalité et de tendresse, avec celle ou celui que vous aimez… et aussi choisissez du chocolat certifié.
« Amour, chocolat et préservation de la forêt tropicale »
25ème anniversaire
Pour célébrer ses 25 ans, Rainforest Alliance propose Vision et Solutions. L’ONG nous invite à porter un regard sur 25 années d’impacts pour protéger et restaurer la planète et à se projeter dans les 25 prochaines années …
» Bilan de 25 ans d’actions de terrain pour une économie durable. Quelle vision pour les 25 ans à venir ?« . Conférence anniversaire de Rainforest Alliance à la Cité Internationale Universitaire de Paris, le 13 décembre 2012, animée par A. de Santiago (fondatrice et DG de Youphil.com) avec M. Rafiq (VP directeur des programmes Rainforest Alliance), M. Voivodic (DG d’Imaflora et VP du directoire de l’ISEAL), B. Swiderski (directeur développement durable Groupe Carrefour) et B. Laville (avocate, ex conseillère à la Présidence de la République).
« Suivez la Grenouille : Comment NE PAS sauver la Forêt Tropicale ! »
A l’occasion de son anniversaire, Rainforest Alliance a diffusé un clip dont le message est simple : Vous n’avez pas besoin d’aller jusqu’au bout du monde pour protéger la planète. Faites-le ici chez vous en optant pour une consommation responsable. En 3 min. la vidéo met en scène une personne ordinaire, respectable et on imagine tout ce qu’elle ne ferait pas pour sauver la forêt tropicale et aussi quelles seraient les conséquences sur sa vie si elle les faisait vraiment. Car en réalité, l’une des meilleurs choses à faire, c’est agir à travers ses achats en choisissant des produits respectueux de la nature et des Hommes.
Alors, il suffit de suivre la grenouille, le label Rainforest Alliance qui se trouve sur de nombreux produits : bois, papier, café, cacao, thé, bananes et autres produits provenant des pays tropicaux.
Publication d’un Nouveau Rapport d’Impacts
«Protéger Notre Planète – Re-Penser les Pratiques Commerciales et les Pratiques d’Utilisation des Sols – 25 ans d’Impacts »
Télécharger le Rapport « Protéger Notre Planète – 25 ans d’Impacts »
Rainforest Alliance publie également un rapport d’impacts de 25 ans d’actions pour préserver la planète.
L’ONG a été pionnière dans la gestion durable des terres agricoles et forestières ainsi que des pratiques commerciales.
Depuis sa création en 1987, Rainforest Alliance oeuvre pour une transformation globale de secteurs économiques qui affectent le plus notre environnement : l’agriculture, la sylviculture et le tourisme. L’ONG a engagé avec succès le soutien des consommateurs du monde entier afin de protéger les forêts et les écosystèmes essentiels à notre futur. Ce rapport contient de nombreuses études d’impacts qui montrent comment le développement des pratiques durables dans la gestion des sols et des chaînes d’approvisionnement permettent de réduire la vague de destruction massive de la nature et jettent les bases d’un avenir meilleur.
Bureau Européen de Rainforest Alliance
259-269 Old Marylebome Road
Suite CP 205 Londres NW1 5RA
Tél. : 00 44 207 170 41 30
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Rapport WWF Forêts Vivantes – chapitre 3 : Agir dès maintenant pour sauver les forêts ! Retarder encore de 10 ans l‘objectif mondial de Zéro Nette Déforestation et Dégradation (ZNDD) proposé par le WWF, doublerait la superficie de forêt perdue d’ici 2030. Selon le chapitre 3 « Forêt et climat », du rapport « Forêts Vivantes » du WWF, la planète risque,, d’ici 2020, de perdre 55,5 millions d’hectares de forêt. Tarder à mettre en place des mesures d’urgence aurait pour conséquence la disparition de 124,7 millions d’hectares d’ici 2030.
Plus on attend, plus on perd de forêt
Vitales pour le bien-être de l’homme et des espèces animales, les forêts le sont également pour le climat. Une réduction de la déforestation à presque zéro réduirait d’autant les émissions de GES mondiales. Attendre 2030 pour agir aurait pour conséquence la perte de 69 millions d’hectares supplémentaires de forêt, soit l’émission de
124ordinateurs portables
en plus dans l’atmosphère et ce sans compter les pertes liées à la dégradation des forêts et du carbone stocké dans les sols. 20% des émissions de GES mondiales proviennent aujourd’hui de la déforestation et de la dégradation des forêts, soit plus que le total des émissions liées au secteur mondial des transports.
Les plantations ne sont pas la solution
Le rapport « Forêts Vivantes » fait le constat que les nouvelles plantations ne sont pas la solution au changement climatique. En effet, la séquestration de carbone nécessaire à la compensation des émissions actuelles ne se fera pas avant 2040.
« Nos forêts continuent de disparaître alors que nous tentons de trouver des solutions pour les sauver » déclare Bruce Cabarle, Responsable de l’initiative Foret et Climat du WWF. « Si la perte des forêts continue, les conséquences sur le climat auront des incidences dramatiques sur la nature et la survie de milliards de personnes. Les plantations ne sont pas la solution, le message est clair, il faut agir au plus vite pour ne pas perdre à jamais nos forêts ».
Selon le WWF, les négociations sur le climat qui débuteront en début de semaine prochaine à Durban en Afrique du sud, offrent une opportunité majeure aux gouvernements du monde entier de s’unir autour d’une action concertée et ambitieuse pour stopper définitivement la perte des forêts.
REDD+ : une opportunité unique d’inverser la tendance
A Durban des décisions doivent être prises pour opérationnaliser le mécanisme REDD+, permettant aux pays en voie de développement d’être rémunérés, par les pays développés, pour leurs résultats obtenus en matière de préservation des forêts.
REDD + est une occasion unique de répondre à la menace conjuguée du changement climatique et de la perte des forêts. Bien que des progrès considérables aient été accomplis sur les détails de ce mécanisme, le WWF appel aujourd’hui les gouvernements à se fixer un objectif mondial, Zéro nette déforestation et dégradation d’ici 2020, à la hauteur des enjeux. Le rapport Forêts Vivantes montre que sans REDD+ atteindre Zéro nette déforestation en 2020 n’est pas possible..
« Le WWF est tout à fait conscient de la complexité des discussions qui seront menées à Durban, mais nous ne devons pas laisser l’opportunité que représente le mécanisme REDD+ nous filer entre les doigts. Si nous le construisons intelligemment, REDD+ permettrait de protéger les forêts et par là même le climat et d’aider les populations locales à sortir de la pauvreté. Les enjeux sont trop importants pour s’enliser dans des débats techniques. », déclare Gérald Steindlegger, Directeur de l’initiative Forêt et Climat du WWF.
Le rapport « Forêts Vivantes » montre que l’objectif ZNDD est atteignable grâce à une meilleure gouvernance, une utilisation durable des terres, un renforcement des lois, une amélioration des régimes fonciers, une gestion transparente et inclusive et une demande de marchés exigeant des produits agricoles et forestiers issus d’une gestion durable.
Ce rapport montre également que pour atteindre ces objectifs, les pays devront adopter des mesures fortes pour protéger la biodiversité et assurer des bénéfices aux communautés locales et peuples autochtones.
Des financements nouveaux et supplémentaires, prévisibles et adéquats émanant de sources multiples
Au vu de l’urgence d’enrayer la déforestation, le WWF appelle les gouvernements à fournir le financement nécessaire pour soutenir les actions de REDD+. Les pays industrialisés ont un rôle crucial à jouer en fournissant un financement adéquat, prévisible et durable. Les financements nouveaux additionnels, prévisibles et adéquats pour atteindre l’objectif ZNDD d’ici à 2020 sont estimés de 30 à 50 milliards de dollars par an.
Bien que ces sommes semblent énormes, retarder toute action ne ferait qu’accroitre les coûts à long terme face au changement climatique. Bien que les financements public soient essentiels, d’autres sources de financement innovants, tel que le soutien au crédit pour les obligations de forêt, serait un moyen de tirer parti de financements privés permettant ainsi aux gouvernements de ne pas être les seuls à fournir un effort.
Le rapport basé sur le modèle « Forêts Vivantes », développé par l’Institut International d’Analyse des Systèmes Appliqués (IIASA) pour le WWF, présente, pour les 50 prochaines années, différents scénarios mettant en scène les changements de régimes alimentaires, les biocarburants, la politique de conservation, la demande en bois et bois de chauffage.
Ces scénarios montrent qu’il est encore possible d’atteindre l’objectif ZNDD (zéro nette déforestation et dégradation) si nous agissons dès maintenant.
Ce rapport démontre également que la mise en place du mécanisme REDD+ est indispensable si nous voulons pouvoir contenir l’augmentation de la température globale sous la barre des 2°C. Pour le WWF, il est impératif de trouver à Durban, un accord sur les éléments clés permettant l’opérationnalité du mécanisme REDD+ si l’ont veut pouvoir préserver les forêts, le climat et la biodiversité mondiale et subsister aux besoins de l’homme.
En bref
– 13 millions d’hectares disparaissent chaque année, soit l’équivalent d’un terrain de football toutes les 2 secondes.
– 1/5e des émissions de GES mondiales sont liées à la déforestation et la dégradation
– 72% La surface de la forêt primaire Indonésienne qui a déjà disparu
– 1,2 milliards de personnes dépendent des forêts pour vivre
– Plus nous attendons plus nous perdons de forêts. Retarder de 10 ans l’atteinte de ZNDD sacrifierait 69 millions d’hectares supplémentaires de forêt dans le monde.
– Retarder ZNDD jusqu’en 2030 signifierait l’émission supplémentaire de 24 Gt CO2 dans l’atmosphère, sans compter les pertes résultant de la dégradation des forêts et du carbone stocké dans les sous-sols.
– Les plantations ne sont pas la solution. Le modèle « Forêts Vivantes » projette une importante expansion des plantations à courte rotation. Il montre également que la séquestration de carbone de ces nouvelles plantations ne permettait pas de compenser les émissions liées à la déforestation avant 30 ans. D’ici là, de vastes zones de forêts naturelles seraient totalement perdues et ce sont 54 Gt CO2 qui seraient libérées.
– Mieux vaut prévenir que guérir. Retarder l’action créerait une augmentation massive du coût total des mesures d’atténuation et d’adaptation.
Conférence-débat de Rainforest Alliance 8 Décembre 2011 à l’Hôtel de l’Industrie En pleine conférence de Durban sur le climat, à l’occasion de laquelle l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) a tiré la sonnette d’alarme en annonçant que les treize années les plus chaudes dans le monde ont été enregistrées depuis 1997, année du protocole de Kyoto et que la FAO (Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation) publie un rapport déplorant l’accélération de la déforestation, Rainforest Alliance organise une conférence pour parler solution, demain, jeudi 8 décembre, à partir de 9h sur le thème :
Bâtir des modèles innovants de coopération locale pour plus de valeur partagée.
Quand les intérêts des acteurs économiques rejoignent ceux de la préservation de la Terre et du développement des communautés.
Des solutions existent. Des modèles de développement pour des convergences entre intérêts des populations locales, intérêts économiques et préservation de l’environnement, par exemple :
El Platanillo, au Guatemala est la première plantation qui vient d’être vérifiée conformément au nouveau « module climat » de Rainforest Alliance. Le « module climat » est un ensemble de directives complétant la norme SAN (Sustainable Agriculture Network – Réseau d’Agriculture Durable). Il aide les agriculteurs à réduire la vulnérabilité de leur exploitation aux effets du changement climatique et minimise les émissions de gaz à effet de serre tout en augmentant la séquestration du carbone. Edward Millard, directeur Agriculture Durable chez Rainforest Alliance nous présentera ce projet demain à la conférence.
Le Projet de reforestation communautaire Alto Huayabamba au Pérou vient d’obtenir la certification VCS (Voluntary Carbon Standard), une norme internationalement reconnue sur le marché du carbone volontaire. Rainforest Alliance a procédé à la validation de ce projet : les process sont conformes aux normes VCS et le projet peut donc émettre des crédits carbone.
À ce jour, 1,1 millions d’arbres ont été plantés et l’objectif est d’atteindre 2 millions en 2013. Ce qui devrait générer 1 million de tonnes équ. C02 captés. Tristan Lecomte, fondateur du collectif Pur Projet créé en 2008, nous en parlera en détail, également à la conférence.
Le Nescafé Plan (groupe Nestlé), lancé en 2010, en collaboration avec Rainforest Alliance, vise à augmenter considérablement les efforts pour la production de café « durable » au travers du renforcement des capacités de recherche et de formation en matière d’agriculture afin d’en faire bénéficier à plus de 25 millions de personnes vivant de la culture et de la vente de café.
Nicolas Huillet, responsable du Nescafé Plan nous parlera du projet et de ses objectifs.
Juan Carlons Ardila, producteur de café colombien, témoignera de la réalité du terrain du métier d’agriculteur et de ses enjeux en Colombie. Pourquoi s’engager dans une démarche qualité ? Quels en sont les difficultés ? Qu’est-ce qui crée de la valeur pour l’agriculteur ? Pour la filière ? Et de l’importance du rôle de la coopération multi acteurs…
Les débats seront animés par Guillaume Duval, rédacteur en chef du mensuel Alternatives Économiques.
À l’Hôtel de l’Industrie – 4 place St Germain des Près, 75006 Paris. (M° St-Germain-des-Près)
Rainforest Alliance affiche une croissance significative en 2011 Les programmes de développement durable de l’ONG Rainforest Alliance ont connu une croissance significative en 2011.
Cette hausse reflète la reconnaissance de plus en plus importante de la certification Rainforest Alliance dans le monde et des bénéfices environnementaux, sociaux et économiques qu’elle apporte.
Rainforest Alliance annonce les lauréats du gala 2013, en reconnaissance de leur leadership en matière de développement durable Rainforest Alliance, ONG internationale dans le domaine du développement durable, est fière d’annoncer les gagnants du Prix Sustainable Standard-Setter de 2013, qui seront présentés lors d’un gala à New York demain, le 15 mai. Ce prix récompense les entreprises et les individus qui défendent la préservation de la nature, protègent l’environnement et soutiennent les communautés locales.
Les lauréats du prix Sustainable Standard-Setter 2013 sont :
– AMResorts
– Barry Callebaut AG
– IndoTeak Design
– Kapawi Ecolodge & Reserve
– Kingfisher plc
– NESCAFÉ
– Olam International Ltd.
– Tata Global Beverages
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Rapport WWF Forêts Vivantes – chapitre 3 : Agir dès maintenant pour sauver les forêts !
Retarder encore de 10 ans l‘objectif mondial de Zéro Nette Déforestation et Dégradation (ZNDD) proposé par le WWF, doublerait la superficie de forêt perdue d’ici 2030. Selon le chapitre 3 « Forêt et climat », du rapport « Forêts Vivantes » du WWF, la planète risque,, d’ici 2020, de perdre 55,5 millions d’hectares de forêt. Tarder à mettre en place des mesures d’urgence aurait pour conséquence la disparition de 124,7 millions d’hectares d’ici 2030.
Plus on attend, plus on perd de forêt
124ordinateurs portables
Les plantations ne sont pas la solution
Le rapport « Forêts Vivantes » fait le constat que les nouvelles plantations ne sont pas la solution au changement climatique. En effet, la séquestration de carbone nécessaire à la compensation des émissions actuelles ne se fera pas avant 2040.
« Nos forêts continuent de disparaître alors que nous tentons de trouver des solutions pour les sauver » déclare Bruce Cabarle, Responsable de l’initiative Foret et Climat du WWF. « Si la perte des forêts continue, les conséquences sur le climat auront des incidences dramatiques sur la nature et la survie de milliards de personnes. Les plantations ne sont pas la solution, le message est clair, il faut agir au plus vite pour ne pas perdre à jamais nos forêts ».
Selon le WWF, les négociations sur le climat qui débuteront en début de semaine prochaine à Durban en Afrique du sud, offrent une opportunité majeure aux gouvernements du monde entier de s’unir autour d’une action concertée et ambitieuse pour stopper définitivement la perte des forêts.
REDD+ : une opportunité unique d’inverser la tendance
A Durban des décisions doivent être prises pour opérationnaliser le mécanisme REDD+, permettant aux pays en voie de développement d’être rémunérés, par les pays développés, pour leurs résultats obtenus en matière de préservation des forêts.
REDD + est une occasion unique de répondre à la menace conjuguée du changement climatique et de la perte des forêts. Bien que des progrès considérables aient été accomplis sur les détails de ce mécanisme, le WWF appel aujourd’hui les gouvernements à se fixer un objectif mondial, Zéro nette déforestation et dégradation d’ici 2020, à la hauteur des enjeux. Le rapport Forêts Vivantes montre que sans REDD+ atteindre Zéro nette déforestation en 2020 n’est pas possible..
« Le WWF est tout à fait conscient de la complexité des discussions qui seront menées à Durban, mais nous ne devons pas laisser l’opportunité que représente le mécanisme REDD+ nous filer entre les doigts. Si nous le construisons intelligemment, REDD+ permettrait de protéger les forêts et par là même le climat et d’aider les populations locales à sortir de la pauvreté. Les enjeux sont trop importants pour s’enliser dans des débats techniques. », déclare Gérald Steindlegger, Directeur de l’initiative Forêt et Climat du WWF.
Le rapport « Forêts Vivantes » montre que l’objectif ZNDD est atteignable grâce à une meilleure gouvernance, une utilisation durable des terres, un renforcement des lois, une amélioration des régimes fonciers, une gestion transparente et inclusive et une demande de marchés exigeant des produits agricoles et forestiers issus d’une gestion durable.
Ce rapport montre également que pour atteindre ces objectifs, les pays devront adopter des mesures fortes pour protéger la biodiversité et assurer des bénéfices aux communautés locales et peuples autochtones.
Des financements nouveaux et supplémentaires, prévisibles et adéquats émanant de sources multiples
Au vu de l’urgence d’enrayer la déforestation, le WWF appelle les gouvernements à fournir le financement nécessaire pour soutenir les actions de REDD+. Les pays industrialisés ont un rôle crucial à jouer en fournissant un financement adéquat, prévisible et durable. Les financements nouveaux additionnels, prévisibles et adéquats pour atteindre l’objectif ZNDD d’ici à 2020 sont estimés de 30 à 50 milliards de dollars par an.
Bien que ces sommes semblent énormes, retarder toute action ne ferait qu’accroitre les coûts à long terme face au changement climatique. Bien que les financements public soient essentiels, d’autres sources de financement innovants, tel que le soutien au crédit pour les obligations de forêt, serait un moyen de tirer parti de financements privés permettant ainsi aux gouvernements de ne pas être les seuls à fournir un effort.
Le rapport basé sur le modèle « Forêts Vivantes », développé par l’Institut International d’Analyse des Systèmes Appliqués (IIASA) pour le WWF, présente, pour les 50 prochaines années, différents scénarios mettant en scène les changements de régimes alimentaires, les biocarburants, la politique de conservation, la demande en bois et bois de chauffage.
Ces scénarios montrent qu’il est encore possible d’atteindre l’objectif ZNDD (zéro nette déforestation et dégradation) si nous agissons dès maintenant.
Ce rapport démontre également que la mise en place du mécanisme REDD+ est indispensable si nous voulons pouvoir contenir l’augmentation de la température globale sous la barre des 2°C. Pour le WWF, il est impératif de trouver à Durban, un accord sur les éléments clés permettant l’opérationnalité du mécanisme REDD+ si l’ont veut pouvoir préserver les forêts, le climat et la biodiversité mondiale et subsister aux besoins de l’homme.
En bref
– 13 millions d’hectares disparaissent chaque année, soit l’équivalent d’un terrain de football toutes les 2 secondes.
– 1/5e des émissions de GES mondiales sont liées à la déforestation et la dégradation
– 72% La surface de la forêt primaire Indonésienne qui a déjà disparu
– 1,2 milliards de personnes dépendent des forêts pour vivre
– Plus nous attendons plus nous perdons de forêts. Retarder de 10 ans l’atteinte de ZNDD sacrifierait 69 millions d’hectares supplémentaires de forêt dans le monde.
– Retarder ZNDD jusqu’en 2030 signifierait l’émission supplémentaire de 24 Gt CO2 dans l’atmosphère, sans compter les pertes résultant de la dégradation des forêts et du carbone stocké dans les sous-sols.
– Les plantations ne sont pas la solution. Le modèle « Forêts Vivantes » projette une importante expansion des plantations à courte rotation. Il montre également que la séquestration de carbone de ces nouvelles plantations ne permettait pas de compenser les émissions liées à la déforestation avant 30 ans. D’ici là, de vastes zones de forêts naturelles seraient totalement perdues et ce sont 54 Gt CO2 qui seraient libérées.
– Mieux vaut prévenir que guérir. Retarder l’action créerait une augmentation massive du coût total des mesures d’atténuation et d’adaptation.
Chapitre 3 du rapport « Forêts Vivantes » :
– http://www.wwf.fr/s-informer/nos-missions/changement-climatique
Conférence-débat de Rainforest Alliance 8 Décembre 2011 à l’Hôtel de l’Industrie
En pleine conférence de Durban sur le climat, à l’occasion de laquelle l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) a tiré la sonnette d’alarme en annonçant que les treize années les plus chaudes dans le monde ont été enregistrées depuis 1997, année du protocole de Kyoto et que la FAO (Organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation) publie un rapport déplorant l’accélération de la déforestation, Rainforest Alliance organise une conférence pour parler solution, demain, jeudi 8 décembre, à partir de 9h sur le thème :
Bâtir des modèles innovants de coopération locale pour plus de valeur partagée.
Quand les intérêts des acteurs économiques rejoignent ceux de la préservation de la Terre et du développement des communautés.
Des solutions existent. Des modèles de développement pour des convergences entre intérêts des populations locales, intérêts économiques et préservation de l’environnement, par exemple :
El Platanillo, au Guatemala est la première plantation qui vient d’être vérifiée conformément au nouveau « module climat » de Rainforest Alliance. Le « module climat » est un ensemble de directives complétant la norme SAN (Sustainable Agriculture Network – Réseau d’Agriculture Durable). Il aide les agriculteurs à réduire la vulnérabilité de leur exploitation aux effets du changement climatique et minimise les émissions de gaz à effet de serre tout en augmentant la séquestration du carbone. Edward Millard, directeur Agriculture Durable chez Rainforest Alliance nous présentera ce projet demain à la conférence.
Le Projet de reforestation communautaire Alto Huayabamba au Pérou vient d’obtenir la certification VCS (Voluntary Carbon Standard), une norme internationalement reconnue sur le marché du carbone volontaire. Rainforest Alliance a procédé à la validation de ce projet : les process sont conformes aux normes VCS et le projet peut donc émettre des crédits carbone.
À ce jour, 1,1 millions d’arbres ont été plantés et l’objectif est d’atteindre 2 millions en 2013. Ce qui devrait générer 1 million de tonnes équ. C02 captés. Tristan Lecomte, fondateur du collectif Pur Projet créé en 2008, nous en parlera en détail, également à la conférence.
Le Nescafé Plan (groupe Nestlé), lancé en 2010, en collaboration avec Rainforest Alliance, vise à augmenter considérablement les efforts pour la production de café « durable » au travers du renforcement des capacités de recherche et de formation en matière d’agriculture afin d’en faire bénéficier à plus de 25 millions de personnes vivant de la culture et de la vente de café.
Nicolas Huillet, responsable du Nescafé Plan nous parlera du projet et de ses objectifs.
Juan Carlons Ardila, producteur de café colombien, témoignera de la réalité du terrain du métier d’agriculteur et de ses enjeux en Colombie. Pourquoi s’engager dans une démarche qualité ? Quels en sont les difficultés ? Qu’est-ce qui crée de la valeur pour l’agriculteur ? Pour la filière ? Et de l’importance du rôle de la coopération multi acteurs…
Les débats seront animés par Guillaume Duval, rédacteur en chef du mensuel Alternatives Économiques.
À l’Hôtel de l’Industrie – 4 place St Germain des Près, 75006 Paris. (M° St-Germain-des-Près)
Rainforest Alliance affiche une croissance significative en 2011
Les programmes de développement durable de l’ONG Rainforest Alliance ont connu une croissance significative en 2011.
Cette hausse reflète la reconnaissance de plus en plus importante de la certification Rainforest Alliance dans le monde et des bénéfices environnementaux, sociaux et économiques qu’elle apporte.
Rainforest Alliance annonce les lauréats du gala 2013, en reconnaissance de leur leadership en matière de développement durable
Rainforest Alliance, ONG internationale dans le domaine du développement durable, est fière d’annoncer les gagnants du Prix Sustainable Standard-Setter de 2013, qui seront présentés lors d’un gala à New York demain, le 15 mai. Ce prix récompense les entreprises et les individus qui défendent la préservation de la nature, protègent l’environnement et soutiennent les communautés locales.
Les lauréats du prix Sustainable Standard-Setter 2013 sont :
– AMResorts
– Barry Callebaut AG
– IndoTeak Design
– Kapawi Ecolodge & Reserve
– Kingfisher plc
– NESCAFÉ
– Olam International Ltd.
– Tata Global Beverages