Fred Pearce est un consommateur ordinaire : un citadin qui travaille, pourvoit aux besoins de sa famille et essaie, tant bien que mal, d’agir pour la planète. Journaliste spécialisé dans les questions environnementales, il se croyait un écolo exemplaire. Mais, un jour, il s’interroge. Comment sont fabriqués les objets qui nous entourent ? D’où viennent les aliments que nous mangeons ? Que deviennent les déchets que nous produisons ? Il n’en savait rien. En partant à la recherche des fameuses « empreintes écologiques » que nous générons, il est alors parti en voyage aux origines de ses objets de consommation quotidiens : son alliance en or, son chocolat préféré, ses chaussettes…
Des forêts tropicales aux déserts, du sommet des montagnes au fond des mines, des champs pétroliers aux bidonvilles et aux bordels, son périple dans plus de vingt pays l’a amené à s’interroger sur sa propre responsabilité. Remettant en question nombre d’affirmations écologistes, le récit captivant des tribulations de Fred Pearce nous montre les conséquences économiques, écologiques mais aussi sociales du moindre produit que nous consommons en reconsidérant l’immense potentiel dont nous disposons pour mieux vivre notre monde. « Ce livre formidable coupe court à l’hypocrisie des biens pensants verts qui ne veulent pas changer leur façon de vivre ! » James Lovelock, scientifique et père de l’hypothèse Gaïa. – L’auteur : Fred Pearce, journaliste spécialisé dans l’écologie, travaille régulièrement pour The NewScientist, The Daily Telegraph, The Guardian, ou encore The Ecologist. Pour écrire cet ouvrage, il a voyagé dans plus de vingt pays, de l’Alaska à l’Australie, du Brésil au Bangladesh, de la Chine au Kenya et de la Sibérie à l’Afrique du Sud. Il est l’auteur de Quand meurent les grands fleuves (Calmann-Lévy, 2006), Points de rupture (Calmann-Lévy, 2008), pour lequel il a obtenu le prix de l’Alliance pour la Planète (2008), et Le réchauffement climatique (Pearson Education, 2008). Il vit actuellement en Angleterre. – Références : Les tribulations d’un consommateur ordinaire qui se prenait pour un écolo exemplaire de Fred Pearce – Préfacé par Yann Arthus-Bertrand – Editeur : La Martinière – Date de publication : octobre 2010 – 448 pages – EAN13 : 9782732440811 – Prix public : 24 € – Achetez l’ouvrage « Les Tribulations d’un consommateur ordinaire qui se prenait pour un écolo exemplaire » chez notre partenaire Amazon.fr pour 22,80 € en cliquant ici.Revue de presse
– « Dans le livre de Fred Pearce, on découvre que l’on peut être mauvais consommateur sans le vouloir. Un exemple : interpellés par la destruction des forêts par les palmiers à huile, nous sommes de plus en plus nombreux à boycotter l’ huile de palme. Malheureusement, celle-ci se cache souvent derrière l’appellation huile végétale ». Fabienne Chauvière, France Info (écoutez sa chronique consacrée au livre de Fred Pearce, en cliquant ici. – « Fred Pearce arrive à des conclusions qui énerveront plus d’un écolo dogmatique. Certes, beaucoup de ces producteurs de l’ombre, qui contribuent à notre confort quotidien, travaillent dans des conditions révoltantes, comme ces Indiens et ces Chinois qui désossent nos ordinateurs et téléphones au mépris des règles élémentaires d’hygiène et de sécurité. Cependant, d’autres ont vu leur sort s’améliorer sensiblement. C’est le cas par exemple des petits agriculteurs du Kenya qui cultivent des haricots verts pour l’exportation vers l’Europe. Fred Pearce estime donc que le boycott de ces légumes est une fausse bonne idée. Et cela d’autant plus que leur bilan carbone n’est pas pire que celui des haricots cultivés en serre en Angleterre. Bref, sans pour autant nous chanter la « mondialisation heureuse », Fred Pearce considère que celle-ci est inévitable, et peut, dans certaines conditions, favoriser une humanité plus solidaire. Une analyse dont on espère qu’elle suscitera le débat… » Laurent Samuel pour JNE (Journalistes pour la Nature et l’Ecologie).
Les Tribulations d’un consommateur ordinaire qui se prenait pour un écolo exemplaire
Bonjour
Il y a même pire : j’ai eu à « batailler » contre un internaute « écologiste » qui demandait la gratuité des transports en commun. « Ce serait bien d’aller visiter la Sagrada Familia ou le musée Guggenheim ». Et quand on répond qu’on est en période de fin de ressources et de début de responsabilités, pour résumer, je me suis fait traité de bobo (à 380 € par mois depuis 3 ans, en passant). C’est toujours sur le site en question, on est plus mal parti qu’on ne pourrait le croire.