Chaque jour, ils s’engagent pour sauver la planète. Pour eux, le développement durable a un sens. Dans sa volonté réaffirmée de soutenir ces actions, France 5 place sa grille d’été sous le signe de l’environnement et donne la première place à tous ceux qui, sur la planète, se soucient de sa préservation.
Une grille d’été sous le signe de l’environnement
Dès 1997, France 5 diffusait Jangal, la première collection documentaire consacrée au développement durable à travers le monde. Plus de dix ans après, un premier bilan s’impose. Ces cinq nouveaux volets ont permis d’enquêter et de retourner sur les lieux où plusieurs de ces programmes ont été initiés, au Costa Rica, en Inde, en Afrique du Sud, au Zimbabwe et en France. La série Sale Temps pour la planète, de Morad Aït-Habbouche et Hervé Corbière, brosse à son tour le portrait d’hommes et de femmes qui, en France et en Chine, aux Etats-Unis et au Bangladesh, luttent chaque jour contre les conséquences du réchauffement climatique. Dans la série Biotiful Planet, Jéromine Pasteur, ambassadrice du WWF, pointe les problèmes écologiques méconnus en France en donnant la parole aux experts qui luttent sur place toute l’année pour rétablir l’équilibre environnemental. Plusieurs documentaires prennent des couleurs vert et bleu : L’Aquifère Guarani – Main basse sur l’eau qui s’intéresse à la troisième plus grande réserve d’eau douce du monde, objet de toutes les convoitises ; Le Marché de l’or bleu, documentaire d’investigation sur le marché florissant de l’eau en bouteilles ; 6 degrees, sur les conséquences du réchauffement de la planète à partir des dernières études scientifiques ; et Surviving Katrina, centré sur les manquements du système à l’origine de la catastrophe suite au passage de l’ouragan Katrina à La Nouvelle-Orléans. Enfin, le film de 85’ Sur la piste de la Croisière noire retrace l’expédition Biotreck Africa qui, en 2007, réalisa la première transafricaine automobile au biocarburant sur les traces de la Croisière noire Citroën de 1924.Biotiful Planet
Jéromine Pasteur, ambassadrice du WWF, fait découvrir au téléspectateur les problèmes écologiques méconnus de différentes régions de France. Elle donne la parole aux experts qui luttent sur place toute l’année pour rétablir l’équilibre environnemental. Leurs témoignages et le message d’alerte de la présentatrice révèlent les dangers que nous faisons courir à notre planète, à travers la déforestation, la pêche intensive ou l’introduction d’espèces. Mais la série diffuse aussi un message d’espoir en mettant en avant les mesures prises pour protéger la nature et l’implication des hommes et des femmes qui se dévouent à cette cause. Les prochaines diffusions : – Mardi 1er juillet à 20h40 : La Polynésie : Au coeur du Pacifique, les îles de Polynésie déploient leur splendeur de cartes postales. Mais derrière la façade attirant les touristes, l’archipel lutte contre des perturbations écologiques parfois catastrophiques. Illustration avec l’invasion d’une plante ornementale qui fait progressivement disparaitre la flore endémique ou avec un escargot dévastateur introduit pour l’alimentation et qui provoque indirectement la disparition des autres espèces de gastéropodes. Pour allier tourisme et écologie, les défenseurs de la nature ont créé des zones protégées permettant aux oiseaux marins de nidifier et aux poissons de se reproduire. Les tortues vertes, autrefois tabous alimentaires pour les Polynésiens, font aussi l’objet de toutes les attentions et une « clinique » leur est spécialement dédiée. – Mardi 8 juillet à 20h40 : Les Antilles : La forêt tropicale antillaise est menacée comme tous les écosystèmes de notre planète par les agissements humains. La déforestation intensive pour des besoins commerciaux affecte considérablement l’équilibre naturel de ces îles. Aujourd’hui, il ne reste plus que 20 % de la surface originelle de la forêt qui, grâce à la protection du Parc naturel régional, est désormais sous haute surveillance. Jéromine Pasteur nous fait découvrir la faune endémique de la région, comme les mygales de Martinique ou les chauves-souris de Marie-Galante. Elle dénonce également l’empoisonnement des rivières par les pesticides. Dans les zones protégées, les oiseaux marins refont leur apparition comme les frégates ou les pélicans. Les poissons aussi sont nombreux mais le risque de surpêche reste préoccupant.