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Bisphénol A dans nos aliments : le nouveau tueur silencieux ?

L’ONG française Antidote Europe vient d’envoyer un appel urgent au Professeur Jerzy Buzek, récemment élu à la présidence du Parlement européen, en lui demandant d’agir en faveur de la santé publique. Selon l’ONG, « il y a de plus en plus d’éléments scientifiques suggérant que le bisphénol A, une substance chimique de synthèse, représente un risque sérieux pour la santé, en particulier pour les foetus et les bébés nourris au biberon ».

Et de poursuivre, « La préoccupation d’Antidote Europe résulte de données spécifiquement humaines, incluant des études faites sur des échantillons de sang et d’urine, ou des effets constatés sur des cellules humaines. Ces données, qui montrent un risque accru de cancer, de diabète, des problèmes de fertilité qui menacent l’avenir de notre espèce, devraient inciter les autorités à plus de discernement face à la confusion entretenue jusqu’à présent par des données animales contradictoires ». Avec ce clip, l’ONG française Antidote Europe nous interpelle : « ce biberon en polycarbonate est fabriqué à partir de Bisphénol A : une substance chimique dont on risque d’entendre parler de plus en plus et pour longtemps. Pour notre malheur, le Bisphenol A est omniprésent dans notre maison, dans les placards à provisions, dans l’eau du robinet (canalisations en PVC « plastifié » par le BPA) ou les boissons en bouteille (récipients portant le label « PC », « 7 » ou « 3 »), dans les aliments sur notre table (barquettes, boites de conserves tapissées de polycarbonate)… Il s’installe insidieusement dans les corps des hommes, des femmes, des enfants sans oublier les bébés et les fœtus. Aujourd’hui, la quasi-totalité de la population est contaminée par le Bisphenol A à son insu (on peut le détecter dans le sang ou les urines) [[-“Large effects from small exposures. II. The importance of positive controls in low-dose research on bisphenol A”. vom Saal FS, Welshons W, Environmental Research, 2006 Jan, 100: 50-76. (article disponible en anglais sur la base de données d’articles scientifiques Pubmed). – “Urinary concentrations of bisphenol A and 4-nonylphenol in a human reference population.” Calafat AM, Kuklenyik Z, Reidy JA, et al. Environ Health Perspect 2005 ; 113 : 391-5. (cf. Pubmed) – “Positive relationship between androgen and the endocrine disruptor, bisphenol A, in normal women and women with ovarian dysfunction”.Takeuchi T, Tsutsumi O, Ikezuki Y, Takai Y, Taketani Y, Endocr J, 2004;51:165-169. (cf. Pubmed) – “Bisphenol-A disruption of the endocrine pancreas and blood glucose homeostasis” Ropero AB, Alonso-Magdalena P, Garcia-Garcia E, Ripoll C, Fuentes E, Nadal A, Int J Androl, 2008;31(2):194-200. (cf. Pubmed) – “Thyroid hormone action is disrupted by bisphenol A as an antagonist”, Moriyama K, Tagami T, Akamizu T et als. J Clin Endocrinol Metab, 2002;87:5185-5190. (cf. Pubmed) – “Bisphenol A is released from polycarbonate drinking bottles and mimics the neurotoxic actions of estrogen in developing cerebellar neurons”. Le HH, Carlson EM, Chua JP, Belcher SM. Toxicol Lett. 2008 Jan 30;176(2):149-56. (cf. Pubmed)]]. Ce n’est pas un poison violent, il ne foudroie pas ses victimes, qui dans un premier temps n’éprouvent pas de gène et ne souffrent d’aucune maladie. Et pourtant… Pour l’interdiction des biberons contenant du Bisphenol A et pour l’application d’un principe de précaution limitant l’exposition de la population au Bisphenol A »,
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L’ACTUALITE DU BISPHENOL A

Le 10 juin 2009, le député PS Gérard Bapt (président du groupe d’étude sur la santé environnementale) demande au gouvernement de reconsidérer le dossier sur le Bisphenol A (BPA)[[Lettre de Gérard Bapt à Roselyne Bachelot]]. Il se base sur la position de l’agence américaine de l’alimentation (Food and Drug Administration), sur la prise de mesure de précautions de certains gouvernements [[-Rapport de l’étude menée sur le Bisphenol A par Environment Canada (en anglais).]] et sur plusieurs études montrant l’influence du Bisphenol A sur l’organisme à des doses inférieures aux doses permises à l’heure actuelle [[- VANDENBERG LN, MAFFINI MV, SONNENSCHEIN C, RUBIN BS, SOTO AM. Bisphenol-A and the great divide : a review of controversies in the field of endocrine disruption. Endocr Rev. 2009 Feb; 30(1):75-95(cf. Pubmed) – CALAFAT AM et al. Exposure of the U.S. population to bisphenol A and 4-tertiary-octylphenol : 2003-2004. Environ Health Perspect. 2008 jan;116(1):39-44(cf. Pubmed) – MYERS JP et al. Why public health agencies cannot depend on good laboratory practices as a criterion for selecting data : the case of bisphenol A. Environ Health Perspec. 2009 Mar;117(3):309-15(cf. Pubmed) – BOUSKINE A, NEBOUT M, BRÜCKER-DAVIS F. BENAHMED M. FENICHEL P. 2009. Low Doses of Bisphenol A Promote Human Seminoma Cell Proliferation by Activating PKA and PKG via a Membrane G protein-coupled Estrogen Receptor Environ Health Perspect : doi : 10.1289/ehp.0800367.(Online 11 February 2009) (cf. Pubmed) – LA PENSEE EW. TUTTLE TR. FOS SR and BEN-JONATHAN N. Bisphenol A at low nanomolar doses confers chemoresistance in estrogen receptor-&-positive and-negative breast cancer cells. Environmental Health Perspectives Volume 117, Number 2, February 2009(cf. Pubmed) – HESS-WILSON JK. Bisphenol A may reduce the efficacy of androgen deprivation therapy in prostate cancer. Cancer Causes Control DOI 10.1007/s10552-009-9337-8. (cf. Pubmed)]]. D’abord ignorée, cette demande [[-Bisphenol A : mais que font les experts ? (communiqué de presse Antidote Europe du 6 juillet 2009)]] est finalement entendue et Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’écologie, a demandé à l’AFSSA de reprendre l’expertise sur les effets du Bisphenol A. Malgré la nécessité d’une nouvelle étude menée par l’ensemble des autorités sanitaires [[- L’EFSA réévalue le Bisphenol A et fixe la dose journalière acceptable (communiqué de presse du 29 janvier 2007)]] sur l’importance de la pollution de l’environnement santé par le BPA, les conditions d’exposition de la population doivent d’ores et déjà êtres révisées. Les rapports scientifiques démontrant les risques liés à l’exposition au Bisphenol A existent déjà et des mesures peuvent et doivent être prises dès aujourd’hui [[- Article scientifique sur la nature et les dangers du Bisphenol A pour notre santéL’agence européenne de sécurité sanitaire néglige certaines données dans l’analyse des dangers du Bisphenol (communiqué de presse du 26 août 2008)]].

OU SE CACHE-T-IL ?

Le BPA n’existe pas dans la nature. C’est une substance chimique fabriquée facilement (phénol + acétone). L’une des plus produites au monde : 3 milliards de kilos par an… soit environ 500g par habitant de la planète, en moyenne! Il est utilisé pour la production de plastiques, eux-mêmes utilisés pour fabriquer certaines bouteilles destinées à contenir nos boissons, le revêtement intérieur de certaines boîtes de conserve métalliques… et la majorité des biberons ! En contact avec l’eau ou les aliments que ces récipients contiennent, le Bisphenol A s’extrait du plastique pour se mêler au contenu. Il se dissout plus rapidement dans l’eau chaude que froide, et encore mieux dans l’huile ou les graisses. Du lait qui chauffe dans le biberon ? Une aubaine ! Le lait tiède est un support idéal pour transférer le Bisphénol A dans l’organisme du bébé.

C’EST GRAVE, DOCTEUR ?

Dans le monde scientifique, beaucoup le craignent [[- Lang IA, Galloway TS, Scarlett A; et al. Association of urinary bisphenol A concentration with medical disorders and laboratory abnormalities in adults. JAMA. 2008;300(11):1303-1310. – Wetherill YB, Akingbemi BT, Kanno J; et al. In vitro molecular mechanisms of bisphenol A action. Reprod Toxicol. 2007;24(2):178-198. – Vandenberg LN, Hauser R, Marcus M, Olea N, Welshons WV. Human exposure to bisphenol A (BPA). Reprod Toxicol. 2007;24(2):139-177. (cf. Pubmed) – Stahlhut RW, van Wijngaarden E, Dye TD, Cook S, Swan SH. Concentrations of urinary phthalate metabolites are associated with increased waist circumference and insulin resistance in adult U.S. males. Environ Health Perspect. 2007;115(6):876-882. – Bindhumol V, Chitra KC, Mathur PP. Bisphenol A induces reactive oxygen species generation in the liver of male rats. Toxicology. 2003;188(2-3):117-124. – Alonso-Magdalena P, Ropero AB, Carrera MP; et al. Pancreatic insulin content regulation by the estrogen receptor ER alpha. PLoS ONE. 2008;3(4):e2069. – Hugo ER, Brandebourg TD, Woo JG, Loftus J, Alexander JW, Ben-Jonathan N. Bisphenol A at environmentally relevant doses inhibits adiponectin release from human adipose tissue explants and adipocytes [published online August 14, 2008]. Environ Health Perspect. doi:10.1289/ehp.11537. – Welshons WV, Nagel SC, vom Saal FS. Large effects from small exposures, III: endocrine mechanisms mediating effects of bisphenol A at levels of human exposure. Endocrinology. 2006;147(6)(suppl):S56-S69.) – Comment peut-on déterminer le degré de toxicité d’une substance ? (article en anglais) – vom Saal FS, Akingbemi BT, Belcher SM; et al. Chapel Hill bisphenol A expert panel consensus statement: integration of mechanisms, effects in animals and potential to impact human health at current levels of exposure. Reprod Toxicol. 2007;24(2):131-138. – Rapport d’analyse complet du National Toxicology Program sur le BPA – European Food Safety Authority. Opinion of the Scientific Panel on Food Additives, Flavourings, Processing Aids and Materials in Contact with Food on a request from the Commission related to 2,2-BIS(4-HYDROXYPHENYL)PROPANE (Bisphenol A). EFSA J. 2006;428:1-76. – Statement of Norris Alderson. PhD, Associate Commissioner for Science, Food and Drug Administration, Department of Health and Human Services, before the Subcommittee on Commerce, Trade and Consumer Protection, Committee on Energy and Commerce, US House of Representatives. US Food and Drug Administration Web site. http://www.fda.gov/ola/2008/BPA061008.html. June 10, 2008. Accessed August 12, 2008. – Lee DS, Evans JC, Robins SJ; et al. Gamma glutamyl transferase and metabolic syndrome, cardiovascular disease, and mortality risk: the Framingham Heart Study. Arterioscler Thromb Vasc Biol. 2007;27(1):127-133. – vom Saal FS, Hughes C. An extensive new literature concerning low-dose effects of bisphenol A shows the need for a new risk assessment. Environ Health Perspect. 2005;113(8):926-933. ISI | PUBMED – Michaels D. Doubt Is Their Product: How Industry’s Assault on Science Threatens Your Health. New York, NY: Oxford University Press; 2008. – De Ferranti SD, Osganian SK. Epidemiology of paediatric metabolic syndrome and type 2 diabetes mellitus. Diab Vasc Dis Res. 2007;4(4):285-296. – Newbold RR, Padilla-Banks E, Jefferson WN, Heindel JJ. Effects of endocrine disruptors on obesity. Int J Androl. 2008;31(2):201-208. – Prins GS, Birch L, Tang WY, Ho SM. Developmental estrogen exposures predispose to prostate carcinogenesis with aging. Reprod Toxicol. 2007;23(3):374-382. – Anastas PT, Beach ES. Green chemistry: the emergence of a transformative framework. Green Chem Let Rev. 2007;1(1):9-24. – Buterin T., Koch C. &H Naegeli, Convergent transcription profiles induced by endogenous estrogen and distinct xenoestrogens in breast cancer cells Carcinogenesis 2006, 27 : 1567-78. – Evaluation de la toxicité de 28 substances chimiques de synthèse (resultats d’analyses toxicogénomique menées par Antidote Europe) – Description du Diéthylstilbestrol.]] On observe que des cellules humaines en culture (maintenues vivantes hors du corps) et exposées au BPA se révoltent. Les outils dont nos cellules disposent pour résister au stress, pour éviter de devenir cancéreuses, pour bien communiquer avec leurs voisines deviennent inopérants. Des personnes présentant des taux élevés de bisphénol A sont aussi plus souvent sujettes à des maladies cardio-vasculaires, au diabète, à un dysfonctionnement du foie…

UN VOISIN REDOUTABLE

Le diéthyl stilbestrol (DES) a été à l’origine de l’une des plus graves catastrophes médicamenteuses du XXème siècle. Prescrit a des femmes enceintes, on ne s’apercevra que trente ans plus tard qu’il a provoqué des malformations génitales, des cancers, des problèmes pour concevoir et pour mener une grossesse à terme chez les filles et chez les petites-filles de ces femmes. Ces enfants « DES » qui n’avaient été en contact avec le diéthyl stilbestrol que dans le ventre de leur mère, en ont pourtant été perturbés pendant toute leur vie. Une vraie bombe à retardement ! Le DES a une structure très voisine du Bisphénol A, ce qui signifie que ces deux substances ont très probablement des activités biologiques très voisines aussi [[- Explication de la relation quantitative structure à quantité (Quantitative Strcture-Activity Relationship – QSAR) – Article sur les resultats d’analyses du Bisphenol A sur des souris (en anglais)]]. Le bisphénol A aurait-il des effets similaires à ceux du diéthyl stilbestrol ? Contribuerait-il à augmenter le nombre de cas de certains cancers ? à faire diminuer la fertilité des couples ? à induire des maladies neurologiques graves ? Se révèlera-t-il avoir été une bombe à retardement dans trente ans ?

UN DOUTE QUI DERANGE

Il y a plus de 50 ans, les experts officiels n’ont rien trouvé à redire à propos du DES. 30 ans plus tard, les premières victimes sont apparues et sont chaque jour plus nombreuses. Aujourd’hui, les experts officiels, ceux de nos agences de sécurité sanitaire, ne trouvent rien à signaler non plus au sujet du Bisphenol A. Cependant la situation est différente car la voix d’autres experts nous parvient et les conclusions de leurs études respectives sont alarmantes Alors qui croire ? Nos experts officiels, chaque jour plus contestés par les rapports publiés au sujet du BPA ? Ou alors les experts indépendants, désintéressés, dont les rapports font foi et ont déjà convaincu des villes, des capitales et même des gouvernements à prendre des mesures concrètes pour enrayer l’exposition de la population au Bisphenol A ?

MAIS ALORS, QUE FAIRE ?

Ne pas se résigner D’abord, s’informer. Des scientifiques indépendants et désintéressés proposent une expertise impartiale, valable pour l’homme. Ils en ont informé, et continuent à en informer, les autorités françaises, européennes, américaines. Ce sont par exemple ceux qui oeuvrent dans Antidote Europe, qui refusent de prendre en considération les nombreuses données des effets du Bisphénol A sur des animaux. Ils savent en effet que ces données n’ont pas de valeur pour l’homme et peuvent gravement induire en erreur, car il est prouvé qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre. Se méfier des déclarations rassurantes sur le Bisphénol A quand elles émanent d’organes qui ont des intérêts économiques directs liés à cette substance, ou qui sont sous influence plus ou moins occulte de ces intérêts. Agir Informer ses proches. Diffuser le spot qui vous a fait vous poser toutes ces questions, diffuser l’adresse de ce site et signer la pétition. Appliquer le principe de précaution : utiliser des biberons en verre, ne jamais consommer un aliment ou boire une boisson qui a séjourné dans un récipient en plastique (barquette, bouteille, boîte de conserve tapissée de plastique…) exposé au soleil, éviter de chauffer les aliments dans leur emballage, préférer les boissons en bouteille de verre, retrouver le goût de faire la cuisine à partir d’aliments frais plutôt qu’à partir de conserves… Intervenir auprès des responsables de crèches (municipales en particulier), des cantines scolaires ou du lieu de travail, pour attirer leur attention sur les risques du Bisphénol A. Faire part de vos réserves concernant le Bisphénol A dans les emballages aux responsables de vos commerces d’approvisionnement alimentaire. Demander à vos élus locaux, départementaux, régionaux ou nationaux d’intervenir auprès des autorités pour mettre sans délai les enfants et les femmes enceintes à l’abri de cette substance, en attendant d’en protéger toute la population Ecrire au Ministre de la Santé, de la Consommation, de l’Environnement dans le même but. Demander au Ministre de la Recherche de lancer une étude sérieuse sur les effets biologiques du Bisphénol A chez l’homme. Les outils et méthodes modernes à cette fin ne manquent pas (toxicogénomique par exemple). La guerre de tranchée des « pour » et des « contre » le Bisphénol A ne cessera que quand des données scientifiques indiscutables, fiables et reproductibles seront à disposition, c’est-à-dire obtenues sur du matériel biologique d’origine humaine ou par étude épidémiologique, et non pas sur des « modèles animaux ». Il est en effet démontré rigoureusement qu’aucune espèce n’est un modèle biologique fiable pour une autre, même très proche en termes d’évolution.

 

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David Naulinhttp://cdurable.info
Journaliste de solutions écologiques et sociales en Occitanie.

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