Du 29 mai au 2 juin 2008, l’association « Pour un Maroc vert » présentera le premier festival africain de l’écologie et du développement durable sous le thème «Revisitons notre planète» au pied monts du haut Atlas dans la province du Haouz.
Revisitons notre planète, pour mieux la comprendre, mieux l’observer. Revisitons là pour redécouvrir sa beauté et sa diversité.
La naissance de ce premier éco-festival en terre d’Afrique a pour ambition de créer un impact médiatique international, comme un signal de la nouvelle ère écologique qui s’ouvre aujourd’hui, et un message de ralliement aux jeunes générations qui feront le monde de demain.
Les missions de ce festival ? Tout d’abord, participer à l’éveil des consciences sur la problématique de l’environnement et sur les urgences écologiques auxquelles se trouve aujourd’hui confronté le Maroc en particulier, et toute la planète de manière générale.
Le festival doit aussi poser la première pierre pour la création d’une plateforme africaine et internationale professionnelle pour les associations et les principaux acteurs de l’environnement, destinée à favoriser le partage des connaissances et la synergie des actions.
Enfin, il doit être l’occasion de mettre en avant les principales entreprises et initiatives nationales inscrites dans la démarche de l’écologie et du développement durable, et promouvoir ainsi les pratiques d’affaires responsables au Maroc.
Pendant les trois premiers jours de la manifestation, les festivaliers seront invités à assister aux nombreuses conférences sur les grands thèmes de l’écologie (sauvegarde de l’eau, désertification et déforestation, réchauffement climatique…) tenues par des spécialistes internationaux et marocains, à participer aux ateliers et à visiter les stands des association présentes sur le village écologique.
Les 2 derniers jours de la manifestation feront la part belle à la musique avec la tenue de concerts sur la scène principale, avec la gracieuse collaboration d’artistes marocains de renom engagés en matière d’environnement. Place à la musique, donc, mais aussi au cinéma avec la projection de documentaires liés à l’environnement.