Nous sommes plusieurs dizaines de millions à nous déplacer chaque jour pour nous rendre au travail, à l’école, faire nos courses, rendre visite à des amis… La 11e édition de la semaine européenne de la mobilité sera l’occasion, pour tous, de réfléchir aux modes de transports les plus adaptés à chacun de nos trajets. Covoiturage, marche à pied ou vélo pour les courtes distances, autopartage, transports en commun… autant de manière de se déplacer plus économiques et moins polluantes ! Du 16 au 22 septembre, collectivités locales, réseaux de transports, entreprises, services publics, associations, établissements scolaires organiseront de nombreuses manifestations dans toute la France pour promouvoir ces modes de transports « doux ». CDURABLE.info vous apporte quelques précisions sur les temps forts de cette édition 2012.
Quand ? Créée en 2002 à l’initiative de la Commission européenne, la Semaine Européenne de la Mobilité a lieu chaque année du 16 au 22 septembre. Pendant 7 jours, en Europe et dans toute la France, cet événement constitue une occasion idéale de promouvoir des solutions de transports durables. Quoi ? La Semaine Européenne de la Mobilité est organisée autour d’un appel à projets invitant les collectivités locales, les sociétés exploitant un réseau de transport, les entreprises, les associations, les services publics et les établissements scolaires à organiser des événements relatifs à la mobilité douce. En 2012, pour sa 11e édition, la Semaine Européenne de la Mobilité met tous les moyens de transport à l’honneur : bus, train, vélo, marche à pied, covoiturage, rollers… Les Français seront invités à repenser leur façon de se déplacer. Plus de 300 projets sont attendus dans toute la France : cours de vélo, ateliers informatiques autour de l’empreinte environnementale, randonnées, projections de films documentaires, initiations à l’écoconduite … Par qui ? Elle est organisée par le ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, en partenariat avec l’Ademe, le GIE Objectif transport public, le Club des villes et territoires cyclables et la Fédération française des Usagers de la Bicyclette. Un réseau de partenaires, entreprises, media, associations, engagés dans la promotion des moyens de transport durable, soutient également la Semaine Européenne de la Mobilité. Pour qui ? Cette opération s’adresse initialement aux villes et autres collectivités (agglomérations, syndicats mixtes, départements, régions, autorités organisatrices de transports) mais aussi aux entreprises exploitant un réseau de transport, associations, entreprises et services publics (établissements scolaires, établissements publics, administrations…). Pour la plupart, les manifestations sont ouvertes au grand public qui peut ainsi (re)découvrir des solutions simples pour se déplacer de manière responsable.Bien choisir son moyen de transport
– Source : http://ecocitoyens.ademe.frJ’ai moins de 5 km à parcourir, je n’ai pas le temps de faire du sport, j’aime découvrir ma ville… Je choisis la marche !En France, un quart des déplacements font moins de 1 kilomètre, distance qui peut-être parcourue en 15 minutes en moyenne. Nombre de Français optent pour la marche pour se rendre au travail ou à l’école, aller faire leurs courses, etc. En faisant ce choix, ils évitent problèmes de circulation et de stationnement et réduisent de manière significative les émissions de gaz à effet de serre (1 kilomètre réalisé à pied peut permettre d’économiser 280g de CO2). Une bonne idée pour être ponctuel et respecter la planète ! La marche est aussi un moyen simple de prendre soin de soi puisqu’elle permet de pratiquer une activité physique indispensable à la santé. Augmentation de l’irrigation sanguine au niveau des membres inférieurs, renforcement du muscle cardiaque, stimulation de la circulation veineuse des jambes, musculation des membres inférieurs … La marche est conseillée à tous ! Les Français choisissent également la marche parce qu’elle est le mode de transport le plus économique loin devant la voiture. Selon l’INSEE, en 2011, le budget auto annuel moyen par ménage est estimé à 4 500€ ; deuxième poste de dépenses des ménages français, il représente près de 15% de leur budget annuel.
Il faut 1/4 d’heure pour faire 1 km à pied et, en ville, 1/4 des trajets voiture font moins d’1 km. 30 minutes de marche rapide par jour améliorent votre santé. Et si je suis pressé(e)… Je choisis le vélo !A l’instar de la marche, le vélo n’émet aucun polluant et ne nécessite aucune énergie hormis celle de la personne qui pédale. C’est donc un moyen de transport idéal pour agir pour l’environnement et rester en bonne santé ! Le vélo permet lui aussi de faire des économies : selon le modèle choisi, un cycliste dépense moins de 180€/an tout compris (achat, entretien, amortissement). Plus rapide que la marche, le vélo en ville n’a rien à envier aux voitures ou bus : un cycliste roule en moyenne à 15 km/h contre 14 km/h en moyenne pour les véhicules. Jusqu’à 5 km, le vélo est plus rapide car il ne subit que très peu les aléas de la circulation et limite les problèmes de stationnement. Pour encourager ces nouveaux comportements, de nombreuses collectivités locales ou entreprises mettent en place des services tels que des vélostations, des flottes de vélos de services, des vélocampus ou encore des vélobus (accompagnement des enfants à l’école en vélo).
Un trajet en voiture sur deux fait moins de 3 km ; il faut 1/4 d’heure pour faire 3 km à vélo. 10 km de vélo tous les jours évitent le rejet, par l’usage d’une voiture, de 700 kg de CO2 par an. 1 place de stationnement voiture, c’est 10 places de stationnement vélo.A vélo, on n’oublie pas de porter son casque et de signaler sa présence (gilet rétroréfléchissant, vêtements de couleur claire pour être bien vu des automobilistes.
J’ai au moins 10 km à parcourir, ni le bus ni le train ne desservent mon lieu de destination, je ne suis pas contre l’idée de discuter le long du trajet… Je choisis le covoiturage !Développé en Europe dans le courant des années 90, le covoiturage vise à mettre en relation des individus pour un trajet (ou une partie de ce trajet) qu’ils effectuaient jusque là seuls. Le temps d’un voyage régulier (domicile-travail, domicile-école) ou ponctuel, conducteurs et passagers partagent alors un véhicule et les frais de transport. De manière plus globale, le covoiturage permet de diminuer le nombre de voitures en circulation. A l’heure actuelle, 80% des conducteurs français roulent seuls dans leur voiture… En diminuant le nombre de voitures en circulation, le covoiturage contribue à réduire les émissions de gaz à effet de serre responsables du changement climatique tels que le dioxyde de carbone (CO2) ainsi que les émissions de polluants nocifs pour la santé (composés organiques volatiles (COV), oxyde d’azote (NOx), monoxyde de carbone (CO), etc.) Malgré tout, la voiture est encore le moyen de transport préféré des Français : 8 Français sur 10 l’utilisent dans leurs déplacements quotidiens personnels ou professionnels, la plupart du temps seuls dans leur propre véhicule. Parmi les solutions envisagées par les Français pour faire des économies, le covoiturage figure en tête de liste. Selon une étude IFOP réalisée en juin 2012 pour le site AramisAuto.com, 98% des Français ont entendu parler du covoiturage ; sur ces derniers plus de 25% déclarent y avoir recours souvent ou de temps en temps. A ce jour, on estime que 3 millions de personnes pratiqueraient le covoiturage en France pour réaliser des économies, par respect pour l’environnement mais aussi pour la convivialité d’un trajet partagé. Il existe plus de 200 services de covoiturage organisés mis en place, dans l’ordre par : – les entreprises (43 %) – les collectivités (22 %) – les établissements de santé (10 %) – les zones d’activités (9 %)
Ou je préfère être seul(e) et écouter ma musique… Je choisis l’autopartage !L’autopartage est un service de mise à disposition de voitures pour une courte durée (1 heure ou plus). L’inscription à ce service permet aux abonnés de réserver facilement un véhicule situé sur un parking à proximité de chez eux et ce, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Cette pratique répond à un vrai besoin puisque 70 % des trajets effectués par ce moyen de transport ne pourraient pas être faits autrement qu’en voiture. L’autopartage présente un intérêt environnemental double : – il permet de réduire le nombre de kilomètres parcourus en voiture et donc la consommation d’énergie et les émissions de polluants (l’utilisateur de l’autopartage modifie sa façon de se déplacer et utilise moins la voiture que le propriétaire d’une voiture particulière) – il permet de libérer de l’espace urbain utilisé auparavant pour le stationnement des véhicules. Facile à utiliser, l’autopartage s’adresse à un public surtout urbain et connaît un succès croissant : en 2009, le service était disponible dans 24 villes françaises dont Paris (88 stations), Marseille, Lyon, Strasbourg, Grenoble, La Rochelle. Ce service est principalement installé dans des villes de plus de 100 000 habitants mais il se développe également dans des villes de taille inférieure comme La Rochelle et Antibes.
Une voiture partagée remplace entre 4 et 8 voitures privées. Une étude OSEA / ANVAR estime le gain annuel à 1,2 tonne de CO2 par usager, soit à peu près 60 % de ce que l’on rejette par an en se déplaçant.
J’ai au moins 10 km à parcourir, mon domicile et mon lieu de travail sont très bien desservis, je profiterais bien du trajet pour lire ou dormir, Je choisis les transports en commun !Plus économiques que la voiture (un abonnement annuel coûte plus de 17 fois moins cher que l’entretien d’une voiture), les transports en commun (bus, cars, trams, métro, trains) permettent de faire de longs trajets en évitant le stress de la conduite. Ils sont aussi beaucoup plus écologiques que les moyens de transport individuels : les transports en commun émettent près de 3 fois moins de polluants et de gaz à effet de serre que les voitures. Bus urbain et cars interurbains Les collectivités adaptent de plus en plus les centres-villes et les banlieues de manière à faciliter la circulation des bus. La mise en place de voies réservées permet notamment plus de rapidité et de ponctualité. Des collectivités, rurales dans la plupart des cas, proposent également des services de transport à la demande.
1 bus peut transporter en passager l’équivalent de 40 à 50 voitures (la plupart des automobilistes voyagent seuls). Pour un même trajet, on consomme en bus 2 fois moins d’énergie et on émet 2 fois moins de CO2 qu’en voiture.Tramway et métro Parce qu’ils n’émettent pas de gaz à effet de serre quand ils circulent, ces transports urbains offrent des avantages écologiques majeurs. Ils sont aussi très performants de par leur capacité de transport et leur ponctualité (circulant sur des voies réservées, ils ne sont pas soumis aux aléas de la circulation).
Une rame de tramway transporte à peu près l’équivalent en passagers de 170 voitures. Un passager du métro consomme environ 10 fois moins d’énergie qu’en utilisant sa voiture.Train Qu’il s’agisse des Trains express régionaux (TER), Trains à grande vitesse (TGV) ou des Trains internationaux, les usages du train sont multiples. Pour de longues distances, le train pollue peu : c’est le moyen de transport le moins énergivore.
Entre Marseille et Paris, le passager d’un TGV émet 10 kg de CO2, celui d’un avion 115 kg de CO2 et celui d’une voiture 140 kg de CO2
Temps forts
– – Journées Nationales des Voies Vertes Samedi 15 & dimanche 16 septembre / Samedi 22 & dimanche 23 septembre Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Mobilité et des « RDV Sport Santé Bien être« , l’Association Française de Développement des Véloroutes et Voies Vertes organise chaque année les Journées Nationales des Voies Vertes pour faire connaitre les aménagements en France et rassembler les différents usagers. Qu’est-ce qu’une Voie Verte ? Aménagée essentiellement sur des chemins de halage, d’anciennes voies ferrées réaménagées ou des pistes forestières, à l’écart du trafic, une Voie Verte est une voie en site propre réservée à la circulation non motorisée : piétons, cyclistes, rollers, personnes à mobilité réduite et, dans certains cas, aux cavaliers. Qu’est-ce qu’une Véloroute ? Une Véloroute est un itinéraire cyclable de moyenne ou longue distance reliant les villes, les régions ou les pays entre eux. Destinées au vélo-tourisme, les Véloroutes constituent un parcours agréable sur des sites propres et des petites routes tranquilles. Il existe aujourd’hui 360 itinéraires et environ 12 000 km de Véloroutes et Voies Vertes aménagés. – – Journée des vélo-écoles Mardi 18 septembre Le vélo est un moyen de transport à la fois écologique et économique ! Apprendre aux enfants et aux adultes à faire du vélo, c’est donc leur donner une autonomie et un accès à une mobilité peu coûteuse. C’est aussi leur permettre de pratiquer une activité physique quotidienne essentielle à leur bien-être. Des associations, des collectivités et des entreprises ont compris cet enjeu. Elles proposent à des publics divers des formations à la pratique du vélo. De l’apprentissage de l’équilibre à la circulation en ville et aux petites réparations, ces formations se développent sur tout le territoire français. Temps fort de la Semaine de la mobilité, la deuxième édition de la journée des vélo-écoles vise à valoriser les actions menées par les collectivités, les associations et les professionnels, et à venir à la rencontre du public pour lui faire connaître les dispositifs d’apprentissage de la mobilité à vélo. Cette journée est organisée par les acteurs du vélo et de l’apprentissage de la mobilité à vélo tels que le Club des villes et territoires cyclables, la Fédération française des usagers de la bicyclette, la Fédération française de cyclotourisme, la Fédération française de cyclisme et les Moniteurs cyclistes français. – – Journée du transport public Mercredi 19 septembre La Journée du transport public est organisée chaque année par le GIE Objectif transport public avec le soutien du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Énergie, afin de promouvoir l’usage du transport collectif. Grande opération nationale, la Journée met en avant les réseaux de transport locaux (urbains, interurbains et régionaux) qui proposent au public des offres tarifaires ou basées sur des services exceptionnels pour faire découvrir les avantages des transports en commun, et à terme favoriser un changement de comportement. Avec la mise en place d’accueils dédiés, cette action permet de créer un dialogue direct entre les voyageurs et les acteurs du transport public. – – Journée du covoiturage Jeudi 20 septembre Apparu en France dans les années 1990, le covoiturage est l’utilisation commune d’un véhicule par un conducteur non professionnel et des passagers sur tout ou une partie d’un trajet. Ce qui en fait un mode de déplacement alternatif à la fois économique, écologique et social. Le Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie lance la 3e journée nationale du Covoiturage en partenariat avec BlaBlaCar.fr (nouveau nom de covoiturage.fr) et avec le soutien des structures de covoiturage, afin de faire connaître et d’encourager cette nouvelle pratique de déplacement conviviale et économique. De nombreuses manifestations sont prévues sur tout le territoire pour faire aux Français cette nouvelle pratique. – – Conférence débat « La ville cohérente : penser autrement la proximité » Jeudi 20 septembre 2012 – Paris 7e Avec Jean-Pierre Orfeuil, professeur à l’Institut d’urbanisme de Paris de l’Université Paris Est, coauteur de l’ouvrage La ville cohérente. Débat animé par Francis Beaucire, géographe, président du groupe opérationnel Predit « Mobilité dans les régions urbaines ». Avec Patrick Coroller, Ademe, chef du service transport et mobilité. Avec la participation du Programme de recherche et d’innovation dans les transports terrestres (Predit), à l’initiative des ministères chargé des transports et du développement durable, de l’industrie, de la recherche, l’ADEME, l’ANR et OSEO. Jeudi 20 septembre 2012 à 17h30 Librairie du citoyen 29 quai Voltaire Paris 7e 01 40 15 70 77 – Liste complète des manifestations disponibleEdition 2011
Le numérique au service de la mobilité Pour lutter contre la multiplication des voitures en ville, ses conséquences sur la qualité de l’air et la hausse des émissions de gaz à effet de serre, des modes de transports moins polluants et moins gourmands en énergie se développent dans les grandes villes de France, bien aidés par des applications numériques toujours plus performantes. Le Grenelle de l’environnement a profondément encouragé le développement de solutions alternatives à l’utilisation individuelle de la voiture pour assurer les déplacements des citoyens au quotidien. Plus écologiques (moins d’émission de gaz à effet de serre) et/ou plus économiques (mutualisation des trajets), la pratique du vélo, le covoiturage et l’autopartage gagnent ainsi en popularité année après année en complément de la marche et de l’utilisation des transports collectifs. Une réussite qu’il faut en partie lier à l’essor des supports numériques mis à la disposition des utilisateurs. En effet, sites Internet et applications mobiles pour smartphones fleurissent afin de faciliter les déplacements des citoyens, en ville ou vers leur lieu de villégiature. S’il suffit de se connecter chez soi sur l’un des sites Internet dédiés pour organiser en amont ses déplacements, il est également possible d’improviser en profitant des différentes applications mobiles disponibles (à découvrir notamment sur le site www.proximamobile.fr). Elles associent la qualité des informations en temps réel et les principes de géolocalisation pour vous permettre de découvrir les parcs à vélos et parcs automobiles les plus proches de votre situation géographique, de mettre en relation conducteurs et passagers pour des trajets de covoiturage ou d’assurer une information très complète sur les bus, cars, métros et tramways (lignes, horaires et trajets préférentiels, solutions d’intermodalité). L’intérêt du téléphone mobile ne se limite d’ailleurs pas à ces applications. Certaines agglomérations (Marseille, Nice, Grenoble, Aubagne) expérimentent en effet la technologie NFC (technologie de communication sans-fil) pour permettre aux utilisateurs des transports publics d’acheter et de valider leurs titres de transport via leur téléphone portable. Alors que nous réserve l’avenir ? Avec cette semaine de la mobilité, il s’agit de montrer comment les nouveaux services en ligne (covoiturage, autopartage, transports en commun, réservation de vélo…) favorisent de nouvelles façons de se déplacer. Le ministère du Développement durable et les coorganisateurs de l’opération souhaitent ainsi inciter les citoyens, à profiter pleinement de ces nouveaux services en ligne afin qu’ils adoptent des comportements plus responsables en matière de déplacement et de sécurité routière. Comme chaque année, la Semaine européenne est coordonnée par le ministère du Développement durable en partenariat avec l’Ademe, le GIE Objectif transport public, le Club des villes et territoires cyclables et la Fub. Pour découvrir les centaines de manifestations organisées pendant cette semaine cliquez ici.Les principaux événements de la semaine
– Le 16 septembre : Journée des « Vélos-Ecoles ». Cette année, le Club des villes et territoires cyclables et la Fédération française des usagers de la bicyclette, partenaires de la semaine européenne de la mobilité, inaugurent la première journée des vélo-écoles, avec les fédérations sportives de cyclisme et les moniteurs cyclistes français. Cette opération vise à encourager les collectivités afin qu’elles lancent des opérations en faveur de l’apprentissage du vélo mais aussi dans le but de sensibiliser tous les publics aux bienfaits de l’utilisation du vélo. – La journée du covoiturage le mardi 20 septembre. Le covoiturage c’est :- moins d’embouteillages : chaque trajet effectué en covoiturage permet d’éviter entre 2 et 5 voitures sur les routes
- des économies : un Français habitant à 15 km de son lieu de travail dépense en moyenne 260 € par mois pour aller travailler en voiture
- moins d’émissions de gaz à effet de serre : un déplacement par semaine à 15 km du domicile, pour aller faire ses courses par exemple, équivaut à plus de 300 kg de CO2 rejetés.
Bougez autrement avec le numérique !
Une ancienne idée pour l’Europe qui est très actuelle: fini les vignettes mais une taxe basée sur le nombre de cylindre par personne En effet pourquoi quatre cylindres pour une personne alors que la puissance d’un seul cylindre couvre suffisamment les besoins de motricité La preuve vers dix-huit heures le soir dans les bouchons de 5 KMS de voiture a une personne à bord représente une file de 500 mètres de deux roues en mouvement sans interruption avec cinq fois moins de gaz à effet de serre. Nous ne parlons pas alors du vélo électrique sans CO2 du tout Cette taxe équitable ne condamne que les exes et abus de consommation et pollution dont les revenus pourrait être attribués au développement des véhicules hybrides et pourquoi pas rever le moteur à hydrogène déjà très ancien mais qui à pour ennemi la difficulté de taxer