Piloter une organisation à lucrativité limitée peut être perçu, dans un contexte de financiarisation à outrance, comme un sacerdoce. Oui, l’entreprise à lucrativité limitée a vocation à réaliser du profit. Cela étant, elle génère du profit en faveur d’un projet d’utilité sociale. Et ça change tout.
À une époque où l’activité économique est largement influencée par l’évolution de la bourse, on en oublierait presque que l’entreprise n’est pas qu’une machine à profit destinée à reverser (...)