Les économies des pays en voie de développement, après une période de mise en œuvre de grands projets, n’ont eu que des impacts très limités sur l’amélioration des conditions de vie des habitants de nos campagnes. Ils ont opté aujourd’hui pour une approche plus pragmatique de développement local, axé sur la promotion agricole et des initiatives locales.
Objectifs : – La mobilisation de tous les amis de la paix à s’opposer par tous les moyens pacifiques contre les violations de l’intégrité de tout territoire – La sensibilisation des populations frontalières sur la recherche permanente de tout ce qui peut et doit favoriser l’amitié et la fraternité entre deux peuples. – Le déploiement des efforts et moyens pacifiques pour assurer la médiation entre deux peuples ou tribus en conflit. – La promotion de la Démocratie en Afrique – Le développement économique et social des populations – La lutte contre le racisme et le tribalisme Historique : Sommaire présentation des activités du MLPPT depuis sa création en Juillet 1990, sans Tambour ni Trompette 1991 – Présentation des Statuts du MLPPT aux Chefs d’Etat membres du Comité permanent de médiation de la CEDEAO sur le Libéria, réunis à Lomé le 11 Février 1991 1992 – Invitation de Président Blaise COMPAORE du Burkina Faso, pour la supervision des élections Législatives de Mai 1992 1993 – Règlement du conflit sanglant au Congo Brazzaville entre le Président de la République Monsieur Pascal LISSOUBA et le Chef de l’Opposition Monsieur Bernard KOLELA. L’Implication personnelle du MLPPT à Brazzaville, a permis le dénouement rapide de ce conflit. 1994 – Supervision des élections Législatives anticipées au Niger. Envoi de sept (07) observateurs aux frais du MLPPT. 1998-1999 – Implication active du MLPPT au coté du Président YAHYA JAMMET de la Gambie, pour le règlement des conflits de la Guinée- BISSAU et de la CASAMANCE 1999 – Mise en place d’un Comité permanent de prévention et de règlement pacifiques des conflits par la société civile Africaine 2001 – Notre pression sur le Royaume de Belgique pendant sa Présidence de l’Union Européenne, pour le règlement rapide des conflits en République Démocratique du Congo, à travers Monsieur Louis MICHEL, actuel Commissaire Européen à l’action Humanitaire, alors Vice-premier Ministre, Ministre Belge des Affaires Etrangères Au plan National : Projet d’une mise en place d’un Fonds de soutien à l’Agriculture et à des Initiatives de base en zones Rurales, pour mettre fin à l’exode rural qui a complètement vidé les campagnes de leurs bras valides au profit des grandes villes Africaines, elles mêmes complètement saturées où règnent le chômage et le désespoir. La situation au Liban : Malgré la conférence de Taef qui a mis fin à plusieurs années de guerre civile au Liban, les forces Politiques intérieures et extérieures ont replongé le pays du Cèdre dans une chronique instabilité qui, si rien n’est fait, risque de Somaliser ce pays. Madame BENITA Ferrero-Waldner, Commissaire en charge des relations extérieures nous soutient dans notre démarche. Monsieur GBODOGBE PaulinPrésident Coordonnateur du MLPPT BENIN
01BP 2851 Cotonou / BENIN
MOUVEMENT DE LUTTE POUR LA PAIX ENTRE LES PEUPLES ET LES TRIBUS (M.L.P.P.T)
Organisation non Gouvernementale (ONG)
Siège : carré 124 Missèbo
Tél. : (229) 21311865 Fax : (229) 21303403
Cotonou (Rép. Du Bénin)
Projet de Fonds de soutien à l’Agriculture en zone rurale
Les économies des pays en voie de développement, après une période de mise en œuvre de grands projets, n’ont eu que des impacts très limités sur l’amélioration des conditions de vie des habitants de nos campagnes. Ils ont opté aujourd’hui pour une approche plus pragmatique de développement local, axé sur la promotion agricole et des initiatives locales. L’objectif du développement local participatif est donc : – d’améliorer les conditions de vie des habitants des campagnes les plus défavorisées ; – d’assurer la participation effective de ces mêmes populations à leur propre développement en s’appuyant sur les ressources de leurs localités ; – d’assurer la production agricole dans ces zones ; – de garantir une auto-suffisance alimentaire avec des produits écologiquement propres ; – de permettre un recyclage continu des revenus, et de protéger l’environnement ; – de maintenir la paix sociale en diminuant les tensions latentes (économiques – financières – sociales) ; – d’encourager l’alphabétisation ; – de trouver les approches de solution durables aux problèmes cruciaux de l’exode rural. L’idée principale nous incitant à envisager la création d’un fonds de soutien à l’agriculture en zones rurales, se matérialise avant tout dans la mise en œuvre des stratégies pouvant amener les paysans, les femmes, les jeunes, les organisations communautaires à s’intéresser directement à leur propre développement, à partir des réalités de leurs localités. En d’autres termes, la dynamique dont le fonds est porteur doit décourager l’exode rural d’une part, et favoriser surtout un changement du comportement des populations des villages et campagnes vis-à-vis du pouvoir, sur le plan économique et du développement. Au total, sur le plan du développement, par un soutien financier direct, le fonds contribuera à faire promouvoir les initiatives de base dans les zones rurales, et mettra à la disposition des paysans, des moyens susceptibles de les rendre désormais plus autonomes dans leur développement ultérieur.