Paris, le 24 Juillet 2008 :
Nouvel incident nucléaire au Tricastin : Greenpeace demande un débat national et la suspension du programme EPR.
Lire aussi l’article publié le 15 Juillet sur Cdurable.info :
Tricastin : quel est le véritable impact radioactif du site nucléaire sur la population et l’environnement ?
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ACTUALITE Greenpeace France
Nouvel incident nucléaire au Tricastin : Greenpeace demande un débat national et la suspension du programme EPR.
Paris, le 24 juillet – Quinze jours après la fuite radioactive de la filiale d’Areva, Socatri, au Tricastin, suivie de celle d’une autre filiale, FBFC, à Romans-sur-Isère, c’est au tour des installations d’EDF de démontrer les incuries de l’industrie nucléaire française. 15 personnes ont été contaminées le 18 juillet à la centrale de Saint-Alban, et hier c’est la contamination massive de 100 travailleurs à la centrale EDF de Tricastin qui a eu lieu.Nouvelle fuite radioactive : la faillite d’Areva et du nucléaire !
Paris, le 18 juillet 2008 – Une nouvelle fuite sur un site nucléaire d’Areva, à l’usine FBFC de Romans-sur-Isère (Drôme), a été détectée hier. Une rupture de canalisation, qui daterait de plusieurs années, en est à l’origine. Pour Greenpeace, une semaine après Tricastin, ce nouvel accident illustre de nouveau le danger et les graves problèmes de pollution que pose l’industrie nucléaire dans son ensemble, des centrales nucléaires aux sites de traitement et de gestion des matières et déchets radioactifs. Derrière ces incidents à répétition se dessine la faillite de toute une filière dangereuse, coûteuse et inutile.Fuite du Tricastin : une prise de conscience tardive incompatible avec un nouveau programme nucléaire
Paris, le 17 juillet – Suite à la découverte au Tricastin d’une contamination plus ancienne d’une nappe phréatique et à la polémique qui en découle, Greenpeace s’étonne qu’on ne redécouvre qu’aujourd’hui la dangerosité liée à l’industrie du nucléaire et sa capacité à polluer l’environnement. Quant à la déclaration du ministre Borloo de faire vérifier les nappes phréatiques près de toutes les centrales, Greenpeace ne peut que soutenir cette volonté de faire un bilan des problèmes de pollution que pose le nucléaire.