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La Terre perd la boule par Thomas L. Friedman

Par l'auteur du best-seller La Terre est plate, vendu à plus de 7 millions d'exemplaires dans le monde

A 56 ans, éditorialiste vedette du New York Times, Friedman a déjà empoché trois prix Pulitzer. Dans le cadre de son dernier tour du monde, il a pris la mesure des dégâts provoqués par un type de croissance dévoreuse d’énergies fossiles et destructrice de l’environnement : réchauffement climatique, coups portés à la biodiversité, sur fond d’explosion démographique. Alain Frachon écrit à propos de ce livre dans Le Monde (26 janvier 2009) : « Cette terre plate, surpeuplée et surchauffée, Friedman la raconte à sa manière : documentation massive, portraits et reportages au service d’un livre puissant, qui dresse l’état des lieux de l' »ère énergico-climatique », expose les causes de la dégradation de l’environnement et propose des solutions (un programme qu’il appelle « Le code vert »). » Et de conclure : « Pour que la Terre retrouve, un peu, la boule, Friedman croit aux mérites conjugués de l’innovation et du marché, de l’idéalisme et du pragmatisme. Après tout, il est américain. »

Présentation par l’éditeur : La planète perd la boule. Pourquoi ? Parce que l’Amérique a perdu la main. Le premier de la classe est devenu le pire des cancres. Il reste accro aux énergies sales et bon marché du XXe siècle. Pétrole, charbon, 4 x 4… Les Américains prennent l’Amérique et le monde pour une poubelle. L’autre lanterne rouge, c’est la Chine. Mais les Chinois, eux, ont compris le danger. En cinq ans, Pékin a remplacé ses mobylettes par des scooters électriques. D’ici à 2030, l’empire du Milieu aura construit deux cents nouvelles villes à haut rendement énergétique, avec des bâtiments à pollution zéro. C’est clair : la Chine rouge veut devenir verte. L’Europe, elle, a déjà hissé la couleur et doublé les Etats-Unis. L’entreprise solaire la plus performante du monde est américaine – mais sans la technologie des Allemands, elle aurait mis la clef sous la porte. Il n’est pas seulement question ici de vérité et d’air pur. L’enjeu est aussi celui d’une renaissance planétaire. Il est plus que temps, l’heure tourne. La Terre peut encore sortir de l’impasse. Si le monde – l’Amérique, surtout – s’y met. Tout de suite. Ecrit avant l’élection d’Obama, ce livre est à la fois un cri d’alarme et un appel à une révolution verte. Dans un entretien à Ouest France (2 février 2009), Thomas L. Friedman déclare :« Obama va être le premier président vert. Et on a autant besoin d’un président vert que d’un président noir ». « Avant l’investiture, j’ai dit à Obama : vous devez être aussi radical que le moment l’exige ». Friedman d’ajouter : « il a souri ». En dix jours, le ton a déjà changé à Washington constate Ouest France. Ouverture aux énergies vertes, plan de relance, reprise de l’initiative diplomatique au Proche Orient. Même si l’épreuve des faits sera redoutable, le climat a changé. « C’est le meilleur moment dans la pire période », résume Friedman. – Références : La Terre perd la boule de Thomas L. Friedman – Editeur : Saint-Simon – Parution : 16/01/2009 – 488 pages – Format : 15 x 22 – EAN13 : 9782915134384 – Prix public : 25,00 €

 

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David Naulin
David Naulinhttps://cdurable.info
Journaliste de solutions écologiques et sociales en Occitanie.

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