81% des Français se déclarent autant voire plus inquiets des risques liés à la dégradation de l’environnement que des risques liés à la crise financière
Pour la seconde fois à quatre mois d’intervalle, les Français se disent autant (56%) voire plus inquiets (25%) par les risques liés à la dégradation de l’environnement et du climat que par les risques liés à la crise financière (17%).
A la veille du débat parlementaire sur la mise en œuvre du Grenelle, les Français semblent appeler de leurs vœux un New Deal tel que le résumait Al Gore en accueillant le plan du gouvernement américain pour sortir les États-Unis de la crise : « Bonne nouvelle : les mesures audacieuses qui s’imposent pour résoudre le problème climatique sont exactement les mêmes que celles qu’il faut prendre pour dénouer la crise économique … »
Sondage réalisé par LH2 pour le Comité 21, par téléphone, les 13 et 14 février 2009 auprès d’un échantillon de 1 053 Français, échantillon représentatif de la population française selon la méthode des quotas
– Contacts :
LH2 : Luc Balleroy
Comité 21 : Dorothée Briaumont