Qui sème le vent récolte la tempête. L’ouragan Ike n’a pas seulement fait des dégâts au Texas. Il a aussi balayé les places boursières. La tourmente s’est emparée du système bancaire et financier international.
L’optimisme de ceux qui soutiennent que "le pire est passé", comme titre Le Journal des Finances de cette semaine, est loin d’être communicatif.
◊ L’hécatombe se poursuit parmi les grands noms de la finance
◊ Et si le pire de la crise était devant nous
◊ Chacun son métier et les vaches seront bien (...)
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