Parmi les adhérents du Comité 21, l’exemple de Elior, Saur, Réseau Alliances et GROUPE SOS pour l’INNOVATION ECONOMIQUE ET SOCIALE, de Altamire, du Conseil général de l’Essonne et de l’URIOPSS Pays de la Loire pour l’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE – ESS, d’ISOVER, la Nièvre, Besançon et le Syndicat des eaux d’Ile-de-France pour la LUTTE CONTRE LA PRECARITE ENERGETIQUE – EAU, de CARENE, du VVF villages et de la Ville d’Orléans pour la LUTTE CONTRE LA FRACTURE SOCIALE, de La Poste, SNCF et Unis-Cité pour l’EDUCATION ET FORMATION CONTRE L’EXCLUSION, d’Egis, Veolia, le Conseil régional des Pays de la Loire et de la Fondation Energies pour le Monde pour la SOLIDARITE INTERNATIONALE. Des exemples à retrouver juste après l’édito de Gilles Berhault, Président du Comité 21, sur le thème « 2015 : une année ambitieuse pour le Comité 21 »
2015 : une année ambitieuse pour le Comité 21 par Gilles Berhault
Au nom du Conseil d’administration du Comité 21, je vous souhaite une très belle année 2015, dans vos activités professionnelles comme dans toutes les dimensions de votre vie. 2014 a été une année de contrastes et de paradoxes pour le développement durable et la responsabilité sociétale … A la fois décevante sur le plan global, avec de vrais reculs comme celui de l’écotaxe malgré une décision unanime de l’Assemblée nationale, ou encore l’augmentation de toutes les précarités, mais aussi enthousiasmante avec la multiplication des actions sur le plan local. Le Comité 21 confirme chez ses 456 membres la volonté d’agir très concrètement au service des territoires et d’une économie plus responsable, de mieux coopérer dans une logique multiacteurs, et ce, malgré les difficultés qui jalonnent le chemin. La réussite repose essentiellement sur la capacité à avoir une vision globale et multiacteurs, un sens de la responsabilité sociétale et surtout la mise en oeuvre d’un réel dialogue avec les parties prenantes. 2014 a été marqué par la mise en avant des questions climatiques provoquées par une augmentation de la fréquence des événements météorologiques extrêmes, la publication du cinquième rapport du GIEC et bien sûr, pour les Français, la préparation de l’accueil à Paris de la 21e Conférence des Parties des Nations Unies en décembre 2015. Le Comité 21 s’est saisi de cette problématique qui est une opportunité pour fédérer les acteurs et participer à l’accélération des changements en faveur d’une société plus sobre en carbone. En ce début 2015, nous pouvons nous réjouir que le Président de la République ait conclu ses voeux en indiquant que les questions climatiques et environnementales sont une priorité de l’État. Il confirme en cela les propos de Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères et du Développement international que nous avons reçu le 18 décembre dernier, affichant la détermination de l’Etat à obtenir un accord global, à encourager les pays qui n’ont plus que quelques mois pour définir et remettre leurs engagements. Mais les Etats ne peuvent seuls réussir le défi de limiter le réchauffement climatique à 2°C. C’est pour cela aussi que nous devons tous agir, que l’on soit entreprise, collectivité territoriale, association ou citoyen pour y contribuer directement. C’est à cette fin que nous animons le Club France Développement durable, plateforme unique en son genre pour favoriser la coopération entre réseaux sur tous les sujets internationaux. La création du Club France ouvre une dimension plus internationale pour le Comité 21 qui poursuit par ailleurs l’ensemble de ses travaux et projets au service du développement durable. Il nous a semblé aussi nécessaire de nous doter d’un dispositif de communication pour qu’en 2015 puissent être valorisées vos solutions pour le climat : « SolutionsCop21 ». Cela vous concerne tous que vous soyez collectivité, entreprise, association, chercheur… Le site internet est en ligne, véritable « hub » à l’attention de tous pour connaître les solutions, et entrer dans la démarche de généralisation. C’est bien l’objectif du Comité 21 aujourd’hui, faire émerger et favoriser la mise en oeuvre à grande échelle. Nous vous donnons tous rendez vous du 4 au 10 décembre au Grand Palais, pendant la COP21, pour découvrir ces solutions. Le Comité 21 et le Club France y seront bien sûr présents avec un espace dédié. En ce début d’année, le Comité 21 vient tout juste de dévoiler les sept Principes Directeurs pour un dialogue constructif avec les parties prenantes, un travail de près de deux ans auquel ont participé près de 80 organisations (entreprises, tiers facilitateurs, parties prenantes). C’est une étape importante : nous disposons aujourd’hui d’un socle commun permettant d’encadrer ces pratiques. Il permettra d’améliorer le travail de tous, mais aussi d’encourager des entreprises et des collectivités à passer à l’acte ! Le Comité 21 s’attachera particulièrement en 2015 à faire progresser l’articulation des démarches territoriales entre Agenda 21, PCEAT, Plans verts, RSO… Nous sommes convaincus que la RSE prendra cette année une place de plus en plus stratégique. La synthèse des rapports de développement durable que nous réalisons chaque année traduira certainement cette tendance. Profondément choqués par les attentats qui ont marqué ce début d’année, nous avons tous à coeur de démontrer que la violence et l’obscurantisme ne peuvent pas triompher. La marche qui a suivi ces journées sombres est un signal d’espoir pour défendre la liberté, une valeur intimement liée au développement durable. C’est dans ce cadre que se présente aujourd’hui cette Infos 21 consacrée aux actions de solidarité. Des actions multiples et diverses sont présentées par nos adhérents, pour lesquels la solidarité constitue une priorité dans le développement de leur stratégie RSE. Je vous encourage à adhérer ou renouveler votre adhésion au Comité 21 pour partager vos expériences et progresser aux côtés de vos pairs. Bonne année ! Gilles Berhault, PrésidentINNOVATION ECONOMIQUE ET SOCIALE
Elior
Elior investi dans le développement économique et social Elior, acteur mondial de la restauration et des services, contribue au développement économique et social des régions où le Groupe opère. Depuis 2011, Elior soutient l’association « 100 chances 100 emplois » qui fédère déjà, sur 20 bassins d’emploi, des entreprises et des partenaires publics disposés à aider des jeunes en grande précarité à s’insérer durablement dans la vie professionnelle. A travers sa Fondation, le groupe Elior finance également des bourses d’études à des enfants issus de milieux sociaux modestes qui sont engagés dans un parcours de formation supérieure et dont l’un des parents travaille dans le secteur de la restauration ou de la propreté. Depuis sa création en 1995, 1 352 bourses ont été attribuées à plus de 1 000 étudiants. Récemment, l’action de la Fondation Elior s’est élargie avec le programme de parrainage d’étudiants issus de milieux modestes par des cadres d’Elior, baptisé « Tandem ». Il a été expérimenté fin 2013 avec le dispositif des conventions d’éducation prioritaire de Sciences Po. Le nouveau partenariat avec l’association Frateli, première association de parrainage d’étudiants en France, permet ainsi de proposer « Tandem » sur l’ensemble du territoire français. Une vingtaine d’étudiants sont d’ores et déjà accompagnés. En 2013-2014, le Groupe a confié 2 millions d’euros de chiffres d’affaires au secteur de l’économie sociale et solidaire. – Pour en savoir plus – Judith Laloupo – judith.laloupo@elior.comSaur
Saur solidarités se mobilise pour l’insertion professionnelle Le fonds de dotation du groupe Saur, Saur Solidarités, a choisi de soutenir en 2014 « Les Jardins de Saintary » et son chantier d’insertion professionnelle mené à travers une activité de maraichage biologique. Situés à Rimondeix dans la Creuse, Les jardins de Saintary emploient 18 salariés en insertion sur ce chantier. La production agricole est vendue principalement sous forme de paniers de légumes à des adhérents consommateurs, ainsi qu’à la restauration collective (cantines scolaires,…). Aujourd’hui, Les Jardins de Saintary font face à une demande accrue et doivent améliorer leurs outils de production, ce qui implique des investissements importants. Pour assurer la pérennisation de ce chantier, Saur Solidarités accompagne Les Jardins de Saintary dans le développement de la production de légumes et du nombre de postes en insertion grâce au financement de deux serres supplémentaires.Pour en savoir plus – Aurélie Murat – amurat@saur.fr
Réseau Alliances
Le Réseau Alliance lance le projet « SoBizHub » pour une dynamique du Social Business Lancé lors de la dernière édition du World Forum Lille, le projet SoBizHub – Social Business Nord de France – a pour objectif d’ancrer dans le territoire régional la dynamique mondiale du Social Business notamment promue par Muhammad Yunus, fondateur de la Grameen Bank et prix Nobel de la Paix 2006. Les trois initiateurs de ce projet sont le World Forum for a responsible economy (Réseau Alliances), les entreprises McCain et Leroy Merlin. Un comité de pilotage s’est formé début juin 2014 pour travailler à la définition et la mise en oeuvre du projet. Il est composé des trois initiateurs du projet, rejoints par l’Université Catholique de Lille et la Chartreuse de Neuville. Le projet SoBizHub mènera les actions suivantes : sensibiliser au Social Business et promouvoir l’innovation sociale, notamment auprès des jeunes et des milieux économiques ; créer des espaces de co-création entre acteurs qui n’ont pas l’habitude de travailler ensemble (entreprises privées, acteurs de terrain associatifs, universités, pouvoirs publics, etc.) pour réconcilier social et business ; développer la formation académique pluridisciplinaire et la recherche via la création d’une chaire Social Business ; favoriser le lancement de projets Social Business par la mise en place d’incubateurs, d’accompagnement spécifique et de solutions de financement. – Communiqué – Climène Koechlin – ckoechlin@worldforum-lille.orgGROUPE SOS
« Up Campus » Inventer demain, ici, maintenant par le GROUPE SOS Récemment lancé par le GROUPE SOS, UP Campus est le 1er réseau social des acteurs du changement. Porté par la communauté UP, il regroupe plus de 7 500 membres et 260 projets implantés dans la France entière. Plus de 60 événements UP ont déjà été proposés sur la plateforme. UP Campus est un réseau ouvert à tous : citoyen, collectivité, entreprise, association, entrepreneur, étudiant, retraité, en recherche d’emploi… UP Campus propose à ses membres les fonctionnalités « classiques » d’un réseau social : création d’un profil, messagerie, fil d’actus… Sa particularité ? Les réunir autour d’une même volonté : changer le monde à leur échelle. Véritable incubateur en ligne grâce à son espace « projets », UP Campus permet à ses membres de présenter leurs initiatives à la communauté pour avoir des conseils, un soutien ou une participation. UP Campus facilite les rencontres entre les membres qui se complètent le mieux. En un clic, tous les membres peuvent s’inscrire aux événements, regarder qui y participe et prendre rendez-vous avec les personnes de leur choix. Porté par la communauté UP, le réseau social s’intègre dans un écosystème complet. – UP Conferences – UP Café – UP Pro – UP le mag … Une déclinaison de formats qui présentent des initiatives pertinentes pour répondre aux défis sociaux, environnementaux et économiques de notre société. – Pour en savoir plus – Morgane Dereeper – morgane.dereeper@groupe-sos.orgECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE-ESS
Altamire
Altamire sensibilise les étudiants à la RSE dans l’ESS Altamire, cabinet d’accompagnement des démarches de développement durable et RSE, et Social Planet, spécialiste des réseaux sociaux dans l’ESS, mettent en commun leurs compétences pour faire découvrir aux étudiants de l’ESSCA l’entreprenariat social et l’innovation sociale et les initier à la notion de responsabilité sociétale des entreprises. S’adressant à de futurs entrepreneurs sociaux ou managers dans l’ESS, ce module de sensibilisation permet de mettre en situation des cas concrets de politiques de Responsabilité sociétale d’entreprises dans l’ESS, de tester des business modèles de nouvelle génération, de pratiquer des méthodes d’innovation participative et de communiquer sur les réseaux sociaux pour mieux promouvoir l’entreprenariat social. L’entreprenariat social qui conjugue la passion d’entreprendre au service du bien être collectif, a le vent en poupe et recrute (10% des emplois en France) de jeunes talents soucieux de contribuer à une planète plus humaine. Les étudiants intéressés par ce secteur peuvent poursuite le Master2 « Métiers du développement territorial et de l’économie sociale et solidaire » à l’ESSCA. – Pour en savoir plus – Florence Brunet – fbrunet@altamire.comConseil général de l’Essonne
L’Essonne récompense ses lauréats du Prix de l’Innovation sociale Le Prix de l’Innovation sociale, mis en place par le Conseil général de l’Essonne et ses partenaires du Comité partenarial Economie sociale et solidaire-ESS, récompense les structures les plus novatrices dans le domaine de l’ESS. Pour sa dernière édition et après six mois d’accompagnement, les candidats ayant pour volonté commune de créer un projet socialement innovant en Essonne ont été récompensés le 26 novembre 2014. La première place est revenue à trois lauréats ex aequo, qui luttent chacun à leur manière contre l’exclusion liée au handicap ou à la difficulté d’accès aux soins médicaux. Tout d’abord, le projet « Médecine du travail spécifique aux structures d’insertion par l’activité économique » propose une mutualisation des moyens des structures de l’insertion pour ouvrir un service de médecine du travail adapté aux salariés en insertion et lever les freins à l’employabilité liés à la santé. Le deuxième lauréat, le projet « Wandercraft », imagine la création d’un exosquelette pour permettre aux personnes en situation de handicap de retrouver la fonctionnalité de la marche. Et pour finir, le projet « Le Cartable Fantastique », a trouvé des solutions adaptées aux enfants en situation de handicap (dyspraxie, dyslexie, trouble de l’attention), leur permettant de travailler de manière autonome en classe. Ces trois projets ont reçu chacun un montant de 8000€. – Pour en savoir plus – Alice Crola – acrola@cg91.frl’URIOPSS Pays de la Loire
Création d’un Observatoire régional de la petite enfance par l’URIOPSS Pays de la Loire Dans le cadre de leur projet stratégique 2014-2019, l’URIOPSS Pays de la Loire réaffirme sa mission de fédérer les acteurs de la solidarité en Pays de la Loire. Afin de rendre visibles les acteurs de l’ESS de ce champ, l’URIOPSS Pays de la Loire s’associe à la CRESS, tous deux réseaux de l’ESS, pour créer un projet original et nouveau, un « Observatoire régional de la Petite enfance ». L’Observatoire a pour vocation de valoriser les spécificités de l’accueil des jeunes enfants, par les acteurs de l’ESS, sur un/des territoire(s) défini(s). Il correspond à la mission d’observation des besoins sociaux par les acteurs de l’ESS, venant enrichir et compléter les autres sources d’observation (exemple : Schéma services aux familles 44). Ce projet a pour objectifs : d’offrir une veille de types de structures d’accueil de la petite enfance et de soutien à la parentalité par un regard croisé et partagé ; de proposer une analyse quantitative et qualitative ; d’ouvrir des perspectives de développement, et de faire émerger un réseau et un centre ressource, de mutualisation de projets. – Pour en savoir plus – Amandine Rouffiat – a.rouffiat@uriopss-pdl.asso.frLUTTE CONTRE LA PRECARITE ENERGETIQUE-EAU
ISOVER
ISOVER s’engage dans la lutte contre la précarité énergétique ISOVER s’engage dans la lutte contre la précarité énergétique et soutient, à ce titre, des associations investies dans l’accès à des logements décents. Ainsi, ISOVER soutient depuis 2008 l’association Habitat et Humanisme, qui oeuvre depuis 25 ans en faveur du logement et de l’insertion des personnes en difficulté. ISOVER s’investit également aux côtés de la Fondation Saint-Gobain Initiatives dans des projets de rénovation énergétique dans le domaine de l’habitat à caractère social. Auprès de ces acteurs, l’entreprise privilégie deux types d’actions : un soutien financier ou don de matériaux et un apport en compétence. En effet, cet apport est essentiel pour permettre à des locataires en grande difficulté de diminuer leur facture liée à leur consommation de chauffage dans un contexte d’augmentation du coût de l’énergie. Les collaborateurs d’ISOVER apportent ainsi leurs compétences pour l’aide au diagnostic, à la prescription, élaborent des recommandations, étudient des solutions et font bénéficier les maitres d’oeuvre de leur expertise. L’action d’ISOVER auprès de cet habitat social est de favoriser l’accès pour tous à des conditions de logement confortables et financièrement viables. – Pour en savoir plus – Marie Combarieu – Marie.Combarieu@saint-gobain.comNièvre
Combattre la précarité énergétique avec le fonds « Nièvre 2021 » 23% des ménages de la Nièvre, contre une moyenne nationale de 16%, sont en situation de précarité énergétique. Une projection issue de l’étude de stratégie énergétique de la Nièvre estime qu’en 2020, 36% des ménages seront impactés. Si le problème touche plus particulièrement les Nivernais aux faibles ressources, il pourrait très rapidement concerner les classes « moyennes » : un tiers des ménages (près de 33 000) dépense plus de 2 000 €/an pour l’énergie consommée dans le logement. Or, une population en situation de précarité énergétique est exposée à : des problèmes de santé, une contraction forte de son pouvoir d’achat, la dégradation de son logement, une sensibilité accrue de ses enfants à l’échec scolaire… Le projet « Nièvre 2021 » a permis de mettre en place un système de lutte contre la précarité énergétique composé d’un fond multipartenarial, « le fonds nivernais d’aide à la maitrise de l’énergie », et d’un accompagnement personnalisé par la visite d’un thermicien en lien avec les travailleurs sociaux. Concrètement aujourd’hui, une commission examine régulièrement toutes les situations en proposant des solutions adaptées (sociales, techniques, financières). Fournis grâce au Conseil général et au Syndicat intercommunal d’énergies d’équipement et d’environnement de la Nièvre, une centaine de kits d’économie d’énergie, d’une valeur moyenne de 40 €, rapportent au moins le double de gain par an grâce aux économies réalisées. En 9 mois, 80 visites ont été réalisées avec la pose de kits, la remise de guide éco-gestes et des suivis réguliers de consommation. – Pour en savoir plus – Nathalie Pinault – nathalie.pinault@cg58.frBesançon
Un plan de lutte contre la précarité à Besançon Entre 2011 et 2013, les situations d’impayés d’énergie ont augmenté de 45% pour un montant total de 560 000 €. Face à cette situation, la Ville et le CCAS de Besançon, en lien avec le Conseil général du Doubs, Réunica, les bailleurs publics et les associations locales, ont lancé un plan de lutte contre la précarité et la vulnérabilité énergétique depuis septembre 2013. Ce dernier a pour objectif d’accompagner 100 ménages par an. Les ménages identifiés bénéficient d’un diagnostic à domicile réalisé par un technicien. Une seconde visite permet l’apport de conseils pour une modification des comportements, des pratiques d’achat, la réalisation de petits travaux… et la remise d’un kit Energie. Un suivi des ménages est effectué et des actions collectives sont menées. Ce dispositif est programmé pour une durée de 3 ans. A ce jour, 130 ménages ont bénéficié de cet accompagnement avec une économie annuelle moyenne d’environ 90 € par ménage. – Pour en savoir plus – Rokaya Toubale – rokaya.toubale@besancon.frSyndicat des eaux d’Ile-de-France – SEDIF
Le SEDIF aide ses familles à régler leurs facteurs d’eau Le Syndicat des eaux d’Ile-de-France-SEDIF a initié en 2011 le dispositif d’aide « Eau solidaire ». Ce dispositif s’adresse notamment aux personnes qui, temporairement ou durablement, éprouvent des difficultés à régler leur facture, en particulier lorsque celle-ci dépasse 3% de leurs ressources financières. Le programme Eau Solidaire est la première mise en oeuvre en France du « droit à l’eau pour tous ». Une enveloppe de plus de 2 millions €/an, sous le contrôle des élus, est consacrée à ce programme (soit 1 % des recettes des ventes d’eau) dédié à la prise en compte des clients en difficulté. Eau Solidaire s’articule en trois volets (urgence, assistance, prévention) et propose de nouveaux outils comme l’Aide Eau Solidaire (qui remplace depuis cette année le chèque d’accompagnement personnalisé sous une forme dématérialisée) ou la contribution au Fonds de Solidarité pour le Logement. Le volet d’urgence Eau Solidaire a par ailleurs bénéficié à plus de 16 000 familles habitant le territoire du SEDIF depuis son lancement. – Pour en savoir plus – Martine Ripon – M.RIPON@sedif.comLUTTE CONTRE LA FRACTURE SOCIALE
CARENE
La plateforme Mobilité de la CARENE pour les publics en insertion Alors que la capacité à se déplacer de manière autonome est une dimension essentielle de l’insertion professionnelle, les publics en insertion, avec des difficultés économiques, sociales, psychologiques et/ou cognitives sont souvent plus confrontés que les autres à des problèmes de mobilité. Pour lever ces freins à l’emploi, la CARENE (Communauté d’agglomération de la région nazairienne et de l’estuaire) a mis en place une offre de service multidimensionnelle, complémentaire aux services de droit commun adosser à la dynamique territoriale de déplacement, portée notamment par le projet HélYce. La plateforme mobilité, pilotée par la CARENE en partenariat avec le Conseil général Loire-Atlantique, le PLIE, Pôle Emploi et la Mission locale et la STRAN, a pour objectif de coordonner l’offre de service mobilité/insertion ainsi que les parcours mobilité des personnes accompagnées dans le cadre d’un parcours d’insertion professionnelle. Pour y parvenir, elle propose des réponses adaptées aux capacités de chacun en réalisant un diagnostic mobilité individualisé en amont de l’engagement d’actions spécifiques. Chaque année, la CARENE et le Conseil général consacrent 52 000 € à l’établissement de ces diagnostics. – Sandrine Laisné – laisnes@agglo-carene.frVVF villages
VVF villages, un ADN social & solidaire Association du tourisme social & solidaire, VVF villages est engagé depuis son origine dans l’accès aux vacances pour tous, par le biais de plusieurs dispositifs et partenariats. Tout d’abord, depuis toujours, l’association consacre une part de son chiffre d’affaire annuel à l’aide au départ en appliquant le quotient familial (réductions de 10 à 20% sur le tarif des séjours). Environ 14% de la clientèle familles en bénéficient chaque année. Notons également que VVF villages, grâce à l’agrément de ses sites, accepte les bons vacances de la CAF et représente le 1er partenaire associatif de VACAF, ainsi près de 6 000 familles/an partent en vacances grâce à ces dispositifs. Autre partenariat engagé, celui avec l’ANCV. VVF villages soutient ainsi 2 opérations importantes : la « bourse solidarité vacances » (avec 70% de réduction) et « séniors en vacances » permettant ainsi à des centaines de personnes de rompre avec le quotidien à petit prix sur une sélection de destinations. Citons également des opérations annuelles avec Vacances et familles, Vacances solidaires, Vacances ouvertes, les Restos du Coeur, sans oublier les salariés des 1 800 comités d’entreprise pour lesquels VVF villages contribuent au départ en vacances. Les loisirs constituant un droit fondamental, VVF villages poursuit plus que jamais en cette période de crise, dans le cadre de sa démarche RSE, son engagement à réduire la fracture touristique, notamment en signant très prochainement un partenariat avec la plus importante association française d’utilité publique dans l’action humanitaire, impactant ainsi des milliers de bénéficiaires supplémentaires. – Pour en savoir plus – Delphine Joannet – djoannet@vvfvillages.frOrléans
Orléans signataire de la Charte de la solidarité Engagée dans une démarche de réduction des exclusions, la ville d’Orléans a été récompensée en 2010 au Concours national des Villes pour son action en faveur de la solidarité intergénérationnelle. Le service des Aînés du Centre communal d’action sociale, par exemple, favorise la création de liens entre les jeunes et les seniors, au travers d’un programme annuel d’animations : goûters thématiques, ateliers d’écriture, rencontres chorales ou théâtrales, lectures de contes, expositions artistiques, ateliers cuisines et jeux de société, etc. Mobilisé autant auprès des personnes âgées que pour le reste de sa population, la mairie d’Orléans et les associations caritatives et humanitaires se sont engagées dans un partenariat fort et un dialogue constructif, dans un souci de cohérence et d’efficacité face à la précarité et l’exclusion. La Charte de la solidarité, signée entre les associations et Orléans en 1996, renouvelée en 2003 et élargie en 2005, regroupe 17 partenaires depuis 2009. Cette solidarité est aussi active grâce au dispositif d’épicerie sociale, aux actions à destination de la petite enfance (distribution de lait bio dans les crèches, réalisation de collectes de jouets au profit de la Croix Rouge) ou l’insertion de critères environnementaux dans les cahiers des charges pour la fourniture des changes pour enfants. C’est aussi, depuis 2011, la mise en place d’une « aide de première urgence » pour les femmes victimes de violences conjugales et qui doivent quitter le domicile conjugal. – Pour en savoir plus – Nathalie Ravrat – nravrat@ville-orleans.frEDUCATION ET FORMATION CONTRE L’EXCLUSION
La Poste
La Poste s’engage auprès de B.A.ba Solidarité pour combattre l’illettrisme L’illettrisme est un tabou qui touche 7% des Français et une réalité au sein de l’entreprise : 1 personne illettrée sur 2 occupe aujourd’hui un emploi. Le Groupe La Poste s’est engagé auprès de B.A.ba Solidarité, première association interentreprises luttant contre l’illettrisme et l’analphabétisme en milieu professionnel afin de contribuer à lutter contre l’exclusion des salariés peu qualifiés, en mobilisant au sein des entreprises un réseau de solidarité. Des salariés, en situation d’illettrisme ou d’analphabétisme, peuvent ainsi bénéficier du tutorat d’un salarié bénévole afin de les aider à valider une formation professionnelle pour acquérir la maitrise des compétences clé (écriture, lecture, calcul). Créée en 2013, B.A.ba Solidarité compte aujourd’hui sept entreprises membres, L’Oréal, Orange, TF1, Manpower, La Poste, Publicis, SNCF. A la suite d’un partenariat avec la Fédération Française de la Propreté, 90 agents de propreté, issu d’une société prestataire de l’entreprise mobilisée ont suivi le programme et 250 tuteurs bénévoles salariés de l’entreprise mobilisée se sont investis à leurs côtés. – Pour en savoir plus – Loan Chau – loan.chau@laposte.frSNCF
La SNCF propose une formation européenne pour la gestion de l’errance en gare Dans le cadre de la « Charte Gare européenne et Solidarité » signée en 2008, la SNCF s’associe aux trois entreprises ferroviaires de Bulgarie, d’Italie et du Luxembourg autour du projet « Training Railway Agents on INclusion (TRAIN) in Stations ». Il répond à une problématique grandissante pour les agents des gares européennes, celle de la gestion de la grande précarité. Pour y faire face, depuis plusieurs années déjà, SNCF déploie différents dispositifs de prise en charge, renforce sa collaboration avec les pouvoirs publics et les associations (SAMU Social, Aurore, etc.) et inclut un module spécifique dans la formation initiale de ses agents d’escale. L’objectif de TRAIN in Stations est double : parvenir à construire un programme commun de formation à la prise en charge de l’errance en gare et préparer la première promotion européenne de formateurs. La première réunion de travail a réuni les différentes délégations à Paris, en novembre 2014. Quatre nouvelles rencontres transnationales sont programmées d’ici à juin 2016. TRAIN in Stations est un projet co-financé par la Commission européenne, programme ERASMUS+. – Pour en savoir plus – Vincent Bouznad – vincent.bouznad@sncf.frUnis-Cité
Rêve & Réalité, les ruches citoyennes d’Unis-Cité L’association Unis-Cité a lancé il y a trois ans le programme Rêve & Réalité, des ruches citoyennes, qui offrent aux jeunes très motivés la possibilité de mettre en oeuvre leur propre projet solidaire. Implanté dans une dizaine de villes en France, Rêve & Réalité accueille et accompagne les jeunes de moins de 26 ans pendant 8 mois dans un espace de travail collectif : formation au montage de projet, soutien d’un coordinateur d’équipe, parrainage par un entrepreneur apportant son expertise et son réseau. La promotion de cette année compte, à l’heure actuelle, 150 jeunes porteurs de 115 projets solidaires sur toute la France. Certains projets phares de la promotion 2013-2014, comme « Rythm’en Cité » alliant jeunesse et intégration sociale à Nantes, ou « L’accorderie » en économie collaborative à Strasbourg, sont accessibles sur le site de Rêve & Réalité. – Pour en savoir plus – Marion Lélu – mlelu@uniscite.frSOLIDARITE INTERNATIONALE
Egis
Egis : donner de son temps, donner de l’espoir Egis a organisé au Cameroun une journée découverte en faveur des enfants défavorisés, pensionnaires d’un orphelinat proche du chantier routier Yaoundé-Ebolowa. L’idée est partie d’un événement malheureux qui s’est déroulé sur un chantier de nettoyage d’emprise. En réaction, les femmes de la filiale Camerounaise d’Egis ont organisé une action de solidarité qui a été suivie par l’ensemble du personnel ; elles ont ainsi fait découvrir le monde de l’entreprise et ses opportunités aux enfants de l’orphelinat afin de les inciter à bien travailler à l’école. Ils ont visité le chantier, les bureaux et ont partagé un moment de convivialité autour d’un repas. Quelques cadeaux leur ont également été remis à cette occasion. Cette action RSE (responsabilité sociale de l’entreprise) illustre l’engagement d’Egis à organiser, autour de ses projets, des actions volontaires au bénéfice des populations locales. – Voir la vidéo de cette initiative – Emmanuelle Gotkovsky – Emmanuelle.GOTKOVSKY@egis.frVeolia
Veolia signataire du Wash Pledge du World Business Council for Sustainable Development Convaincu que réaliser le droit à l’eau et l’assainissement pour tous commence dans ses organisations, Veolia s’associe au World Business Council for Sustainable Development (WBCSD) en signant le Wash Pledge. Au travers de cet accord volontaire, l’entreprise s’engage à mettre en oeuvre un accès adéquat à l’eau potable, l’assainissement et l’hygiène sur le lieu de travail de tous ses employés. Cet engagement s’accompagne de mesures de reporting qui seront développées dans l’entreprise dans le cadre de l’audit interne. Veolia rejoint ainsi une vingtaine d’entreprises internationales qui soutiennent et portent cette initiative du WBCSD. L’organisation souhaite la diffuser dans son réseau et plus largement dans la communauté économique. De nombreux outils de référence (auto-évaluation, principes, etc.) et modalités d’adhésion sont disponibles sur la page internet dédiée. – Pour en savoir plus – Jean-Hugues Hermant – jean-hugues.hermant@veolia.comConseil régional des Pays de la Loire
Création d’une filière de commerce équitable pédagogique par la région Pays de la Loire Dans le cadre de sa politique territoire de commerce équitable mise en place depuis 2009 par l’obtention du titre « Territoire de Commerce Equitable » (TDCE), le Conseil régional des Pays de la Loire a décidé de soutenir le projet innovant et pédagogique mené par deux établissements agricoles : le Lycée régional d’agriculture d’Ebolowa situé au Cameroun et le Lycée Jules Rieffel de Saint Herblain. De ce jumelage Nord/Sud est né l’idée de créer une filière cacao pédagogique, équitable et artisanale comme support de travail et de partenariat. Le projet opérationnel consiste à mettre en place un atelier de transformation du cacao en chocolat au CRA d’Ebolowa, qui servira d’atelier pédagogique. Ce chocolat sera ensuite utilisé dans la restauration collective de la région des Pays de la Loire. Il s’agit là d’un travail d’accompagnement porté par la politique liée à l’Education à l’environnement et au développement durable et à la mission « Etablissements éco-responsables » créée par la Région. Un séminaire de lancement est prévu au Cameroun du 8 au 14 Avril 2015 afin de réunir les différents acteurs et les personnes ressources du projet du territoire ligérien et Camerounais. – Pour en savoir plus – Claire Fillatre – Claire.FILLATRE@paysdelaloire.frFondation Energies pour le Monde
La Fondation Energies pour le Monde développe des programmes d’électrification Plus d’1,4 milliards d’êtres humains ne disposent pas encore d’électricité. C’est devant ce constat que la Fondation Energies pour le Monde accompagne des collectivités et organisations locales des pays en développement pour faciliter l’installation et l’exploitation de systèmes électriques utilisant les énergies locales disponibles (soleil, vent, eau). Dans ce cadre, elle réalise des programmes d’électrification à Madagascar, au Sénégal, en Guinée, au Laos permettant de répondre aux besoins collectifs, domestiques mais aussi économiques pour un développement local. Elle noue des partenariats avec des entreprises et des collectivités territoriales françaises pour financer l’électrification et tisser des liens entre des mondes de différentes cultures. A Madagascar, par exemple, la Fondation électrifie 7 localités du sud de l’île par générateur solaire associé à un réseau de distribution locale. Près de 10 000 personnes disposeront d’électricité. – Pour en savoir plus – energiespourlemonde@energies-renouvelables.org2012
« Face à la crise et au vieillissement, imaginons de nouveaux liens entre les générations » L’année européenne du vieillissement actif et de la solidarité intergénérationnelle, lancée le 17 janvier dernier à Copenhague, nous interroge sur la nécessité de préserver le lien social entre les individus, quels que soient leur âge, leurs origines et leurs cultures, pour rester en interaction avec le monde extérieur et affronter ensemble les difficultés d’aujourd’hui. Sorties de la sphère économique et du monde du travail, de nombreuses personnes âgées sont en effet victimes de solitude et d’isolement. Et ce phénomène risque largement de s’aggraver puisque le nombre de personnes âgées de 75 ans et plus pourrait quasiment tripler d’ici à 2050 ! Par ailleurs, une certaine forme de repli sur soi et un manque d’ouverture au monde sont observés dans la jeunesse française. D’après une enquête de la Fondation pour l’innovation politique reprise par Le Monde, seulement 47 % des 16-29 ans se disent ainsi satisfaits de l’époque dans laquelle ils vivent, et la plupart sont pessimistes quant à leur avenir. Ces fractures intra-générationnelles entrainent également un délitement du lien intergénérationnel. Le déséquilibre démographique entre jeunes et anciennes générations, lié en partie à un départ progressif des baby boomers du monde du travail (et à une arrivée difficile des jeunes), met en péril notre modèle social, et pas seulement celui du régime des retraites par répartition. Le croisement des sensibilités et des connaissances intrinsèques à chacune des générations se décompose progressivement au profit du communautarisme des âges. Des conflits pourraient même voir le jour, notamment sur le partage des dettes économiques et écologiques. Ainsi, 39 % des jeunes déclarent ne pas être d’accord pour payer la retraite de leurs aînés[[Selon la même enquête de la Fondation pour l’innovation politique]]. Pour faire face à la situation, l’Etat est loin d’être le seul acteur : une dynamique de terrain s’est enclenchée. Les collectivités, les associations et de plus en plus d’entreprises sont en train d’imaginer des solutions concrètes pour permettre aux différentes générations de vivre en harmonie dans un contexte de crise et de précarité. L’ Observatoire du management intergénérationnel, dit OMIG (voir encadré plus bas), s’emploie par exemple à accompagner les entreprises dans une gestion idéale de la diversité générationnelle, tandis que de nombreuses collectivités et associations proposent des initiatives adaptées aux nouvelles donnes sociales comme l’entre’aide des étudiants et des personnes âgées. Le principe de solidarité intergénérationnelle a ceci d’essentiel qu’il vise à partager équitablement entre toutes les générations les dommages comme les bénéfices de l’histoire sociale, répartissant ainsi au mieux les richesses de son temps. La responsabilité de chacun est de raisonner à l’échelle de la société et d’accroître le bonheur présent, sans compromettre celui des générations à venir. Tous liés par des responsabilités et obligations mutuelles, il faut assumer les charges et les héritages de nos prédécesseurs tout en veillant aux décisions qui engagent le sort de nos descendants. Intégrer efficacement les jeunes dans la société, garantir le bien-être des seniors en fin de carrière, veiller sur la santé de chacun, partager les richesses et les expériences dans un contexte de crise et de vieillissement de la population : voilà les défis qu’il nous faut aujourd’hui relever. L’équipe du Comité 21Nord Pas-de-Calais
Le Nord fait rimer réinsertion sociale avec solidarité intergénérationnelleCourbevoie
« Bien vieillir et vivre ensemble » à CourbevoieESCEM
ESCEM repense la ville dans le contexte du vieillissement de la populationCASDEN
Alter Ego, une offre de crédits pour les ascendants ou descendants des Sociétaires CASDENSFR
La Fondation SFR promeut les nouvelles technologies auprès des personnes âgéesDes Enjeux et des Hommes
Conseil, formation, accompagnement pour mobiliser des seniors au profit de l’intérêt général
Angers
Savoir adapter l’environnement social et physique aux besoins de tous les âges à AngersBordeaux
Bordeaux mène des ateliers de fabrique SeniorsCouëron
Le Conseil des Sages de Couëron à l’initiative du site intergénérationnel BessonneauPays de la Loire
Un projet de cohabitation intergénérationnelle en Pays de la LoireNièvre
Des familles niévroises accueillent des personnes âgées ou handicapéesRegain d’Anjou
Un projet ambitieux d’habitat participatif et intergénérationnel à AngersFinistère
Le kaléidoscope 2012 est lancé dans le FinistèreInstitut municipal d’Angers
Etudiants, retraités, salariés et chômeurs se retrouvent à l’Institut municipal d’AngersChangé
Le patrimoine communal créateur de liens entre les générations à ChangéEuromed Management
La Maison de l’intergénération verra le jour en 2013 à MarseilleSciences Com’
Quelles relations entre les générations au travail ?Caisse des Dépôts
« E-Seniors », un portail de services à destination des seniorsInstitut TELECOM
L’Institut TELECOM investie les TIC aux domiciles des personnes dépendantesTelecom Bretagne
Le Projet Amalys : des services multimédia pour maintenir le lien social des seniorsVosges
« Par 4 chemins », un festival de colport’âge en terres vosgiennes !Besançon
Besançon fait marcher toutes les générationsMayenne
La ville de Mayenne facilite les liens intergénérationnels autour du jeu des énigmesOrléans
A Orléans, le potager réunit petits et grands pour instaurer des réflexes de solidaritéSaint-Avé
2012 : année de l’intergénération à Saint-AvéOdcvl
Odcvl, comptoir de projets éducatifs : pour des séjours de vacances intergénérationnels