Dans l'actualité :

Tenir le cap de la décarbonation pour protéger la population

Décarboner nos activités humaines, Protéger la population, qu’en dit...

Des outils pour aider les gestionnaires de l’eau à s’adapter au changement climatique

Le changement climatique s’accélère et affecte directement les ressources...
Les livres de la rentrée

Les défis du capitalisme coopératif

Ce que les paysans nous apprennent de l'économie

Discret, puissant et méconnu, tel est le monde coopératif agricole français qui rassemble les 3/4 des agriculteurs, emploie 150 000 salariés et arrive au 2ème rang mondial avec des marques aussi connues que Candia, Béghin Say, Douce France, Prince de Bretagne, Savéol, Loïc Raison, Nicolas Feuillatte… Comment comprendre ce succès ? Quelles leçons en tirer pour le monde actuel ? Telles sont les questions auxquelles répondent Georges Lewi et Pascal Perri par cette enquête historique et économique, qui montre que le modèle coopératif offre une véritable alternative au capitalisme d’aujourd’hui.

« Quand un modèle économique couvre 40% d’une activité aussi essentielle que nourrir les hommes, c’est qu’il en est devenu le symbole, comme le capitalisme est devenu le paradigme de l’économie mondiale », écrit Philippe Mangin, Président de Coop de France, qui signe la préface de ce livre. – Les auteurs : Georges Lewi, spécialiste des marques, directeur du BEC, Centre d’Expertise de la marque, enseignant au CELSA et à HEC, et auteur de nombreux livres, conseille Coop de France sur sa communication. Pascal Perri est économiste, professeur d’économie à l’école de commerce Advancia-Negocia, spécialiste des questions de concurrence, et dirige PNC, un cabinet conseil en stratégie. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’économie des prix.
A paraitre - Bientôt sur Cdurable.info
A paraitre – Bientôt sur Cdurable.info
Références : Les défis du capitalisme coopératif de Georges Lewi et Pascal Perri – Editeur : Pearson – Date de parution : septembre 2009 – 224 pages – ISBN-13 : 978-2-7440-6398-5 – Prix public : 19 €

 

A lire

Communication responsable : transparente et efficace en faveur d’une économie circulaire plus durable

Face à l’urgence environnementale, au renforcement des obligations réglementaires...

Questions Cdurable à Nathalie Kerhoas, nouvelle présidente de Bleu-Blanc-Coeur

Lors de son assemblée générale du 30 mai dernier,...

Élections législatives : notre futur se joue maintenant !

"Nous sommes à la veille d’un moment historique" rappelle...

Newsletter

spot_img

Sur Cdurable

Lidl travaille avec le WWF pour offrir des choix de produits plus durables

Lidl, un distributeur majeur en Europe, et le WWF,...

Canal-U : La plateforme audiovisuelle au service de la science ouverte

La Fondation Maison des sciences de l’homme nous rappelle, à...

La consommation écoresponsable et les jeunes : faites ce qu’on dit, pas ce qu’on fait ?

Découvrez dans cet avis-d’expert, les 3 raisons pour lesquelles...
David Naulin
David Naulinhttp://cdurable.info
Journaliste de solutions écologiques et sociales en Occitanie.

Tenir le cap de la décarbonation pour protéger la population

Décarboner nos activités humaines, Protéger la population, qu’en dit le Haut Conseil pour le climat (HCC) ? Consolider, protéger, améliorer, tels sont les mots...

Des outils pour aider les gestionnaires de l’eau à s’adapter au changement climatique

Le changement climatique s’accélère et affecte directement les ressources en eau dans les territoires avec des états de sécheresse de plus en plus intenses...

Cyclo-logistique, vélotaff et cyclotourisme, un atout santé pour l’humain et le vivant comme pour l’entreprise

Dans le plan France 2030, il est prévu 55 millions d’euros pour relancer la fabrication et l’assemblage de vélos dans l’Hexagone. Un Français sur...

1 COMMENTAIRE

  1. Les défis du capitalisme coopératif
    Méfiance car les coop agricoles sont très critiquées par …les agriculteurs. Aujourd’hui, ces derniers ont perdu le contrôle des coop qui ont dévié de leur mission première. Passage obligé pour les agriculteurs car seule structure à prendre leurs produits, c’est la coop qui fixe le prix, les conditions etc. C’est la coop également qui vend les engrais et pesticides…
    Et j’ai très peur que le réseau biocoop suive le même chemin. Dès que ça devient trop gros, les personnes à l’origine se font dégager au fur et à mesure, le mouvement perd ses textes fondateurs… Un exemple? L’ouverture du réseau aux SARL ce qui fait qu’aujourd’hui, beaucoup de biocoop ne sont que des machines à fric. L’environnement? On s’en fout, c’est la mode, on en profite. Certaines coop (les vrais) quittent le réseau biocoop pour retrouver leur indépendance.