Le Geres dévoile la campagne 2025 du Jour de la Terre “Ouvrons les yeux avant qu’il ne soit trop tard” qui met l’accent sur l’urgence de réaliser l’effondrement de la biodiversité dans le monde et lance un jeu inédit «cherche et trouve !». Alors, le 22 avril prochain est ce qu’on n’ouvrirait pas les yeux tous·tes ensemble ?

L’édition 2025 du Jour de la Terre, incite le plus grand nombre à “ouvrir les yeux avant qu’il ne soit trop tard” sur l’état de la biodiversité.

En rebondissant sur la double signification de l’expression “ouvrir les yeux”, le Jour de la Terre rappelle qu’il est grand temps de regarder autour de soi pour comprendre l’omniprésence de la biodiversité, de son déclin alarmant et de la nécessité d’agir sans attendre pour la préserver et la protéger.

LE 22 AVRIL, PRENONS ACTE DE L’EFFONDREMENT DE LA BIODIVERSITÉ.LE 22 AVRIL, PRENONS ACTE DE L’EFFONDREMENT DE LA BIODIVERSITÉ.
La biodiversité est dans un état critique. Tous les scientifiques le disent et les chiffres ne trompent pas. Et si les changements climatiques prennent (heureusement) de plus en plus de place dans le débat, elle est souvent la grande oubliée de la crise dans laquelle nous nous trouvons. Pourtant, il suffit d’observer autour de nous pour nous rendre compte qu’elle disparaît, alors qu’elle est cruciale pour notre survie à toutes et tous. Alors, cette année, soyons attentif·ves, prenons conscience du déclin des espèces, réalisons l’importance cruciale de la biodiversité dans notre quotidien : ouvrons les yeux avant qu’il ne soit trop tard !
Depuis 1970, les populations de vertébrés sauvages ont ainsi décliné de 73%. En France, nous sommes le 6ème pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées, et cette disparition menace directement nos emplois, notre alimentation et notre qualité de vie.
Le slogan, à double sens, nous incite à la fois à observer la biodiversité, à s’y montrer attentif·ves, et à prendre conscience de son état et de l’importance qu’elle a dans le quotidien de chacun et chacune d’entre nous.

LE 22 AVRIL, PRENONS CONSCIENCE DE NOTRE ENVIRONNEMENT.
Elle est partout ! Dans nos rues, nos parcs, nos jardins, sur nos plages… La biodiversité est omniprésente et, partout, elle est garante de la Vie. Pourtant, dans nos quotidiens, souvent effrénés, nous avons tendance à l’oublier et à oublier son rôle capital. Alors, le Jour de la Terre, et tous les jours, partout autour de nous, cherchons la, trouvons la, prenons conscience de notre environnement, de toutes les espèces animales et végétales qui le composent et, enfin, décidons de la protéger ! Nous avons conçu, pour l’occasion, un “cherche et trouve”. Ce jeu en ligne vous invite à retrouver 6 espèces menacées en un temps limité qui illustre la vitesse à laquelle les espèces déclinent. Pour jouer, rendez-vous sur le site du Jour de la Terre dès le 7 avril !
Si collectivement, nous remettons la biodiversité au centre du débat, nous parviendrons à faire bouger les lignes et influencer les politiques publiques.
N’ayons pas peur de parler en son nom, et de, chaque jour, rappeler son existence et son importance. Ensemble, prenons le chemin d’une société favorable à la biodiversité.
Le 22 avril collectivement, joyeusement et durablement, observons la biodiversité,
mettons des actions en place pour la protéger et ouvrons les yeux !
Faisons ensemble de cette journée une occasion de montrer que nous ne perdons pas la biodiversité de vue.

LE 22 AVRIL, PRENONS LA DÉCISION DE LA PRÉSERVER AU QUOTIDIEN.LE 22 AVRIL, PRENONS LA DÉCISION DE LA PRÉSERVER AU QUOTIDIEN.
Dès le 22 avril, on se documente, on se renseigne, on la comprend mieux, on apprend comment la préserver à notre échelle et, surtout, on y pense dorénavant au quotidien ! Réduire nos déchets, créer des espaces favorables à la faune et la flore, éviter les pesticides chimiques ou encore juste planter des fleurs… Des multitudes de petites actions existent et chacune d’entre elles compte ! Chaque jour, incitons nos ami·es, notre famille, nos collègues à faire de même et, surtout, le 22 avril et, toute l’année, interpellons nos collectivités, nos décideur·euses, nos élu·es et rappelons leur quec’est maintenant qu’il faut agir, avant qu’il ne soit trop tard !
