Objectif : Réduire le coût de traitement des eaux usées
Nous avons développé un procédé écologique innovant, sans équivalence à ce jour sur le marché, permettant une dé-pollution des sols, de l’air et l’économie d’eau potable.
– Le 25 octobre 2008, un laboratoire agréé COFRAC (CEE) nous a délivré une certification scientifique pour l’un des 14 sites déjà installés, en condition générale de fonctionnement usuel d’un habitat.
– Le 20 Janvier 2009, le Ministère de l’écologie et du développement durable a reconnu l’intérêt de ce concept précurseur. La Direction de l’Eau a même déclaré le site « Pilote ».
Ce procédé révolutionnaire est unique au monde car la totalité du traitement se fait HORS SOL et in situ. Il est également reconnu par la direction de l’environnement de la CEE comme un procédé innovant conforme aux obligations définies pour le traitement des eaux usées.
Il supprime tous risques de pollution des sous sols, nappes phréatiques, cours d’eaux et rivières, mer et océan.
Une importante économie d’eau potable est réalisée car l’eau de rejet, en fin de traitement, sert à l’arrosage du jardin. Elle est enrichissante pour les plantes et fertilisante pour la terre végétale, car l’effluent à la sortie du dispositif contient de fines particules de matière organique en suspension ainsi qu’une flore bactérienne active.
Le principe actif du procédé réduit au maximum les résidus boueux en fin de traitement, supprime les vidanges curages, les mauvaises odeurs et réduit, de fait, le coût de traitement des eaux usées ainsi que celui des déchets ménagers.
Ce procédé réduit enfin la pollution atmosphérique de 1% environ liée au méthane provenant de l’émanation de l’assainissement conventionnel.
La France aujourd’hui est pourtant dans l’incapacité d’homologuer ce système. Les Bureaux d’études agréés n’ont pas d’installations adaptées à ce process et, surtout, ne peuvent pas le mettre en fonction biologique.
Une découverte scientifique a démontré que « l’anaérobie n’existe pas sur terre, qu’elle ne peut pas exister sur notre planète ». Ce procédé fonctionne suivant le principe de biodégradation en état « d’Aérobie ».
Jean Marius D’Alexandris est le gérant de Lyseconcept