Le 7ème congrès mondial GCHERA réunira 200 recteurs et doyens d’universités en agriculture, représentant des dizaines de milliers d’étudiants de 60 pays différents, du 27 au 29 juin, sur le campus de LaSalle Beauvais, sur le thème : « Les universités en agriculture : acteurs-clés du développement durable local ». Placé sous le haut-patronage de la FAO, ce congrès, qui se déroulera au lendemain du G20 agricole, permettra d’aller plus loin dans les réponses apportées par les ministres de l’agriculture, les universités en agriculture, au travers de leurs 15 associations implantées sur les 5 continents, ayant d’évidence un rôle à jouer. Il sera donc l’opportunité de rencontrer sur un même lieu des experts agricoles de tous les continents et de pays où l’agriculture occupe une place importante (Australie, Brésil, Chine, Etats-Unis, Inde, Kenya, Ukraine, …), mais aussi d’avoir connaissance d’initiatives mises en place ça et là par des universités agricoles et allant dans le sens d’un développement durable local, ce grâce aux 4 sessions plénières et à la dizaine de sessions parallèles proposées.
A noter également : – La présence du sous-secrétaire d’Etat américain au développement rural, Dallas TONSAGER, lors de la session d’ouverture, sur le campus de LaSalle Beauvais, le lundi 27 juin, à 17h00, – La présence du président du pôle de compétitivité mondial « Industries et Agro-Ressources », Daniel THOMAS, lors de la soirée au château de Pierrefonds, le mardi 28 juin, à 20h00, – La présence de la présidente directrice générale de l’INRA et présidente d’Agreenium, Marion GUILLOU, lors de la soirée sur les bateaux-mouches à Paris, le mercredi 29 juin, à 20h00 Un an ½ après son élection à la présidence du GCHERA, consortium mondial pour l’enseignement supérieur et la recherche en agriculture, le directeur général de LaSalle Beauvais, Philippe CHOQUET, réunira 200 recteurs et doyens d’universités en agriculture de tous les continents (60 pays représentés), en congrès, du 27 au 29 juin prochain, sur le campus de l’école, à Beauvais. L’objectif est double : permettre aux universités en agriculture d’affirmer leur rôle-clé dans les grandes questions agricoles de ce 21ème siècle au coeur du G20 agricole des 22 et 23 juin, structurer le GCHERA et ses 15 associations régionales en confédération pour leur permettre de jouer ce rôle. Le Ministère de l’Agriculture français, mais aussi son homologue américain, l’USDA, le Ministère de l’Enseignement supérieur & de la Recherche seront représentés lors de ce congrès, organisé, sous le haut patronage de la FAO, en partenariat avec l’association européenne des universités en agriculture & sciences du vivant ICA et l’association américaine APLU. Elu en novembre 2009 à la tête du GCHERA1, consortium mondial des universités en agriculture qui réunit quelque 580 membres d’une centaine de pays différents, Philippe CHOQUET, directeur général de LaSalle Beauvais, s’est fixé un objectif précis pour son mandat : engager les 15 associations régionales d’universités en agriculture (Afrique, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie, Europe, Océanie, Russie) dans une réflexion globale sur la nécessité de s’organiser en confédération pour jouer un rôle de premier plan dans les réponses à apporter aux enjeux agricoles mondiaux. Après une réunion, qui s’est déroulée sous l’égide de la FAO, à Rome, en janvier dernier, c’est lors du congrès du GCHERA, qui se déroulera fin juin, que l’organisation du GCHERA en confédération d’associations régionales devrait être adoptée. La nécessité d’une telle organisation se confirme par l’importance de l’enseignement supérieur et la recherche en agriculture dans les réponses à apporter aux enjeux du 21ème siècle que sont : – la sécurité alimentaire et l’augmentation de la population mondiale dans un marché de plus en plus globalisé, – le changement climatique et ses conséquences sur la production agricole, – les défis environnementaux, l’alternative de la biomasse et la question de sa compétition avec la production alimentaire, – … Autant de thèmes centraux du G20 agricole des 22 et 23 juin à Paris. La structuration du GCHERA doit lui permettre de faire valoir les intérêts et l’expertise de tous les acteurs régionaux de l’enseignement supérieur en agriculture sur ces différentes questions, pour leur offrir une plus grande visibilité vis-à-vis des organisations internationales. Un enjeu de taille qui sera au coeur du 7ème congrès GCHERA sur le thème « Les universités en agriculture : acteurs-clés du développement durable local », les 27, 28 et 29 juin prochains, sur le campus de LaSalle Beauvais. Ce congrès devrait voir la participation de 200 recteurs et doyens d’universités, mais aussi de représentants d’instances françaises, européennes et internationales de premier plan dans le domaine de l’agriculture. Le Ministère français de l’Agriculture, le Conseil régional de Picardie, la Communauté d’Agglomération du Beauvaisis, Agreenium, Agrinatura, Groupama et Le Monde soutiennent l’organisation de ce congrès qui se tient pour la première fois en France.Le congrès GCHERA en chiffres
– 200 participants[[Pour ne citer que 2 des 120 institutions présentes, la Bogor Agricultural University en Indonésie compte 25 000 étudiants et la Warsaw University of Life Sciences en Pologne autant.]] attendus – 15 associations et 60 pays représentés – 4 sessions plénières :- L’éducation au service du développement durable local
–* Recherche et stratégies d’innovation
–* Stratégies de partenariat avec les décideurs locaux
–* Positionnement stratégique des universités en agriculture et sciences du vivant
Programme
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7ème congrès du GCHERA : l’enseignement supérieur agricole mondial se structure en confédération pour faire face aux défis alimentaires et environnementaux
250 participants, 120 institutions et 60 pays représentés, 2 jours de conférences sur
le rôle des universités en agriculture comme promoteurs d’un développement durable
local, mais aussi et surtout une structuration en confédération des 15 associations
d’universités en agriculture : tel est le bilan du 7ème congrès du GCHERA, consortium
mondial des universités en agriculture et sciences du vivant, qui s’est déroulé du 27
au 30 juin sur le campus de LaSalle Beauvais, sous le haut patronage de la FAO (Food
and Agriculture Organization of the United Nations).
Inauguré le 27 juin et largement appuyé par la FAO, le 7ème congrès du GCHERA, consortium mondial
des universités en agriculture et sciences du vivant, s’est achevé le jeudi 30 juin sur le campus de
LaSalle Beauvais. Après deux journées de conférences et d’échanges sur le thème « Universités en
agriculture : entrepreneurs pour un développement durable en zone rurale », les 250 participants,
représentant 120 institutions et 60 pays différents, sont repartis, riches de nouveaux contacts et
projets pour leurs universités respectives.
Au-delà de la question de fond traitée lors des conférences, l’assemblée générale du GCHERA qui a
clôturé le congrès ce 30 juin a été l’occasion d’entériner le projet de création d’une confédération
mondiale des universités en agriculture.
Créé en 1998, le GCHERA était jusqu’à ce jour une association de 400 universités en agriculture et
sciences du vivant ; il devient dès à présent une confédération des 15 associations régionales
d’universités en agriculture, fédérant elles-mêmes 800 universités à l’échelle de leur pays ou continent
(AAACU, ACDA, ALEAS, ANAFE, APLU, CAC, CFAVM, CIDEFA, CIS, CRUCH, EPC of CAASS,
IAUA, ICA, National Consortium of Presidents/Deans of Higher Education for Agriculture, RUFORUM).
Un changement de statut qui permettra dans les tous prochains mois au GCHERA de devenir
l’interlocuteur « Enseignement supérieur en agriculture », auprès d’organisations mondiales et
notamment auprès de la FAO, ce tant pour jouer un rôle d’expert sur les questions d’éducation que
pour se faire le relais des orientations définies dans ces instances internationales. Une décision qui
tombe à point nommé, le G20 agricole des 22 et 23 juin derniers à Paris ayant fait de l’éducation un
des principaux enjeux pour l’agriculture mondiale.
Philippe CHOQUET, directeur général de LaSalle Beauvais, a été élu « chairman of the board » aux
côtés de Vladimir BAUTIN, recteur de l’Université agronomique d’Etat de Moscou, élu « president » et
qui, à ce titre, sera l’organisateur du prochain congrès.
Philippe CHOQUET sera, entre autres, en charge des relations avec les associations régionales
d’universités et des relations avec toutes les organisations mondiales directement intéressées par
l’agriculture (FAO, Banque Mondiale, …).
Outre le congrès biennal sont envisagées d’autres rencontres pour permettre aux universités en
agriculture d’échanger et de travailler sur différentes thématiques (sécurité alimentaire, agriculture
raisonnée, alimentation et santé, …).