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Léa Nature

30 bonnes raisons de développer la bio depuis 30 ans

et de croire que la bio est une VRAIE SOLUTION D’AVENIR

Léa Nature fête ses 30 ans en 2023 ! 30 ans d’alliance fertile entre l’écologie & l’économie. A l’origine de Léa Nature, un formidable pari : faire connaître et développer l’usage de la phytothérapie, redécouvrir les vertus des plantes et des ingrédients naturels grâce à une large gamme de produits bénéfiques pour la santé et l’environnement. Pour affirmer ses principes fondateurs, Charles Kloboukoff, le Président-Fondateur a fait le choix de rallier et fédérer des dirigeants pionniers de la bio, partageant les mêmes valeurs pour un monde plus vert et… vertueux. Il crée au fur et à mesure de son développement et par croissances externes un village de PME bio familiales, un modèle économique unique. Partie d’une personne en 1993, Compagnie Léa Nature, la holding familiale, rassemble aujourd’hui 2000 salariés, répartis sur 22 sites.

capture_d_e_cran_2023-05-22_a_16.37_08.png A l’occasion des 30 ans de Léa Nature, et lors du Printemps Bio 2023, Charles Kloboukoff tient à rappeler les « 30 bonnes raisons de développer la bio depuis 30 ans et de croire que c’est une VRAIE SOLUTION D’AVENIR ». schema-bio-compagnie-lea-nature.jpg

Extraits.

Bon pour la santé

  • 1. Les aliments bio présentent une meilleure qualité nutritionnelle et parfois gustative en raison de leur teneur plus élevée en nutriments, antioxydants, acides gras essentiels. Indemnes de produits chimiques, les légumes et fruits bio peuvent être consommés AVEC la peau, qui contient fibres, vitamines et minéraux.
  • 4. 88% des produits bio ne contiennent aucun résidu de pesticides.

Bon pour la société

  • 5. L’économie de la bio est principalement constituée de PME engagées ayant une politique sociale, d’intéressement des salariés aux bénéfices, une volonté de développer le commerce équitable, plus importantes que la moyenne.
  • 6. La bio réduit la dépendance aux énergies fossiles en encourageant des méthodes agricoles plus durables.

Bon pour l’emploi

  • 12. L’agriculture biologique produit plus d’emplois à l’hectare car moins industrialisée et mécanisée.
  • 13. L’économie de la bio est majoritairement constituée de PME et ETI françaises qui transforment principalement en local les produits agricoles et qui développent des emplois en France, en payant leurs impôts en France.
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Bon pour l’eau

  • 15. Les pratiques biologiques favorisent la conservation de l’eau ce qui contribue à prévenir la désertification : les terres cultivées en AB sont capables de mieux absorber les eaux de pluie et d’alimenter les nappes phréatiques en une eau dénuée de polluants issus des pesticides et engrais de synthèse.

Bon pour les sols

  • 18. L’agriculture biologique protège les sols de la pollution et acidification par l’apport de composts et fumiers, sans avoir recours à des produits chimiques.
  • 19. Les pratiques biologiques favorisent un sol où la matière organique est active et propice à la culture. Insectes, abeilles, coccinelles, vers de terre, oiseaux ou micro-organismes contribuent à entretenir un sol vivant.

Bon pour le climat

  • 27. L’agriculture biologique permet de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique en limitant les rejets polluants et en stockant davantage de CO2 dans le sol.
  • 30. La séquestration du carbone est favorisée grâce à des rotations de cultures longues et limitant le nombre de labours ; par l’élevage en plein air sur des prairies permanentes qui fixent le carbone dans le sol et compensent les émissions de méthane des animaux.
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Le bio est d’intérêt général

A l’heure où chacun se pose la question du « comment agir » face aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés – des crises climatiques et de la biodiversité à la désertification rurale, le bio reste d’intérêt général. C’est la seule consommation individuelle qui profite au collectif : acheter un produit labellisé Agriculture Biologique assure aux consommateurs un meilleur retour sur investissement, comme le souligne le rapport de la Cour des Comptes de juin 2022 : effets positifs sur la qualité de l’air, de l’eau, la fertilité des sols et le respect de la biodiversité. Pour notre souveraineté alimentaire, faisons de l’agriculture biologique le moteur de notre transition alimentaire et écologique, pour une agriculture familiale et vivante. 30 bonnes raisons d’y croire dans le dossier de presse

 

Documents joints

3 décennies d’engagements : une brève histoire de Léa

« Il s’agit d’une politique de long terme. Nous sommes sur des retours d’investissements beaucoup plus longs. Pour pouvoir réaliser nos choix et limiter l’impact de nos activités sur le climat : relocaliser, développer le sourcing bio et local, le commerce équitable, l’origine France, contribuer à la structuration des filières, avoir nos unités de production au plus près des champs, éco-concevoir nos bâtiments, réduire fortement l’usage du plastique et le suremballage, ou encore soutenir des ONG environnementales. Cela suppose des arbitrages, une politique volontarise et un réinvestissement massif des résultats. Nous sommes dans une économie plus responsable. » souligne Charles Kloboukoff.

La philanthropie environnementale

Léa Nature milite pour préserver la biodiversité et les richesses de la nature, tant dans ses engagements économiques qu’environnementaux. En 2007, 2 de ses marques deviennent membres 1% for the Planet. En 2023, elles sont 18 à reverser 1% de leur chiffre d’affaires pour la planète, soit 18,8 M€ reversés depuis 2007 à fin 2022, et en moyenne 2,5 M€ par an !

De la RSE à la mission… à la transmission

Léa Nature fait auditer sa démarche RSE par Ecocert selon la norme ISO26000 depuis 2013, l’année de ses 20 ans, et obtient le niveau excellence chaque année.

Elle continue d’innover en adoptant dès 2019, le statut d’entreprise à mission. Un acte précurseur en inscrivant sa mission environnementale dans ses statuts.

En 2021, avec la création du fonds de dotation actionnaire FICUS Fondaction, Charles Kloboukoff, en tant qu’actionnaire majoritaire, a décidé de transmettre progressivement ses actions à FICUS dont les dividendes vont servir à des causes d’intérêt général. Au-delà de la philanthropie environnementale, il développe la philanthropie sociale et solidaire. Alors que ce type de structures est peu répandu en France, F.I.C.U.S, acronyme créé par Emma Kloboukoff, pour « Fonds de soutien aux Initiatives Citoyennes, Utopiques et Solidaires », dont elle est déléguée générale, a vocation à préserver les valeurs historiques de Compagnie Léa Nature, garantir l’indépendance capitalistique et rendre impossible sa délocalisation.

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Cyrille Souche
Cyrille Souchehttps://cdurable.info
Directeur de la Publication Cdurable.info qui a eu 20 ans en 2025 ... L'occasion de supprimer la publicité et d'un nouveau départ vers un webmedia participatif d'intérêt général, avec pour raison d'être de recenser et partager les solutions utiles et durables pour agir et coopérer avec le vivant. Je suis ouvert à toute proposition de coopération mutuellement bénéfique au service de la régénération du vivant.

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