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Intégrer l’éco-responsabilité comme valeur-phare du "Made in France" sur le marché international de la cosmétique

Cosmetic Valley se dote d’une charte Eco-Responsable

Premier centre mondial de ressources en parfumerie-cosmétique, la Cosmetic Valley se mobilise en faveur du développement durable et lance sa charte « Pour une Cosmetic Valley Eco-responsable ». Pour la première fois, les membres d’un pôle de compétitivité – 470 grandes entreprises et PME, 188 laboratoires de recherche et 136 organismes de formation – s’engagent dans une démarche collective d’amélioration continue des résultats environnementaux et sociétaux, avec le soutien des collectivités territoriales. Tous les métiers de la filière parfumerie-cosmétique sont concernés par la démarche : ingrédients et matières premières, recherche & développement, formulation, production, packaging, logistique…

Une Charte et des engagements à court, moyen et long termes

L’éco-responsabilité, valeur commune du pôle Assurer la qualité et la sécurité des produits et des services dans le respect des hommes et de la planète … La prise en compte des impacts environnementaux sur l’ensemble des activités du pôle s’inscrit comme une des valeurs essentielles de la Cosmetic Valley qui a fait du développement durable l’un de ses grands Domaine d’Action Stratégique. Acteur fédérateur du territoire, la Cosmetic Valley a lancé en 2007 une vaste réflexion au sein d’un groupe de travail dédié. Elle se concrétise aujourd’hui par le lancement de la charte « Pour une Cosmetic Valley éco-responsable » que chacun des membres du pôle va pouvoir signer et adopter. Alban Muller, Président de la Cosmetic Valley précise : « Ce travail est un approfondissement de ce qui est déjà mis en place par de nombreuses entreprises qui ont obtenu des certifications ISO 14000, ISO 26000). Elle devrait mener à l’émergence d’une nouvelle économie basée sur l’excellence et la responsabilité. » Avec le label « Made in France », la Cosmetic Valley travaille à renforcer la visibilité internationale des PME du pôle de compétitivité pour leur permettre de mieux se positionner sur les marchés d’exportation. La charte « Pour une Cosmetic Valley éco-responsable » répond à cet objectif en mettant en exergue la plus- value de l’offre française et l’image d’une France innovante et dynamique tournée vers le futur. Pour Jean-Luc Ansel, Directeur général de la Cosmetic Valley, « l’éco-responsabilité est une valeur montante qui permettra à nos entreprises d’afficher demain une vraie différence sur le marché mondial. » L’objectif de la charte est l’amélioration continue des résultats environnementaux et sociétaux du territoire par une forte sensibilisation des acteurs du pôle menée en lien avec les collectivités locales et en cohérence avec les Agendas 21 locaux existants ou en cours de préparation. Danuta Hübner, Membre du Parlement européen, confirme l’opportunité de cette démarche collective, évolutive et volontairement pragmatique qui doit se traduire par des changements de comportement et de possibles changements techniques : « Au-delà de la crise actuelle, les entreprises et notamment les PME qui s’en sortiront le mieux seront celles qui auront misé sur les nouvelles technologies, les nouvelles énergies et procédés « verts ». » Des engagements à court, moyen et long termes L’originalité de la charte « Pour une Cosmetic Valley responsable » réside dans la globalité d’une démarche évolutive, et dans la pluralité des engagements pris par les signataires autour de quatre volets : l’environnement (énergie, déchets, transport,..), l’offre produits (innocuité, écotoxicité, bioaccumulations,…), la démarche de progrès continu et les relations sociétales (commerce équitable, valorisation des ressources humaines, mécénat,…). – Environnement : qu’il s’agisse de consommation d’eau et d’énergie, de traitement et de recyclage des déchets, de risques de pollutions, de modes de transport, d’intégration de critères de développement durable dans l’ensemble des activités : éco-conception, respect et protection de la biodiversité, construction de bâtiments,… Les signataires s’engagent à mettre en oeuvre pratiques responsables qui contribuent à la lutte contre l’impact environnemental des produits et process. – Offre produits : considéré comme une véritable opportunité d’amélioration, le nouveau règlement européen REACH sera placé au coeur de la gestion des produits, matières premières, et de tous les ingrédients et articles divers entrant dans la fabrication. Les signataires s’engagent à proposer une offre de produits qui tienne compte des valeurs de respect de l’environnement et de l’écoresponsabilité tout en garantissant la sécurité et le bien-être du consommateur. – Démarche de progrès continu : en signant la charte, les entreprises s’engagent à communiquer sur les actions et progrès réalisés et à mobiliser leurs personnels autour de ces nouvelles valeurs. – Relations sociétales : mise en place de filières d’échanges responsables qui respectent éthique et équité, soutien au développement économique local, environnement de travail sûr, la charte propose une dynamique de progrès éco-responsable menée en lien étroit avec les collectivités locales. Une, deux, trois ou quatre pivoines… La charte « Pour une Cosmetic Valley éco-responsable» est proposée aux membres de la Cosmetic Valley (entreprises, laboratoires de recherche, organismes de formation) et aux collectivités territoriales qui soutiennent le pôle de compétitivité. Toutes les activités peuvent être candidates : production, R&D, transport, centre de formation, services, … Quatre niveaux matérialisés par l’attribution de pivoines correspondant à une progression en matière de responsabilité sont prévus dans la charte. Une pivoine d’Or pourra être attribué à l’unité candidate ayant réalisé des performances exceptionnelles. L’attribution des pivoines sera effectuée par un cabinet d’audit. Elle sera réalisée sur la base d’un ensemble de critères, notamment les indicateurs de performance et les initiatives réalisées dans : – des domaines environnementaux (Energie, Eau, Déchets, Mobilité-transport, Pollution, Biodiversité-Espaces Verts), – des domaines liés à l’offre (matières entrantes/produits et/ou services), achats) – des domaines relatifs aux relations sociétales Mais aussi les indicateurs de performance et les initiatives réalisées dans des domaines transversaux proches des systèmes de management des organisations (Information-sensibilisation, Lutte contre les GES, Management-organisation).

La charte en action

Quelques exemples ci-dessous des actions déjà réalisées par les entreprises signataires de la Charte.

Adonis, Groupe Alban Muller : éco-conception des extraits végétaux et jardins filtrants

Fort de ses 30 ans d’expérience dans le domaine de la beauté, Alban Muller a choisi de travailler au développement de ses produits avec une nouvelle approche : l’éco-responsabilité. De la graine au produit fini, chaque étape de développement est contrôlée, et tout est mis en oeuvre pour limiter l’impact sur l’homme et l’environnement. Tous les actifs dorénavant proposés par A.M.I. sont développés selon cette démarche. Plus particulièrement, il propose une nouvelle génération d’extraits végétaux, très exigeants en terme de naturalité et de respect de l’environnement : les extraits éco-conçus. Leurs caractéristiques : – 100% naturels car d’une part, l’extraction se fait par des solvants naturels : eau purifiée (c’est-à-dire sans nitrates et sans pesticides) et éthanol d’origine végétale et d’autre part, l’extrait natif (obtenu au cours du processus de fabrication) est stabilisé dans un support naturel (glycérine d’origine végétale 100% naturelle, dérivée du colza). – Sans conservateurs car la glycérine composant l’extrait final à 95 % permet la stabilité microbiologique du produit. – Les solvants utilisés sont recyclés dans une usine certifiée ISO 14001. – Les résidus de plantes obtenus à l’issue de la fabrication sont biodégradables et sont recyclés pour servir de compost. – Process de fabrication à faible impact écologique (zéodratation, flash-pasteurisation…)
Pour en savoir plus sur les jardins filtrants d'Alban Muller
Pour en savoir plus sur les jardins filtrants d’Alban Muller
Le traitement des rejets en eaux du site de production de la Cosmetic Valley (certifié ISO 14001) a vu le jour sous la forme des Jardins Filtrants®, une éco-solution pour le traitement des eaux par phytoremédiation. Le principe des Jardins Filtrants® consiste à utiliser le pouvoir purificateur de végétaux spécifiques pour traiter les eaux rejetées (principe de la phytorestauration). Il n’y a pas d’accumulation des polluants dans les plantes mais une destruction de la pollution par la rhizosphère (les racines). Après un pré-traitement en amont par aération en cuve, les eaux sont dirigées vers des jardins où le processus de dégradation des charges polluantes est finalisé au fil des bassins. L’eau est alors purifiée et peut arroser selon les besoins les jardins décoratifs et paysagers.

SEDERMA et la culture de cellules végétales

Depuis 1964, Sederma a dédié son activité au développement d’ingrédients actifs et à la création de concepts innovants destinés à l’Industrie Cosmétique, basés sur la maîtrise de la Biotechnologie, de la synthèse biomoléculaire et de l’extraction végétale. Au-delà de la certification ISO 14001 que l’entreprise a été parmi les premières à obtenir dans sa branche, deux exemples illustrent la démarche de Sederma. L’utilisation des plantes du règne végétal, d’un domaine du vivant encore sous-exploité mais exposé au risque d’être bientôt surexploité, est à la mode dans la recherche et le marketing cosmétique. Pour y répondre de manière éco-responsable, Sederma a investi dans la technologie de culture de cellules végétales. Cette technique permet d’obtenir des substances actives à partir du matériel végétal, sans risque pour l’exploitation abusive des plantes sauvages, sans nécessiter une culture spéciale soumis aux aléas du terroir, du temps, de la pollution, sans avoir besoin de transporter le matériel végétal du Brésil ou de la Chine jusqu’ici. Une méthode de fabrication et d’extraction douce qui utilise peu d’énergie, pas de solvants, et bien sûr aucun engrais ni pesticide. En parallèle à ce développement, une installation pilote d’extraction au CO2 supercritique permet d’obtenir des substances végétales de haute activité cosmétique à partir du matériel des plantes, avec un impact environnemental également très réduit : pas de solvants organiques, température basse d’extraction, bilan énergétique favorable. D’autres initiatives accompagnent et accompagneront ces nouveautés, qu’il s’agisse de la recherche de fournisseurs également sensibilisés, de l’encouragement pour le covoiturage…

SHISEIDO INTERNATIONAL France : criblage dans un filtre vert

SHISEIDO INTERNATIONAL France (SIF) est la filiale d’un Grand Groupe japonais, SHISEIDO, qui souhaite prendre en compte les impacts environnementaux, que ce soit au niveau industriel ou au niveau des produits. Ainsi, toutes les usines du Groupe sont certifiées ISO 14001 (Norme Environnementale) depuis le début des années 2000. Au niveau de SIF, la politique environnementale est déclinée en 3 grands axes : formulation des produits, développement des articles de conditionnement et économie des ressources ainsi que gestion des déchets au niveau industriel. Toutes les matières premières utilisées dans les formulations par SIF sont « criblées » dans un filtre vert qui détermine pour chacune d’entre elles un risque environnemental. Ce filtre vert prend en compte différents critères tels que l’origine, la capacité de dégradation, les risques au niveau du transport. Par ailleurs, le risque sur l’écotoxicité est déterminé pour les grands types de formulation. Les articles de conditionnement sont développés selon le souhait des Créateurs (Jean-Paul GAULTIER, Issey MIYAKE et Narciso RODRIGUEZ) en y incluant des normes d’écoconception, que ce soit au niveau des matériaux choisis et de leur pureté, mais aussi en tenant compte de l’impact environnemental du produit commercialisé afin qu’il soit le plus faible possible. Par exemple, SIF fabrique chaque année environ 25 millions d’échantillons sous forme de minisprays permettant de tester les différents parfums. Pendant longtemps, ces mini-sprays ont été conditionnés dans des cartelettes occupant un grand volume. Depuis début 2009, ils sont conditionnés dans de petits étuis, ce qui minimise le volume occupé. Résultat : chaque année, leur transport permettra d’économiser 60 camions semi-remorques de 35 tonnes. Pour ce qui concerne l’économie des ressources, sur le plan industriel, les 2 sites de production de GIEN et d’ORMES ont lancé depuis 2001 un vaste programme de réduction de consommation d’énergie et d’eau. L’indicateur de consommation d’électricité, mesuré sur le nombre de produits réalisés, a baissé de plus de 15 % en régulant le fonctionnement des machines de conditionnement et les circuits de vide, d’air comprimé et de ventilation. L’indicateur de consommation d’eau, mesuré sur le nombre de lots fabriqués, a baissé de 20 % en bouclant certains circuits et en optimisant les systèmes de nettoyage en place. Les pertes matières en fabrication alcool ont baissé de 50 % en réutilisant l’alcool de lavage comme matière première dans la fabrication suivante de même fragrance. En ce qui concerne la gestion des déchets, 100% de ceux-ci sont valorisés en priorisant le recyclage qui représente plus de 2/3 des quantités, le 1/3 restant, étant valorisé sous forme énergétique.

CAUDALIE : des notices sur les étuis

Les méthodes du développement durable ont été intégrées dès la conception du produit, en passant par tous les aspects logistiques jusqu’à la livraison des clients et sans oublier le consommateur. Exemple d’initiative : afin de réduire la consommation de papier, les notices en papier placées à l’intérieur des étuis ont été supprimées pour être intégrées sur l’intérieur des étuis. D’où une baisse considérable de l’utilisation du papier et l’optimisation de l’utilisation du carton. De même, les présentoirs utilisés sur les points de vente étaient initialement en carton. Afin de diminuer cette utilisation du carton, CAUDALIE utilise de nouveaux présentoirs en bois réutilisables à chaque campagne. Résultat : aujourd’hui il n’y a plus de benne de déchets qui parte toutes les semaines, simplement une petite poubelle ménagère. Un plan de transport favorisant le covoiturage a été développé pour les salariés pour les déplacements professionnels mais aussi pour déplacements privés (enfants, transport à l’école..). L’entreprise a également investi dans la construction d’un parc à vélo.

GROUPE PELLICULAGES DE L’OUEST : Management Environnemental

Le Groupe Pelliculages de l’Ouest s’est montré particulièrement avant-gardiste sur le plan du management environnemental. L’entreprise a réalisé des efforts d’investissement importants dans le renouvellement rapide des machines de pelliculage permettant la suppression totale d’emploi de colles à solvant et de solvants dans l’ensemble de ses ateliers. Ces efforts se sont traduits par une réduction très importante des émissions polluantes. L’entreprise a entrepris, depuis 2006, un programme de maîtrise de l’énergie avec comme premier objectif la réduction des consommations d’énergie et de carburant. Le chauffage de l’atelier est aujourd’hui réalisé par récupération de la chaleur des machines ce qui a permis une réduction par 4 des consommations de gaz dès 2007. Un renouvellement accéléré du parc de transport a été mené : nouvelles motorisations moins gourmandes en consommation de carburant, équipement des cabines avec déflecteur de toit et traitement des émissions polluantes selon la technologie SCR (Selective Catalyst Reduction) pour économiser de 2 à 3 litres au 100 km parcouru, soit une réduction de 10 à 15 % de la consommation moyenne des camions. Les nouveaux camions seront norme €uro 4 ce qui permettra à l’entreprise d’anticiper sur l’application des nouvelles réglementations européennes.

INDIGO BY VALOIS : Easy Spray, une référence en matière d’éco-conception de produits innovants

Télécharger le guide des bonnes pratiques environnementales d'Indigo
Télécharger le guide des bonnes pratiques environnementales d’Indigo
Concepteur et fabricant de système de pulvérisation dans le domaine du packaging pour la parfumerie, Indigo By Valois est l’un des leaders dans son domaine d’activité. Certifié ISO 14001 depuis 2008, le site de Verneuil-sur-Avre a élaboré un guide des bonnes pratiques environnementales qui a permis de sensibiliser son personnel sur les enjeux de l’environnement et la position de la société par rapport à ces enjeux. Grâce à son approche innovante en matière d’éco-conception de produits, INDIGO BY VALOIS a pu lancer EASY SPRAY, une nouvelle génération d’échantillon devenu aujourd’hui leader sur son marché. Réalisé avec 6 composants – poussoir, bague, ressort, pistons, tube plongeur et flacon (au lieu de 12 pour les anciennes générations), plus compact en terme de taille, cet échantillon tube permet d’importants gains environnementaux : – Baisse de 30% en termes de poids de packaging – Baisse de 70% en termes d’énergie consommée pour la fabrication – Baisse de 45% en termes de volume de palettisation

ALCAN PACKAGING BEAUTY : réduire, recycler et remplacer si possible

Leader mondial dans l’emballage pour la cosmétique et beauté (26 usines dans le monde, 8500 personnes travaillant sur les sites de production travaillant pour les grandes marques de la cosmétique, chiffre d’affaires de l’ordre de 930 millions de dollars), Alcan Packaging Beauty travaille depuis longtemps sur le volet environnemental. En particulier dans ses usines où les équipes de progrès continu sont sans cesse en train d’améliorer l’efficience de l’utilisation de l’énergie, de l’eau, etc. L’éco-conception constitue un deuxième volet avec trois mots d’ordre : réduire, recycler, remplacer. D’abord, réduire la quantité de matière. Ensuite si possible intégrer la notion de recyclage des matières. Et enfin remplacer et chercher des matières complètement renouvelables pour demain. Les équipes de développement ont ainsi travaillé sur une gamme de tubes comprenant les éléments les plus légers au monde. Exemple : le Fluptop qui pèse aujourd’hui la moitié de ce qu’il pesait il y a 2-3 ans et qui inclut, dans la jupe de ce tube, 60% de matière recyclée.

 

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David Naulin
David Naulinhttp://cdurable.info
Journaliste de solutions écologiques et sociales en Occitanie.

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