Si la mer, vue du rivage, continue à "danser le long des golfes clairs", sous la surface, c’est une tragédie qui se joue : à force d’être mangée par l’homme, la mer se meurt. En l’espace d’un siècle et demi, loin des regards, des ressources qu’on pensait inépuisables ont été poussées au bord de l’effondrement par une surpêche qui prélève plus de 100 millions de tonnes de poisson par an dans le monde. En pêchant toujours plus loin, toujours plus profond, et à présent toujours plus "petit", l’homme est en train (...)
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