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L’UNESCO annonce la désignation de 13 nouvelles réserves de biosphère

Le Réseau mondial de réserves de biosphère compte désormais 564 sites protégés dans 109 pays

Le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’homme et la biosphère (MAB) a ajouté 13 nouveaux sites et cinq extensions, répartis sur 15 pays, au Réseau mondial de réserves de biosphère, qui compte désormais 564 sites répartis dans 109 pays. La décision d’inclure ces nouveaux sites a été prise par le Conseil international de coordination lors de sa 22e session, qui s’est tenu du 31 mai au 4 juin au siège de l’UNESCO à Paris.

Pour la première fois, des réserves sont désignées en Ethiopie et au Zimbabwe. Le Royaume-Uni et la Suède ont décidé pour leur part de retirer deux sites du Réseau mondial des réserves de biosphère, respectivement ceux de Taynish et du Lac Torne parce qu’ils ne répondaient pas aux critères de la stratégie de Séville adoptée en 1995. Les réserves de biosphère sont des zones désignées dans le cadre du Programme MAB de l’UNESCO, dans le but d’y tester différentes approches de gestion intégrée des ressources et de la biodiversité terrestres, qu’elles soient d’eau douce, côtières ou marines. Des expériences sur le développement durable y sont donc menées afin d’en tirer des enseignements. Les nouveaux sites désignés sont :
© NABU/S. Bender, Coffee transportation - Kafa, Ethiopia
© NABU/S. Bender, Coffee transportation – Kafa, Ethiopia
Le Kafa, en Éthiopie, s’étend sur plus de 700 000 ha et abrite plus de la moitié des écosystèmes encore existants dans les forêts vertes d’altitude du continent africain. Berceau du caféier d’Arabie (Coffea Arabica), espèce rare et dangereusement menacée, le Kafa est un véritable trésor scientifique, économique, esthétique et culturel. Ce site se caractérise par de nombreuses vallées et basses terres fertiles, qui relient les montagnes et les crêtes, et par plusieurs cascades majestueuses, comme les chutes de Barta et de Woshi. Des partenariats entre le secteur public et le secteur privé y ont été instaurés avec succès pour encourager la croissance économique et l’utilisation efficace des ressources ; ils peuvent servir de modèles pour de nouvelles initiatives, notamment pour la production et la commercialisation durables de café.
© Detlef Overmann/CoFF, Montane rainforest -Yayu, Ethiopia
© Detlef Overmann/CoFF, Montane rainforest -Yayu, Ethiopia
Yayu, en Éthiopie, se situe dans la zone Illubabor de l’État-région d’Oromie, au sud-ouest du pays. Ce site fait partie de la zone de grande diversité biologique d’Afromontane de l’Est, l’une des 34 zones au monde qui, bien qu’indispensables à la conservation de la biodiversité, sont sérieusement menacées. On y trouve des forêts primaires intactes ainsi que des systèmes agroforestiers. L’exploitation de ces derniers est destinée à la production de café, d’épices, de miel et de bois, et fournit parallèlement des services écosystémiques importants, comme la protection du bassin hydrologique du Nil. C’est aussi dans la forêt de Yayu que le caféier d’Arabie sauvage est le plus abondant au monde. Les activités de développement durable menées sur ce site sont orientées vers la production de café, avec notamment la plantation d’arbres fruitiers destinés à être cultivés mais aussi à fournir l’ombre nécessaire aux caféiers.
Photo Mahdi Kalhor
Photo Mahdi Kalhor
Le Dena, en Iran, domine les montagnes du Zagros central et consiste principalement en une steppe boisée semi-aride. Différentes espèces de chêne prédominent dans les hautes terres, tandis que le pistachier et l’amandier prévalent à plus basse altitude. Le Zagros central est le berceau de grands fleuves et d’abondantes rivières, tels que le Karoun, le Dez et la Kharkeh, qui se jettent dans le golfe Persique et la mer Caspienne. Cascades, étangs et lacs viennent compléter la beauté de ce paysage de montagne. La région constitue le foyer d’une vaste population rurale, composée en particulier d’une communauté nomade de 20 000 membres, qui s’appuie sur des moyens de subsistance traditionnels. Le développement y est surtout axé sur la gestion durable des grands pâturages libres et sur l’écotourisme.
Nahá et Metzabok
Nahá et Metzabok
Naha-Metzabok, au sud-est du Mexique, couvre la partie nord de la forêt des Lacandons, la plus vaste forêt tropicale du pays. Partie intégrante du couloir biologique de la forêt Maya, ce site joue un rôle important de conservation. La diversité de sa population lui apporte une haute valeur culturelle ajoutée. En effet, ses 6 500 habitants sont membres de communautés ancestrales indigènes comme les Mayas Lacandons, les Tzeltales et les Choles. Les activités, agricoles notamment, réalisées par les communautés autochtones dans la zone tampon et l’aire de transition contribuent au développement durable et à la conservation des ressources naturelles de la région. Los Volcanes, au Mexique, est un site qui se caractérise par un paysage volcanique d’une valeur esthétique et touristique considérable. Il comprend le Popocatépetl, l’un des volcans en activité les plus impressionnants au monde, et diverses espèces endémiques particulièrement adaptées, à l’instar du lapin des volcans. À travers son rôle de captage d’eau pour Mexico, la ville la plus densément peuplée du pays, le site fournit d’importants services environnementaux. Afin de maintenir l’approvisionnement en eau de la région, il fait l’objet de projets de reforestation, de remise en état des terres et d’infiltration des eaux souterraines, dans lesquels de nombreux secteurs de la population sont impliqués. L’archipel des îles Marías, au Mexique, constitue un réservoir d’espèces endémiques qui se sont développées durant huit millions d’années d’insularité. Il recèle une riche diversité d’écosystèmes, parmi lesquels une forêt tropicale sèche, des mangroves, des marécages et des récifs coralliens. Il accueille par ailleurs un établissement pénitentiaire fédéral, dont les programmes de réhabilitation pour les détenus sont orientés vers la gestion durable et comprennent par exemple des projets de reforestation et d’agriculture. Ces programmes sont mis en place avec le concours de l’Institut national d’écologie, de la Commission nationale pour les zones naturelles protégées et du Secrétariat à la sécurité publique.
Ile d’Ometepe
Ile d’Ometepe
L’île d’Ometepe, au Nicaragua, est une réserve de biosphère insulaire située sur le lac Cocibolca, le plus vaste réservoir d’eau douce du pays, également connu sous le nom de lac Nicaragua. Le nom de l’île provient du nahuatl et signifie « île aux deux collines », en référence à ses deux volcans. Le lac environnant constitue une source importante d’eau douce et est aussi l’habitat d’espèces exceptionnelles, telles que le poisson-scie d’eau douce, le requin d’eau douce nicaraguayen, et bien d’autres. Avec ses quelque 30 000 habitants, l’île jouit d’une longue histoire d’établissements humains, comme le montrent ses riches vestiges précolombiens (pétroglyphes, statues, céramiques). L’écotourisme communautaire est l’une des activités actuellement menées sur ce site.
© Simon Aurel Schwarz, Mucñiz, Playa Caliente (Buffer zone of Yanachaga Chemillén National Park) - Oxapampa-Ashaninka-Yanesha, Peru
© Simon Aurel Schwarz, Mucñiz, Playa Caliente (Buffer zone of Yanachaga Chemillén National Park) – Oxapampa-Ashaninka-Yanesha, Peru
Oxapampa-Ashaninka-Yanesha, au Pérou, se situe dans la région de la futaie amazonienne du pays. Bien qu’elle soit classée zone prioritaire de conservation, cette région subit une pression écologique intense, car les activités humaines telles que la déforestation entraînent l’érosion de la diversité biologique. Pour faire face à ce type de problèmes, cette réserve de biosphère développe des processus de gestion participative qui impliquent les autorités régionales, les ONG et la population locale. La présence de cultures indigènes, comme les Yaneshas et les Ashaninkas, permet de préserver des savoirs ancestraux en matière de gestion des ressources naturelles. Les initiatives de développement durable menées sur ce site visent l’adoption progressive de l’agroforesterie ainsi que la promotion de l’écotourisme et de l’artisanat.
© Magdalena Kochanowska, Logging sites and heaths – Calluna Vulgaris and Juniperus Communis, in the neighbourhood of the “tuchola Forest” - Tuchola Forest, Poland
© Magdalena Kochanowska, Logging sites and heaths – Calluna Vulgaris and Juniperus Communis, in the neighbourhood of the “tuchola Forest” – Tuchola Forest, Poland
La forêt de Tuchola, en Pologne, est l’un des plus vastes complexes forestiers du pays. Il se situe au nord-ouest de la Poméranie, à quelque 50 km au sud-ouest de la ville côtière baltique de Gdansk, et compte 102 500 habitants. Les 17 000 habitants de la zone tampon vivent principalement du tourisme et de la sylviculture, et pratiquent notamment le bûcheronnage, la chasse et la cueillette de champignons et de baies. Dans l’aire de transition, le secteur de l’agrotourisme, qui associe tourisme, loisirs et promotion de l’artisanat, connaît un formidable essor ces dernières années. Cette réserve de biosphère bénéficie des contributions et du remarquable soutien d’acteurs locaux et nationaux. La forêt de Gangneung, en République de Corée, se situe dans la partie centrale de la péninsule coréenne, où le climat continental extrême de l’Asie du Nord-Est rencontre le climat océanique du Pacifique. Ce site offre un panorama de forêts à feuilles caduques vieilles de plus de 500 ans et en bon état de préservation, ainsi que de terres agricoles et de forêts privées. Il comprend aussi les Tombes royales de la dynastie Joseon, inscrites sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, et l’Arboretum national de Corée. Les activités de développement prévoient l’éco-étiquetage des produits locaux, la promotion de l’agriculture biologique et le développement des ressources énergétiques renouvelables.
© Archives Kozjansko Park, Oslica - Kozjansko & Obsotelje, Slovenia
© Archives Kozjansko Park, Oslica – Kozjansko & Obsotelje, Slovenia
Le site de Kozjansko et Obsotelje, en Slovénie, offre une véritable mosaïque de paysages alpins et pannoniens et est entouré par trois rivières : la Save, la Savinja et la Sotla. Cette dernière sépare Kozjansko et Obsotelje de la République de Croatie, limitrophe à l’est. Plus de 55 % du site est constitué de forêts, et le Parc régional de Kozjansko couvre la majeure partie de l’aire centrale. Situé à la confluence de trois régions, le site offre un paysage naturel en bon état de conservation, composé de forêts et de terres agricoles. Les onze communautés qui y habitent sont impliquées dans des projets de développement durable qui se concentrent sur l’agriculture alternative et écologique, le tourisme durable, la production d’aliments traditionnels et l’artisanat.
© Linda Froberg, Vänern archipelago and Mount Kinnetulle in view - Lake Vänern Archipelago, Sweden
© Linda Froberg, Vänern archipelago and Mount Kinnetulle in view – Lake Vänern Archipelago, Sweden
L’archipel du lac Vänern, en Suède, englobe le plus grand lac du pays, qui est aussi le troisième plus grand lac d’Europe. Au sud-ouest du mont Kinnekulle, qui culmine au centre du site, le marais Skebykärret abrite une grande diversité d’espèces, tandis que des zones roselières et une avifaune variée bordent le lac Vänern, long de 350 kilomètres, en plusieurs endroits. Quelque 60 000 habitants vivent sur ce site, et plusieurs localités, comme celle de Mariestad, se trouvent dans l’aire de transition. La pêche, l’agriculture, la sylviculture et le tourisme revêtent une importance capitale pour l’économie de cette réserve de biosphère, qui constitue un forum coopératif et participatif. Les projets qui y sont mis en place œuvrent pour la promotion du voyage responsable, de l’écotourisme et du développement de produits. Le Zambèze moyen, au Zimbabwe, s’étend sur environ 40 000 km2 dans la vallée du Zambèze et se caractérise par des écosystèmes fluviaux et terrestres uniques, propres au sous-continent, comme le lac Kariba, qui compte parmi les plus grands réservoirs artificiels. Dans l’aire centrale, on trouve le Parc national de Mana Pools, qui est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, tandis que dans la zone tampon, le safari sportif contrôlé emploie des centaines de personnes. Ce site comporte aussi des établissements humains, notamment la ville de Kariba, dont les habitants dépendent en grande partie de la pêche sur le lac du même nom pour se nourrir et gagner leur vie. Ainsi, la pêche du poisson pélagique Limnothrissa miodon, dont la production annuelle d’environ 40 000 tonnes est estimée à 40 millions de dollars, leur permet de concurrencer les grandes pêcheries de la région. Le Conseil international de coordination du Programme de l’UNESCO sur l’homme et la biosphère (MAB) a également approuvé l’extension des quatre réserves de biosphère suivantes :
© Berchtesgarden Land BR, Berchtesgaden with Mount Watzmann - Berchtesgadener Land Biosphere Reserve, Germany
© Berchtesgarden Land BR, Berchtesgaden with Mount Watzmann – Berchtesgadener Land Biosphere Reserve, Germany
La réserve de biosphère de l’arrondissement de Berchtesgaden-Campagne, en Allemagne, jusqu’alors connue comme réserve de biosphère de Berchtesgaden, a été désignée en 1990 et constitue la seule réserve de biosphère alpine d’Allemagne. Elle a été rebaptisée pour refléter l’extension, qui élargit le site à tout l’arrondissement et ses 15 communes ; 103 000 habitants vivent dans l’aire de transition étendue. Cette extension permettra de mieux protéger la riche biodiversité de la région tout en intégrant une plus grande population. Ce site au paysage culturel et naturel unique offre toute une palette d’atouts pédagogiques, culturels et récréatifs, ainsi qu’une grande variété de secteurs d’activité, à savoir l’agriculture, la sylviculture, l’extraction de sel, la petite industrie, l’artisanat, le commerce de détail, les services de santé, le tourisme et la villégiature. La recherche se concentre principalement sur les effets locaux du changement climatique global, en particulier sur la végétation alpine. C’est grâce au concours de nombreux acteurs que l’extension a été possible, dans l’objectif d’augmenter les possibilités de développement durable de la région. La réserve de biosphère des Araucarias, au Chili, a été désignée en 1983. Son extension porte sa superficie à 1 140 000 ha, soit 12 fois la superficie d’origine, et sa population s’élève désormais à 105 000 habitants. Cette réserve se situe au sud de la cordillère des Andes au centre-sud du Chili, dans une zone qui se caractérise par une forte présence volcanique. Cette extension a pour principal objectif de favoriser un équilibre durable entre conservation de la diversité biologique et développement socio-économique, tout en protégeant les valeurs culturelles des Mapuches de la région, qui habitent surtout dans l’aire de transition. La réserve de biosphère de la cordillère volcanique centrale, au Costa Rica, a été désignée en 1988. Elle bénéficie d’une extension qui porte sa superficie à 650 000 ha environ, soit cinq fois sa superficie d’origine, pour une population qui atteint désormais presque trois millions d’habitants. Cette extension a été rendue possible grâce à un large processus participatif, impliquant non seulement les communautés locales et autochtones mais aussi de nombreuses institutions, municipalités et diverses parties prenantes. Le site étendu, qui englobe maintenant la ville de San José, assurera une meilleure gestion de cette région, qui compte parmi les plus riches du pays en ressources naturelles et en patrimoine culturel. La réserve de biosphère de l’archipel finlandais, en Finlande, a été désignée en 1994 en lien avec le Parc national de l’archipel. C’est une zone côtière unique, située en mer Baltique et constituée de milliers d’îles et de récifs. La superficie totale du site atteint désormais 5 400 km2, dont 4 580 km2 de surface aquatique. La population résidente, qui s’élève à 3 850 habitants, entretient d’étroites relations avec la mer et la nature depuis des générations. Ainsi, elle vit de la pêche et, dans une moindre mesure ces dernières années, de l’agriculture. Par ailleurs, cette réserve de biosphère comporte 8 000 résidences d’été, la région accueillant 150 000 vacanciers chaque année. Les projets mis en œuvre pour la protection de la biosphère sur ce site concernent la gestion des pâturages à valeur écologique et la création dans l’aire centrale de Koli d’un centre de loisirs et de recherche scientifique s’inscrivant dans une perspective de développement durable. La réserve de biosphère Val Müstair–Parc National, en Suisse, se compose désormais d’une zone tampon et d’une zone de transition à l’est de la zone centrale. Elle comprend des municipalités et des villages, notamment Val Müstair au sud-est du Parc national suisse et de la réserve de biosphère d’origine. Le Conseil et les autorités suisses ont approuvé d’autres extensions au site qui devraient être mises en œuvre d’ici 2013. Lancé au début des années 1970, le MAB propose un programme de recherche interdisciplinaire et encourage le renforcement des capacités dans le but d’améliorer les relations entre les personnes et leur environnement. Il a pour principale mission de réduire la perte de biodiversité par des approches écologiques, sociales et économiques. Il utilise son Réseau mondial de réserves de biosphère comme outil d’échange de connaissances, de recherche et de surveillance continue, d’éducation et de formation, ainsi que de prise de décision participative.

 

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David Naulinhttp://cdurable.info
Journaliste de solutions écologiques et sociales en Occitanie.

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