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Après les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD)

Les Objectifs mondiaux en faveur du développement durable (ODD)

des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique et ses impacts

Après plusieurs mois de négociations, les Objectifs mondiaux en faveur du développement durable (ODD) ont été officiellement adoptés lors de la 69e Assemblée générale des Nations Unies qui s’ouvrait le 16 septembre 2014. Ils succèdent aux Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) dont l’expiration est prévue fin 2015. Les Pays signataires des ODD devront « prendre des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique et ses impacts » (objectif 13), ce qui offre un élan d’espoirs supplémentaires pour l’adoption en 2015, d’un accord juridique ambitieux et universel, limitant à 2°C la hausse de la température mondiale. En parallèle, le Secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, a organisé un Sommet, le 23 septembre 2014, pour accélérer la mise en œuvre, par les Etats et les acteurs de société civile, de mesures ambitieuses visant à réduire les émissions, à s’adapter aux changements climatiques et à mobiliser toutes les volontés politiques pour la réussite de la Conférence climatique de 2015 (COP 21). – 7 Octobre 2015 : Rainforest Alliance a participé au Sommet mondial sur le climat du 23 septembre à New York. C’était un important prélude à la Conférence de Paris de 2015, où 195 pays ont rendez-vous pour signer ​un nouvel accord sur le climat. Voici, selon eux, les dix résultats les plus prometteurs et les plus ambitieux de ce sommet …

Sommet sur le climat 2014 : Top 10 Rainforest Alliance

– 1 – La déclaration de New York sur les forêts Cette déclaration a annoncé d’importants engagements : Réduire de moitié la perte des forêts, éliminer la déforestation des chaînes d’approvisionnement commerciales d’ici à 2020, mettre fin à la déforestation et restaurer les forêts dégradées sur une superficie de la taille de l’Inde d’ici à 2030. Rainforest Alliance a signé la déclaration, qui a été lancée et approuvée par 30 chefs de gouvernement et l’Union européenne, 20 chefs de gouvernements régionaux, plus de quarante entreprises, seize communautés autochtones et quarante-huit organisations de la société civile. – 2 – Les engagements des pays consommateurs De nombreux distributeurs et entreprises agro-alimentaires, des marques et des producteurs ont intensifié leurs positions et ont pris d’importants engagements de non-déforestation. Vingt-quatre grands producteurs mondiaux d’huile de palme (dont de nombreux travaillant avec Rainforest Alliance) et des négociants de matières premières se sont engagés à contribuer à l’objectif « zéro déforestation nette » d’ici à 2020. Ils ont pris l’engagement de travailler avec les gouvernements, les acteurs du secteur privé et les populations autochtones afin d’assurer une chaîne d’approvisionnement durable. – 3 – Des engagements financiers renouvelés à REDD + La Norvège, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont annoncé d’importants fonds financiers pour soutenir les résultats des projets REDD + (Réduire les émissions de CO2 provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts et prendre en compte l’augmentation des stocks de carbone). – 4 – L’Alliance mondiale pour une Agriculture en faveur du climat Avec des centaines d’organisations de la société civile, des chefs d’Etat et de gouvernement, des dirigeants du secteur privé et des producteurs, Rainforest Alliance a signé l’Alliance mondiale pour soutenir collectivement des systèmes agricoles plus productifs et qui s’adaptent au climat afin de faire face aux défis de la sécurité alimentaire dans un contexte de changement climatique. L’objectif est de permettre à 500 millions d’agriculteurs du monde entier d’adopter des pratiques agricoles intelligentes qui s’adaptent au changement climatique d’ici à 2030. – 5 – Le Fonds vert pour le Climat Il y a des engagements financiers nettement plus importants que ceux pris suite à la Conférence de Copenhague. La France a promis de verser un milliard de dollars au Fonds vert, et avant la conférence, l’Allemagne avait promis une contribution de 960 millions de dollars. Le total s’élève à 2,3 milliards de dollars pour financer les trois premières années du Fonds vert. – 6 – Les droits des communautés autochtones Les parties prenantes ont souligné l’importance de garantir les droits des peuples autochtones et des communautés locales par le biais de titres de propriété et le respect des droits et des territoires. La Norvège est la seule à engager 100 millions de dollars pour régler les questions de revendications territoriales et de droits. – 7 – Engagements du secteur de l’huile de palme L’Indonésie, la Chambre de Commerce d’Indonésie (KADIN) et quatre grandes compagnies d’huile de palme ont pris l’engagement d’améliorer la gestion de l’environnement et des questions sociales dans le secteur de l’huile de palme. Ils se sont engagés à n’effectuer aucun nouveau développement de plantations sur les tourbières ni dans les zones riches en carbone ( High Carbon Stock, HCS). – 8 – Les pays tropicaux s’engagent à arrêter la déforestation Plusieurs pays, dont le Libéria, ont renouvelé l’intention de leurs gouvernements d’arrêter le déboisement, et de fixer des objectifs à atteindre avec un financement adéquat. – 9 – La tarification du carbone Sous les auspices de la Banque mondiale en faveur de l’introduction d’un prix du carbone, des entreprises et une quarantaine d’Etats dont la France, se sont engagés à fixer un prix du carbone. – 10 – Dynamique actuelle Tous les mouvements ont besoin d’énergie et d’enthousiasme. Ce sommet a été marqué par une ardeur et un sentiment d’enthousiasme sur ce que nous pouvons faire et sur le fait que nous ne devons pas nous sentir découragés ; et cela c’est le plus important que l’on puisse faire au nom de la planète.
Conférence Climat par Rainforest Alliance
Conférence Climat par Rainforest Alliance
En fin de compte, ces objectifs ambitieux dépendront des actions réelles des Etats et des entreprises et de la façon dont chacun tiendra véritablement ses engagements.
Nous sommes fiers de notre rôle à Rainforest Alliance, en assurant que les engagements pris par de nombreux acteurs du secteur privé sont honorés et que l’objectif «zéro déforestation» permet à la fois d’éviter la destruction de l’environnement tout en développant le bien-être des populations.
– www.rainforest-alliance.org/fr

Sommet mondial sur le climat : les 5 choses à retenir Par Novethic.fr

Fonds vert, déforestation, tarification du CO2 : le sommet sur le réchauffement climatique, organisé à l’initiative personnelle du secrétaire général de l’ONU mardi dernier à New York, a vu quelques dossiers inscrits à l’agenda progresser. Tout du moins dans les discours de la centaine de dirigeants présents. C’est du côté des maires de grandes villes ou des citoyens qui ont défilé dimanche pour la Marche pour le climat qu’est venu le souffle d’air le plus neuf. Sommet mondial sur le climat, plénière de l’ONU, le 23 septembre 2014
Yin Bogu / XINHUA
Le chiffre : 1 milliard de dollars.

Le Fonds vert, imaginé dès 2009 pour aider les pays en développement à s’adapter au changement climatique, a enfin reçu plusieurs enveloppes mardi dernier. A commencer par celle promise par la France, qui doit être « exemplaire« , a dit François Hollande : 1 milliard de dollars à verser d’ici à 2018. Une somme équivalente avait été promise par l’Allemagne en juillet dernier. Barack Obama n’a, lui, évoqué aucune éventuelle contribution américaine. L’objectif affiché est de rassembler 100 milliards, chaque année, d’ici à 2020.

Le chantier : donner un prix au CO2.

C’est Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU et principal artisan de ce sommet de New York, qui a redonné vie à ce vieux serpent de mer en insistant sur la nécessité de « fixer un prix pour le carbone« . Mais sans indiquer la méthode à suivre. La Banque mondiale a annoncé de son côté, lundi, une initiative réunissant 73 pays et un millier d’entreprises pour travailler sur ce prix du carbone, via une taxe ou un système de quotas échangeables et, ainsi, encourager une mutation vers des énergies vertes. L’Islande a promis mardi de devenir un pays sans énergies fossiles. Les Etats-Unis et plusieurs compagnies pétrolières, notamment Total et ExxonMobil, restent pour l’instant à l’écart.

Le coup dur : le Brésil et la déforestation.

Des engagements inédits ont été pris mardi pour lutter contre la déforestation: la Déclaration de New York sur les forêts  prévoit de réduire de moitié la déforestation d’ici à 2020 et de la stopper d’ici à 2030. De grandes entreprises, comme Asia Pulp & Paper, s’y sont associées. En parallèle devrait être lancé un vaste programme de reboisement, en partenariat avec les communautés indigènes. Problème: le Brésil a d’ores et déjà pris ses distances avec ce texte, disant avoir été tenu à l’écart des discussions. En 2013, la déforestation s’est accrue de 30% en Amazonie.

Les leaders de demain : les maires.

De Bonn à Istanbul en passant par New York ou Paris, des maires, notamment un groupe leader de 40 très grandes villes, ont décidé de prendre des engagements locaux de réduction des émissions de CO2. L’édile de New York, traumatisé par l’ouragan Sandy, a par exemple annoncé un objectif de – 80% d’émissions de carbone d’ici à 2050. « Dans de nombreux cas, les maires vont loin et même au-delà de ce que les gouvernements font« , relève le WWF. D’ailleurs, si, mardi, plus de 120 dirigeants étaient réunis à l’ONU, certains, et non des moindres, se sont fait remarquer par leur absence. Le président chinois Xi Jinping avait ainsi préféré se faire représenter par son vice-Premier ministre. Barack Obama, qui a pris soin de le croiser dans le couloir juste avant son intervention, a insisté sur « la responsabilité spéciale » de la Chine en matière de réchauffement climatique. Selon un rapport du Global Carbon Project (GCP), un consortium d’organismes de recherche internationaux de référence, un Chinois émettrait désormais plus qu’un Européen.

La dynamique citoyenne : le succès de la marche pour le climat.

Dimanche, une marée humaine de près de 400 000 personnes a envahi les rues de Manhattan, du jamais-vu, pour exiger de vraies politiques de lutte contre le réchauffement climatique. Au milieu de la foule, Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. Mardi, il a proposé de s’appuyer fortement sur les industries et les ONG, via un « agenda des solutions« , pour réduire les gaz à effet de serre. En attendant un accord global entre chefs d’Etat, le premier accord  international impliquant tous les grands émetteurs de gaz à effet de serre espéré lors de la COP21 (la Conférence des Parties de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques).
Ce sera à Paris, à la fin de l’année prochaine.

Source : www.novethic.fr

ODD : Objectifs mondiaux en faveur du Développement Durable

Les changements climatiques ne sont pas un problème lointain. Ils nous concernent dès aujourd’hui et ont des effets très concrets sur nos vies. Ils perturbent les économies nationales, nous coûtant très cher aujourd’hui et encore plus demain. Mais il est de plus en plus reconnu qu’il existe des solutions abordables et pouvant être reproduites à grande échelle qui nous permettront à tous de faire un bond en avant vers des économies plus propres et plus résilientes. Le changement semble être dans l’air. Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-moon, a invité les dirigeants mondiaux – représentants des gouvernements, du monde de la finance, des entreprises et de la société civile – au Sommet sur le climat qui se tiendra le 23 septembre prochain, pour donner un nouvel élan à la lutte contre les changements climatiques. Il leur a demandé d’y annoncer des mesures audacieuses visant à réduire les émissions, à renforcer la résistance aux changements climatiques et à mobiliser les volontés politiques en vue de parvenir à un accord juridique significatif en 2015. Le Sommet sur le climat offre aux dirigeants une occasion unique de défendre une vision ambitieuse qui, associée à des actions concrètes, permettra de parvenir à un accord mondial d’envergure en 2015.
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-moon, a invité les dirigeants mondiaux – représentants des gouvernements, du monde de la finance, des entreprises et de la société civile – au Sommet sur le climat qui se tiendra le 23 septembre prochain, pour donner un nouvel élan à la lutte contre les changements climatiques
Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Ban Ki-moon, a invité les dirigeants mondiaux – représentants des gouvernements, du monde de la finance, des entreprises et de la société civile – au Sommet sur le climat qui se tiendra le 23 septembre prochain, pour donner un nouvel élan à la lutte contre les changements climatiques

OMD : Objectifs du Millénaire pour le Développement

Des progrès considérables ont été enregistrés pour atteindre la réalisation des OMD. La pauvreté continue de diminuer à travers le monde, les enfants scolarisés en primaire n’ont jamais été aussi nombreux, les décès d’enfants ont diminué de façon spectaculaire, l’accès à l’eau potable a été très élargi et les investissements axés sur la lutte contre le paludisme, le sida et la tuberculose ont sauvé des millions de vies.

Les OMD font une vraie différence dans la vie des gens et avec une responsabilisation et un leadership massifs, ces progrès peuvent être étendus dans la plupart des pays du monde d’ici à l’échéance de 2015. Au-delà de 2015, les efforts engagés pour atteindre un monde de prospérité, d’équité, de liberté, de dignité et de paix seront poursuivis sans relâche.

Avec la conclusion des OMD à la fin de l’année 2015, les dirigeants du monde ont appelé à la mise en place d’un programme ambitieux et de long-terme pour améliorer la vie des populations et protéger la planète pour les générations futures. Ce programme de développement pour l’après-2015 abordera de nombreuses problématiques : mettre fin à la pauvreté et à la faim, améliorer la santé et l’éducation, bâtir des villes plus durables, combattre les changements climatiques et protéger les océans et les forêts.

Les gouvernements sont actuellement en pleines négociations et la société civile, les jeunes, l’industrie et tous les autres prennent part à la conversation mondiale. Les dirigeants mondiaux devraient adopter le programme lors d’un sommet à New York en septembre 2015.

Faits marquants en 2014

D’ici au Sommet de septembre 2015, où les dirigeants du monde sont attendus pour adopter le programme de développement pour l’après-2015, le Secrétaire général et le système des Nations Unies continueront à soutenir les États Membres alors que les délibérations intergouvernementales se poursuivent. Les résultats des consultations, rapports-clés et autres processus seront intégrés au Rapport de synthèse du Secrétaire général attendu d’ici fin 2014. Ce rapport de synthèse sera présenté aux États Membres pour préparer le terrain des négociations précédant le Sommet de septembre 2015.

  • Réunion d’évaluation de haut niveau du programme de développement pour l’après-2015 du Président de l’Assemblée générale (septembre 2014)
  • Session extraordinaire consacrée à la suite donnée au « Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement (septembre 2014)
  • Rapport du Groupe consultatif d’experts indépendants sur la révolution des données pour le développement durable (2014)
  • Rapport de synthèse du Secrétaire général (2014)
  • Forum économique mondial (janvier 2015)
  • Commission sur le statut de la femme [Beijing+20] (mars 2015)
  • Réunions de printemps de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (avril 2015)
  • Rapport sur les objectifs du Millénaire pour le développement (juillet 2015)
  • 3e Conférence internationale sur le financement pour le développement (juillet 2015)
  • Rapport du Groupe de réflexion sur le retard pris dans la réalisation des OMD (septembre 2015)
  • Sommet des chefs d’États et de gouvernements (septembre 2015)

La conversation mondiale

Pour favoriser une conversation mondiale inclusive, le Groupe de développement des Nations Unies a coordonné des consultations nationales, globales et thématiques. À ce jour, plus de 100 consultations, impliquant de multiples parties prenantes, y compris les gouvernements, les entreprises et les groupes de la société civile, ont été soutenues par l’ONU et de nombreuses autres sont prévues. Des organisations de la société civile continuent à s’engager dans le processus de l’après-2015, tandis que des universités et autres institutions de recherche, y compris les groupes de réflexion, restent particulièrement actifs.

Grâce à l’enquête mondiale « MY World », 2 millions de personnes ont déjà voté pour communiquer aux Nations Unies les sujets les plus importants qu’ils aimeraient voir figurer sur l’agenda de l’après-2015 et le nombre de participants ne cesse de croître. En complément de l’enquête « MY World », a été mise en place une plateforme en ligne « 2015 : Le monde que nous voulons » où les citoyens peuvent participer, à travers des consultations, au programme de développement pour l’après-2015.

Contexte

Lors du Sommet 2010 sur les OMD, les États Membres de l’ONU ont pris des mesures pour promouvoir le programme de développement au-delà de 2015. En juin 2012, à Rio +20, la Conférence des Nations Unies sur le développement durable, les États Membres de l’ONU ont adopté « L’avenir que nous voulons » PDF en anglais document final, qui met en mouvement la plupart des processus intergouvernementaux du programme de développement pour l’après-2015, y compris le Groupe de travail ouvert sur les objectifs de développement durable, le Comité intergouvernemental d’experts sur le financement du développement durable, et le forum politique de haut niveau.

Les contributions apportées par la conversation mondiale, les consultations et d’autres évènements ont été inclues dans les rapports suivants présentés au Secrétaire général et aux États Membres :

Ces rapports ainsi que d’autres ont alimenté le rapport du Secrétaire général, « Une vie de dignité pour tous », qui présente une vision aux actions fortes afin d’atteindre les OMD et appelle à la mise en place d’un cadre de développement durable nouveau et réactif permettant de répondre aux besoins des populations et de la planète.

Le Secrétaire général a présenté son rapport aux États Membres lors d’une manifestation spéciale consacrée au bilan de l’action entreprise pour atteindre les OMD, organisée par le Président de l’Assemblée générale le 25 septembre 2013. Dans le document final de la manifestation adoptée par les États Membres, les dirigeants du monde ont renouvelé leur engagement à atteindre les cibles des OMD et se sont mis d’accord pour organiser un Somment de chefs d’États et de gouvernements en septembre 2015 pour adopter une nouvelle série d’objectifs pour le programme de l’après-2015.

Depuis septembre 2013, de nombreux évènements liés à l’après-2015 ont eu lieu dont :

Pour plus d’informations sur le programme de développement pour l’après-2015, consultez la page des ressources en anglais EN.

Quoi de neuf?

Le Secrétaire général nomme un Groupe Consultatif sur la « révolution des données » PDF en anglais

Ban Ki-moon. Photo ONU/Eskinder DebebeLe Secrétaire général Ban Ki-moon a annoncé la mise en place d’un Groupe consultatif d’experts indépendants sur la révolution des données pour le développement durable. Le Groupe conseillera le Secrétaire général sur les mesures requises pour réduire l’écart des données et renforcer les capacités statistiques nationales. « Les recommandations du Groupe apporteront une contribution importante au débat sur l’après-2015 et à nos efforts pour définir une vision certes ambitieuse mais réalisable. » a déclaré Ban Ki-moon.

Ouverture de la 65e Conférence annuelle ONU DPI/ONG  EN

Affiche de la conférence ONU DPI/ONG 2014. Photo ONU DPILa 65e Conférence annuelle ONU DPI/ONG appelée « 2015 et après : Notre programme d’action » s’ouvre le 27 août, offrant la possibilité à la société civile, aux réseaux internationaux et aux activistes de développer un « programme d’action ».

Le programme a pour but de diffuser le message, élaborer des stratégies, mettre en place des partenariats et des dispositifs d’application du principe de responsabilité en amont des négociations intergouvernementales pour l’adoption du programme de développement de l’après-2015 qui débuteront lors de la 69e session de l’Assemblée générale et prendront fin lors d’un Sommet en septembre 2015. #UNNGO2014

Les États Membres reçoivent le rapport sur le financement du développement durable  EN

Une éolienneLe Comité intergouvernemental d’experts sur le financement du développement durable a récemment transmis à l’Assemblée générale son rapport PDF en anglais sur la façon dont il est possible de financer les efforts ayant pour but d’améliorer la vie des populations et de préserver la planète pour les futures générations.

Le rapport fournit un cadre d’analyse du financement du développement durable, propose un choix d’options politiques pour les pays et souligne les domaines d’amélioration du partenariat mondial pour le développement durable.

 

» Archives

Ressources

Rapports du Secrétaire général : « Accélérer la réalisation des OMD : options pour une croissance durable et partagée et enjeux de l’action des Nations Unies en faveur du développement au-delà de 2015 »

 

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Cyrille Souchehttp://cdurable.info
Directeur de la Publication CDURABLE.info depuis 2005. Cdurable.info a eu 18 ans en 2023 ... L'occasion d'un nouveau départ vers un webmedia coopératif d'intérêt collectif pour recenser et partager les solutions utiles et durables pour agir et coopérer avec le vivant ...

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2 Commentaires

  1. Rapport « Le climat de la France au 21ème siècle »

    A un an de la Conférence COP Paris 2015, le 4ème volume du rapport « Scénarios régionalisés – Editions 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer » a été rendu public le 6 septembre dernier.

    Il vise à présenter les changements climatiques futurs en France jusqu’en 2100, simulés à partir de deux modèles climatiques régionaux mis en oeuvre par le CNRM (Centre national de recherches météorologiques de Météo-France) et l’IPSL (Institut Pierre Simon Laplace) en collaboration avec l’INERIS (Institut national de l’environnement industriel et des risques).

    Pour la première fois, des projections climatiques à résolution fine ont été produites pour la métropole, mais aussi pour les régions d’Outre-mer.

    De plus, les scénarios climatiques de référence sont fondés sur les nouveaux scénarios RCP (Representative Concentration Pathway), en cohérence avec le 5ème rapport d’évaluation du GIEC.

    A l’horizon proche (2021-2050), le rapport montre (pour la métropole) : une hausse des températures moyennes, comprise entre 0,6°C et 1,3°C, toutes saisons confondues, par rapport à la moyenne calculée sur la période 1976-2005 ; une augmentation du nombre de jours de vagues de chaleur en été, comprise entre 0 et 5 jours sur l’ensemble du territoire, voire de 5 à 10 jours dans des régions du quart Sud-Est ; une diminution des jours anormalement froids en hiver sur l’ensemble de la France métropolitaine, entre 1 et 4 jours en moyenne, jusqu’à 6 jours au Nord-Est du pays et une légère hausse des précipitations moyennes, en été comme en hiver, avec une forte incertitude sur la distribution géographique de ce changement.
    62 pages.

    Pour en savoir plus

  2. Communiqué du Comité 21 sur le Sommet sur le Climat : une étape à confirmer vers la COP21 !

    Alors que le Sommet sur le climat, organisé à New York par le Secrétaire général de l’ONU, s’est clôturé le 23 septembre au soir, le Comité 21 se félicite de la trajectoire que semble prendre la lutte mondiale contre le changement climatique, à 14 mois de la conférence Paris Climat 2015-COP21.
    En effet, l’association note quatre progrès majeurs : le début d’abondement du Fonds Vert, et l’engagement du Président de la République française à hauteur d’un milliard de dollars ; la confirmation exprimée par le Président Barak Obama que les Etats Unis prennent leur responsabilité pour lutter contre le réchauffement climatique ; la promesse par le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, par certains pays, et par de grands industriels de mettre en place un prix mondial du carbone ; La multiplication des initiatives de la société civile et la mobilisation du secteur privé, par exemple en matière de reforestation.
    Les ONG, en presque 25 ans de lutte, ont réussi à sensibiliser les peuples du monde au-delà des personnalités et groupes engagés.
    Aujourd’hui, on retient surtout la mobilisation de la société civile qui, dans les pays démocratiques, fait bouger les Gouvernements.
    Ce fait nouveau, symbolisé par la Marche du Climat, conforte le Comité 21 dans son initiative de réunir tous les acteurs du Club France Développement durable autour de l’opération d’envergure Solutions COP21 au Grand Palais, en décembre 2015.
    Lire la suite – Christine Delhaye – delhaye@comite21.org