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Selon le PNUD, il faut créer des opportunités pour les plus pauvres pour assurer le développement durable en Afrique

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Selon le PNUD, il faut créer des opportunités pour les plus pauvres pour assurer le développement durable en Afrique

Réaliser la richesse de l’Afrique
Créer des entreprises inclusives pour une prospérité partagée

Selon un rapport du publié aujourd’hui, il est essentiel de faire participer aux marchés et aux activités commerciales les populations à faible revenu d’Afrique si l’on veut que la croissance économique se traduise par un développement durable. Intitulé “ Réaliser la richesse de l’Afrique – Créer des entreprises inclusives pour une prospérité partagée ” (“Realizing Africa’s Wealth – Building Inclusive Businesses for Shared Prosperity” en anglais), le rapport se fonde sur 43 études de cas approfondies et sur une base de données de 600 institutions pour faire un état des lieux du développement inclusif en Afrique. Il passe en revue un grand nombre de secteurs allant des activités bancaires aux agro-industries. Rédigé par la Facilité africaine pour les marchés inclusifs du PNUD (AFIM, African Facility for Inclusive Markets), le rapport examine la démarche et les conditions nécessaires pour que les populations africaines à faible revenu profitent elles aussi de la croissance économique des collectivités en Afrique, et souligne comment les entreprises peuvent les aider à devenir des consommateurs, chefs d’entreprise et employés. Il décrit la situation du commerce ouvert à tous en Afrique subsaharienne et l’environnement porteur nécessaire pour aider les entreprises et les chefs d’entreprise. Il indique diverses opportunités prometteuses de renforcer ces écosystèmes, pour ouvrir plus largement l’accès à l’entreprise et créer des entreprises plus vigoureuses. Le rapport appelle à redoubler d’efforts pour aider les entreprises inclusives – par des mesures d’incitation et des mécanismes d’investissement ainsi que par un partage des connaissances et leur application aux activités marchandes. En collaborant tous ensemble pour améliorer le partage d’information, les incitations, l’aide à la mise en œuvre et les investissements nécessaires, les décideurs, les chefs d’entreprise et les praticiens du développement seront en état de faire des progrès impressionnants dans la réalisation de tous les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). “L’Afrique a connu une forte croissance économique durant la dernière décennie. Néanmoins, ce progrès économique rapide ne s’est pas traduit par une prospérité pour tous, et le commerce inclusif représente une démarche prometteuse qui peut apporter les avantages de la croissance économique directement aux pauvres en les incluant dans les chaînes de valeur”, a déclaré M. Babacar Cissé, Directeur adjoint du Bureau régional du PNUD pour l’Afrique. “Nous avons besoin de jeunes entrepreneurs et de novateurs, car ils sont la cheville ouvrière des entreprises inclusives. Il faut des organisations qui soient prêtes à jouer un rôle catalyseur, et disposées à soutenir et financer des entreprises inclusives.” Pour que tous les citoyens africains puissent devenir des chefs d’entreprise, des consommateurs, des employés ou des producteurs, il faut un environnement économique porteur qui offre des possibilités à tous. Des informations sur les marchés, des politiques et des lois qui réduisent les coûts de transaction, de financement et d’assistance logistique sont d’importance cruciale pour assurer le succès des entreprises ouvertes aux pauvres. En facilitant le commerce et la création de marchés, on ne produit pas uniquement des revenus mais aussi des produits de base, des services et des choix, ce qui a d’importantes incidences pour chacun des OMD. Le rapport illustre l’impact du commerce et des marchés sur la vie des populations à faire revenu. Au Burkina Faso, la société française de produits cosmétiques bio, L’Occitane, a investi dans des coopératives féminines locales, aidant ainsi 15 000 employées à produire et exporter du beurre de karité de qualité, ce qui a permis de réaliser des bénéfices de 1,2 million de dollars. En Tanzanie, avec la société japonaise Sumitomo, la société locale A à Z a produit 30 millions de moustiquaires imprégnées durables et employé 7 500 personnes. Au Kenya, l’Equity Bank et la K-Rep Bank ont financé la bourse nationale des produits agricoles, qui a contribué à faire augmenter les revenus de milliers de petits agriculteurs. “Les activités commerciales sont essentielles pour la réalisation de ces progrès, mais il nous faut bien entendu des entités qui puissent renforcer les capacités, telles que des organisations de la société civile, des gouvernements, des partenaires de développement et des institutions de recherche aux aptitudes reconnues qui puissent aider les entreprises à créer des modèles inclusifs”, a déclaré le Président directeur général de l’Equity Bank du Kenya, James Mwangi. Le rapport lance un appel à la création de nouvelles initiatives commerciales génératrice d’un écosystème, aux niveaux national et régional, avec l’appui de mécanismes financiers qui fournissent les ressources financières pour la coordination et l’information. Il préconise aussi la création de centres d’excellence dédié à la recherche à la définition d’approches documentées et au partage des connaissances. Le rapport a été présenté par le Président de la Banque africaine de développement, Donald Kaberuka, et le Directeur du Centre de services régional du PNUD à Johannesburg, Gerd Trogemann, lors d’une manifestation parallèle du Forum économique mondial pour l’Afrique. – Plus d’infos sur le site du PNUD

Contact

Pour plus d’informations, veuillez contacter : – En Afrique du Sud : Tiina Turunen, +27 794592434, tiina.turunen@undp.org – À New York : Romain Desclous, +1 212 906 5358, romain.desclous@undp.org

Le PNUD

Programme des Nations unies pour le développement (PNUD)
Programme des Nations unies pour le développement (PNUD)
Le PNUD forge des partenariats à tous les niveaux de la société pour aider à construire des nations résilientes, afin de mener à bien une croissance qui améliore la qualité de vie de chacun. Présents dans 177 pays et territoires, nous offrons une perspective mondiale et des connaissances locales au service des peuples et des nations. La Facilité africaine pour les marchés inclusifs, du Bureau régional du PNUD pour l’Afrique, est un programme régional de développement du secteur privé qui vise à créer des marchés inclusifs, l’objectif étant d’accélérer le progrès vers la réalisation des OMD en mettant en place des marchés inclusifs, amis des pauvres, partout en Afrique. United Nations Development Programme One United Nations Plaza, New York, NY 10017 United States

L’initiative africaine pour les marchés inclusifs

AFIM : African Facility for Inclusive Markets Les entreprises peuvent convertir la pauvreté en prospérité – Télécharger la brochure en français

Déclaration de Johannesburg

LA DÉCLARATION DE JOHANNESBURG SUR L’INCLUSION DU SECTEUR PRIVE EN FAVEUR DE L’AGRIBUSINESS, LA SECURITE ALIMENTAIRE ET L’AGENDA DE LA NUTRITION EN AFRIQUE LE 19 OCTOBRE 2011 Cette Déclaration a été adoptée par le Dialogue Privé-Public (DPP) de Haut niveau sur l’inclusion du Secteur privé dans le cadre de l’Avancement de l’agenda de la Sécurité alimentaire et d’Agrobusiness en Afrique le 19 octobre 2011. Les organisations suivantes ont participé et soutenu le DPP.
Alliance des Partenaires de la Déclaration de Johannesburg sur le Dialogie Public Privé
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1 COMMENTAIRE

  1. Les petits exploitants agricoles sont la clé pour sortir plus d’un milliard de personnes de la pauvreté
    L’appui et la mise à disposition de moyens aux petits exploitants agricoles peut conduire à une nouvelle révolution agricole durable

    Soutenir les petits exploitants agricoles à jouer un rôle plus important dans la production alimentaire et la gestion des ressources naturelles est l’une des façons les plus rapides pour sortir plus d’un milliard de personnes de la pauvreté et nourrir de façon durable une population mondiale croissante, selon un nouveau rapport des Nations Unies lancé aujourd’hui.

    Une grande majorité des 1,4 milliards de personnes vivant avec moins de 1,25 dollars par jour vivent en milieu rural et dépendent largement de l’agriculture pour leur subsistance, tandis qu’il est estimé que 2,5 milliards de personnes sont engagés à temps plein ou partiel dans l’exploitation agricole à petite échelle.

    Ces petits exploitants gèrent environ 500 millions petites exploitations et fournissent plus de 80 pour cent de la nourriture consommée dans de larges franges du monde en développement, en particulier en Asie du Sud et en Afrique sub-saharienne, contribuant ainsi à la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté.

    Une étude antérieure a montré qu’une augmentation d’un pour cent du PIB par habitant était en mesure de réduire l’écart de pauvreté cinq fois plus qu’une augmentation similaire dans d’autres secteurs, en particulier parmi les populations les plus pauvres. Une autre étude a démontré que pour chaque augmentation de dix pour cent des rendements agricoles, il y avait une réduction de sept pour cent de pauvreté en Afrique, et une réduction de plus de cinq pour cent en Asie.

    Cependant avec la fragmentation des terres, la réduction du soutien à l’investissement et la marginalisation des petites exploitations dans les politiques économiques et de développement ont entravé le développement de cette contribution vitale et ont rendu de nombreux petits exploitants vulnérables.

    Avec de bonnes conditions d’exploitation et un soutien ciblé, ces agriculteurs souvent négligés peuvent transformer le paysage rural et déclencher une nouvelle révolution agricole durable, selon le rapport Smallholders, Food Security and the Environment (Petits exploitants, sécurité alimentaire et Environnement) un rapport commissionné par le Centre de suivi mondial pour la conservation (UNEP-WCMC) et le Fonds international de développement agricole (FIDA).

    «Deux décennies de sous-investissement dans l’agriculture, de concurrence croissante pour la terre et l’eau, de hausse des prix du carburant et de l’engrais, et de changement climatique ont conduit les petits exploitants à être moins en mesure d’échapper à la pauvreté», a déclaré Achim Steiner, Secrétaire général adjoint des NU et Directeur exécutif du PNUE.

    « À la suite du Sommet de Rio +20 et dans le cadre de l’agenda de développement post-2015 durable, y compris l’élaboration d’un ensemble d’objectifs de développement durable, il y a un intérêt croissant et puissant des systèmes alimentaires durables. Cela comprend le défi Faim Zéro du Secrétaire général des NU et la campagne Pensez Mangez Préservez: Réduisez votre empreinte », a-t-il ajouté.

    « Les petits exploitants agricoles peuvent continuer à être marginalisés ou reconnus comme catalyseurs pour une transformation des processus de gestion de l’approvisionnement en nourriture au niveau mondial et des services environnementaux qui soutiennent l’agriculture », a déclaré M. Steiner. « Surtout, ce rapport indique clairement que l’investissement dans ce secteur offre le plus haut taux de rendement pour ceux qui s’intéressent à lutter contre la pauvreté et réaliser et construire les objectifs de développement du Millénaire, y compris l’OMD 7 sur la durabilité environnementale. »

    La « révolution verte » agricole dans une grande partie du monde en développement au cours des années 1960 et 1970 a considérablement augmenté la productivité agricole et la réduction de la pauvreté. En outre les petits exploitants agricoles bénéficiaient de nombreux avantages. Toutefois, ces réalisations ont également amoindri la base axée sur les ressources qui ont rendu la révolution possible.

    Alors que la petite exploitation agricole dépend des services fournis par des écosystèmes fonctionnant correctement, parallèlement, les pratiques agricoles peuvent avoir, et ont eu des impacts sur ces écosystèmes en raison de la pauvreté qui incite les petits exploitants à modifier les habitats. Par conséquent, ils nuisent à la biodiversité en surexploitant l’eau et les nutriments et en polluant l’eau et le sol.

    Il est estimé que les pressions exercées sur les terres et les autres ressources augmenteront au cours des 40 prochaines étant donné que l’agriculture devra nourrir une population mondiale plus importante et plus urbanisée.

    Les pratiques actuelles amoindrissent les bases écologiques du système alimentaire mondial à travers la surexploitation et les effets de la pollution agricole, aggravant ainsi la dégradation en réduisant les capacités des écosystèmes à générer des rendements durables. Ils représentent une menace à la sécurité alimentaire et à la réduction de la pauvreté.

    L’intensification d’une agriculture durable et des pratiques agricoles qui préservent la base de ressources dont dépendent les petits exploitants afin qu’elle continue de soutenir la sécurité alimentaire et le développement rural peut être la réponse pour renforcer la sécurité alimentaire, la protection de l’environnement et la réduction de la pauvreté. Les petits producteurs ont un rôle clé à jouer dans ce processus.

    « Les petits exploitants agricoles détiennent des sources d’expérience et de connaissances locales qui peuvent fournir les solutions concrètes nécessaires pour placer l’agriculture sur une position plus équitable et durable », a déclaré Elwyn Grainger Jones, Directeur de la Division Environnement et climat du FIDA. « Pour placer ces petits exploitants à la pointe de la transformation de l’agriculture mondiale, ils ont besoin d’un soutien approprié pour surmonter les nombreux défis auxquels ils sont confrontés. »

    Le rapport, qui vise à améliorer la compréhension entre les décideurs et les praticiens des relations entre les petits exploitants, la sécurité alimentaire et l’environnement, a fait une série de recommandations, notamment :

    – La promotion de l’agriculture durable a mis l’accent sur la réduction des impacts de l’agriculture sur l’environnement et de nombreux petits exploitants sentent que cela les prive des possibilités limitées de croissance. Les mécanismes au niveau communautaire et des exploitations qui prennent en compte ces préoccupations tout en intensifiant l’approche durable des terres ont besoin d’être développées.

    – Éliminer les obstacles politiques nécessaire à une croissance agricole durable nécessite des mécanismes fondés sur le marché qui fournissent aux petits exploitants des aides pour investir dans la durabilité, tels que : la suppression des subventions sur les engrais non durables; subventionner les pratiques qui encouragent la conservation des sols et de l’eau, et l’expansion des systèmes de certification équitables ou écologiques qui permettent aux petits exploitants de s’exposer à la concurrence sur de nouvelles niche de marchés au niveau local et international.

    – Afin de fournir aux petits exploitants les informations dont ils ont besoin, il est essentiel d’investir dans des lieux d’apprentissage axés sur l’exploitation agricole au niveau local, l’utilisation des radios communautaires et d’autres méthodes de télécommunications.

    – Des recherches additionnelles sont nécessaires pour modifier les pratiques à la fois négatives (par exemple les subventions et politiques agricoles) et positives (par exemple des droits à la terre sécurisés, les institutions collectives et les valeurs culturelles).

    Le rapport a été lancé dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale de l’environnement (JME), dont l’hôte global cette année est le gouvernement et le peuple de Mongolie. Le thème de la JME est étroitement liée à la sécurité alimentaire, en mettant l’accent sur la réduction des 1/3 de tous les aliments produits- un chiffre étonnant de 1,3 milliard de tonnes représentant une valeur d’environ 1 trillion de dollars perdue ou gaspillée chaque année.

    Plus tôt cette année, le PNUE et l’Organisation des Nations pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé une campagne intitulée Pensez. Mangez. Preservez- Dites Non au gaspillage alimentaire qui vise à lutter contre ce gaspillage.

    Mises à part les implications morales d’un tel gaspillage dans un monde où près de 900 millions de personnes souffrent de faim chaque jour, la nourriture non consommée gaspille à la fois l’énergie investie pour sa production et le carburant dépensé pour le transport des produits sur de grandes distances.


    La campagne mobilise l’expertise des organisations comme WRAP (Waste and Resources Action Programme), Feeding the 5000 et d’autres partenaires, y compris les gouvernements nationaux, qui ont une expérience considérable de ciblage et de changement des pratiques de gaspillage. Elle vise à accélérer l’action et fournir une vision globale ainsi qu’un portail d’échange d’informations vision globale pour les diverses et nombreuses initiatives actuellement en cours à travers le monde.

    A propos de la Journée mondiale de l’environnement

    La Journée mondiale de l’environnement est un événement annuel qui vise à être le jour le plus grand et le plus largement célébré au niveau mondial pour une action positive sur l’environnement. Les activités relatives à la journée mondiale de l’environnement ont lieu toute l’année et le 5 Juin est une journée célébrée chaque année partout dans le monde. La célébration de la Journée mondiale de l’environnement a débuté en 1972 et a évolué pour devenir l’un des principaux moyens par lesquels les Nations Unies stimulent la sensibilisation sur l’environnement et encouragent l’action ainsi que l’attention politique. A travers la Journée mondiale de l’environnement, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement est en mesure de traiter au cas par cas les questions environnementales et de permettre que chacun puisse réaliser non seulement ses responsabilités mais aussi puisse devenir des agents de changements pour appuyer le développement équitable et durable.

    – Visitez le site de la JME ici : http://www.unep.org/wed/